Lorsque le Présent est le fondement et le point de mire essentiel de votre vie, celle-ci se déroule avec aisance.
Porter son attention au Présent, ce n’est pas nier ce qui est nécessaire ; c’est reconnaître l’essentiel. On peut alors fort aisément s’occuper de l’accessoire.
L’envie est un sous-produit de l’ego, qui se sent diminué si quelque chose de bon arrive à un autre ou si quelqu’un a plus de biens, de connaissances ou de
capacités.
Savoir qu’on est la conscience derrière la voix, c’est être libre.
Un instant de danger peut susciter une cessation temporaire du flux de la pensée et, ainsi, vous donner un aperçu de ce que veulent dire la présence, l’éveil, ou la conscience.
Tout dogme finit tôt ou tard par s’effondrer, oui, car la réalité finit par révéler sa fausseté ; mais si l’on n’en voit pas l’illusion fondamentale, il sera remplacé par d’autres.
L’attention, c’est l’intelligence primordiale, la conscience même. Elle dissout les barrières de la pensée conceptuelle et s’accompagne de la reconnaissance que rien n’existe en soi ni séparément. Elle fond le sujet et l’objet de la perception en un champ de conscience unifié. Elle guérit la séparation.
La sagesse accompagne la capacité d’être calme. Il suffit de regarder et d’écouter. Rien de plus. Le calme, le regard et l’écoute activent en vous
l’intelligence non conceptuelle. Laissez la quiétude diriger vos paroles et vos gestes.
Lintelligence véritable agit dans le silence. Le calme est l’espace de la créativité et des solutions.
Se sentir uni à tout, c’est aimer.