Je l'avais lu en 1969 et en partie oublié( à 21 ans ces sujets me touchaient moins sans doute) . «
La sonate à Kreutzer » débute par une conversation en train,sur le mariage (assez rasoir) puis se poursuit par le récit -
confession d'un des passagers qu'on pourrait intituler « Chronique d'un cocufiage et d'un féminicide annoncés ». L'ensemble à un côté prêchi-prêcha plutôt pénible.A noter le rôle de la musique ,l'analyse de la
jalousie qui peuvent faire penser à
Proust (la sonate de Vinteuil) . «
La mort d'Ivan Ilitch » est un texte puissant touchant aux grandes terreurs humaines que sont la souffrance et la mort. le récit est glaçant, clinique , le regard sans pitié pour les hypocrisies et faiblesses des individus.
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