Je me suis sentie aussi égarée que le narrateur de ce récit qui débarque en Chine, pour remettre une grosse somme d'argent confiée par Marie, sa petite amie, à un Chinois de Shanghai. La mission accomplie (on n'en saura pas plus), il accompagne à Pékin une fille rencontrée dans un lieu dédié à l'art contemporain, entame une relation torride avec elle dans le train, retrouve son Chinois de Shanghai dans la capitale, débarque dans un bowling, manque de se faire arrêter par la police et rentre dare-dare à Paris quand Marie lui annonce la mort de son père. Hop ! Départ pour l'île d'Elbe, errance à la recherche de Marie, la belle suit les obsèques de son père à cheval, un brin de mafia et une usine de chocolat qui brûle. Faites ce que vous voulez avec tout cela.
Je n'en fais pas grand chose.
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