La chenille de la queue fourchue a vraiment une drôle d'allure. Ses ennemis ne savent pas où est sa tête et où est sa queue. C'est une ruse ! (p. 27)
Le papillon s'accroche avec ses pattes griffues. Sur l'aile du papillon, il y a de minuscules écailles colorées, disposées comme les tuiles d'un toit. (p. 9)
Les quatre ailes du papillon sont comme des feuilles d'arbres : les nervures servent d'armature. (p. 8)
Miracle !
Pendant très longtemps, la chrysalide ne bouge plus du tout. On dirait qu'elle est morte, car elle ne mange même pas.
Pourtant, elle respire très lentement et vit sur ses réserves… À l'intérieur, une nouvelle naissance se prépare. Et puis un jour, ô miracle ! un beau papillon tout neuf jaillit de l'enveloppe, qui le retient. Libérant ses ailes encore fripées, il se sèche, puis s'envole...