Rose, le sang consommé par les parasites
« La fureur des aboiements n'est que / l'éclair noir sorti de l'orage, / le crêpe des deuils d'autrefois, effrangé, / noyé du débord de nos défaites ». La science et les rêves, le petit feu fait avec nos désirs, la lumière qui rêve, la rébellion, « s'introduire dans le corps des hommes comme les mots pénètres les foules en colère », les fleurs « gouttes de sang », l'eau de la Spree, la nuque brisée de coups, le corps noyé, « Elles marchent sur l'eau / comme y patinent des punaises mais, / pour le crime commis, se taisent, se taisent. »
Et le sang n'était pas une encre aussi docile que cela…
Lien :
https://entreleslignesentrel..