Ils ne survivent que par compassion, caressés par leur propre douleur qu'ils voient se refléter dans le regard des passants. Ceux qui marchent ont des regards de bêtes qui meurent à petit feu, des bêtes qu'on a oubliées... (p93)
J,ai toujours eu du mal à supporter ses colères, à cause de souffrance qu'elles contenaient. (.25)
Ce que je sais de l'été, c'est que la chaleur feutre la vie, que tout est moins dur et moins exigeant... (p21)