Sauf exception, j'ai toujours du mal avec les livres de plus de six cent cinquante pages, car je les trouve le plus souvent un ramassis de longueurs, là où une écriture plus dynamique ou un scénario plus nerveux auraient pu sauver l'entreprise.
Et ce livre ne fait pas exception à ce ressenti. L'histoire tourne et tourne sur elle-même au lieu de virevolter et l'ennui s'installe aussi puissamment qu'il imprègne la vie de cette famille mormone. On espère juste une fin qui permettrait de changer d'avis, et ce n'est pas le cas.
J'en reviens donc à mon impression initiale, à moins d'être un chef-d'oeuvre, les livres de plus de six cent cinquante pages ne reflètent que l'impossibilité de l'auteur de faire plus bref.
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J'ai tenu jusqu'à la page 408. Sur 737
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