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3,35

sur 97 notes
Voici un roman que j'ai littéralement adoré : on sent le soleil et les vacances, on ressent l'ambiance familiale traditionnelle mais pas déplaisante, on est dépaysé, on est juste bien. Une très jolie découverte !

Giacomo, récemment divorcé, vit à Marseille et est traducteur. Originaire de Sardaigne, il y est rappelé quand sa grand-mère est en fin de vie. Persuadé qu'il n'y restera que peu de temps, alors même qu'il a un gros travail de traduction en cours et un éditeur sur les dents qui le harcèle, le voilà dans l'incapacité de quitter cette belle île et son petit village plein de souvenirs. Entre Maria, sa mère, qui voudrait qu'il se réinstalle dans le coin et qui fait vivre un enfer constant aux hommes de sa vie ; son père, Mario, qui s'en accommode ; Gavino, son oncle exubérant et envahissant ; Manuella, la belle épicière du village dont sa mère a toujours été jalouse ; Fabrizio, son ami d'enfance aux graves problèmes de santé mais heureux malgré tout, ou encore Alessandra, la belle infirmière de sa grand-mère qui ne le laisse pas indifférent, voilà Giacomo empêtré dans le filet de son île. Et ceci sans compter sur le Capitaine, cet homme qui l'intriguait tellement étant enfant et qu'il va enfin apprendre à connaître. Pendant ces semaines bloqués sur l'île, où sa grand-mère ne se décide pas à passer l'arme à gauche, Giacomo va se souvenir, affronter son passé, apprécier les petits moments du quotidien, et peut-être laissé derrière lui une douleur qui l'empêche d'avancer.

Ce roman est une galerie de portraits de personnages savoureux, improbables, denses et bien construits. On s'attache à chacun d'eux, même à la mère exubérante ou à l'oncle très particulier. On se régale d'anecdotes, de souvenirs de Giacomo, d'improbables situations que seul un petit village un peu coupé du monde dans une partie d'une île bien peu touristique peut connaître. On se prend d'affection pour cet endroit dans lequel on aimerait se précipiter après avoir refermé ce roman, et de tous ses habitants, si différents les uns des autres.

Les relations familiales sont incontestablement les plus truculentes. Cette réunion d'oncles et de parents autour d'une grand-mère a priori mourrante mais que chacun a tellement aimé (ou du moins le laissent-ils croire) est si emblématique des petits villages de pays latins et des familles qui y vivent que ceci participe à une ambiance globale. Parce que la Sardaigne et ce petit village avec ses ruelles ensoleillées sont autant importants que les personnages qui les peuplent, et donnent une ambiance chaleureuse et agréable, où nous avons l'impression qu'il fait tellement bon vivre qu'on serait prêt à boucler nos valises pour y aller s'y installer.

Ce roman est plein d'une douce poésie, principalement par son personnage principal, Giacomo, homme très rêveur et qu'on sent blessé. L'auteur, par son écriture fine, douce, lumineuse, pleine d'espoir, parvient à intégrer un suspens léger qui sous-tend cette histoire de vie(s), et dont la révélation en fin d'ouvrage se fait de manière douce et poétique. Michaël Uras parvient à nous insuffler de la joie au travers de petits instants simples, une crique, un souvenir, un livre, des gateaux ou encore une rencontre. Ce que cache Giacomo, son drame personnel, est loin d'être simple, mais le roman reste lumineux, plein d'espoir. La légère mélancolie qui peut de temps en temps bercer le roman est loin d'être désagréable, et tend à rendre ce roman humain et plein de saveurs.

Vous l'aurez compris, ce roman est un vrai petit bijou de finesse et d'espoir, de soleil et d'humour, de souvenirs et de truculences, porté par une très belle écriture. Un roman, donc, que je vous conseille de toute urgence !
Lien : https://breveslitteraires.wo..
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Comme mon coeur s'est serré à la lecture de ce roman. Je ne connaissais pas Michael Uras, et j'avoue que la couverture m'a attirée sans vraiment savoir où j'allais atterrir.
J'ai été bercé par la magie et la mélancolie de la façon d'écrire de cet auteur que je vais désormais suivre de très près.
Une histoire familiale comme on les aime.
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C'est en Sardaigne que se situe La maison à droite de celle de ma grand-mère, et Giacomo y revient car sa grand-mère va mourir, il va l'accompagner dans ses derniers instants avec la famille, car en Sardaigne la famille, c'est sacré. Il quitte tout, le roman qu'il doit traduire en urgence, sa ville, son boss, pour venir au chevet de la figure tutélaire de cette étrange famille.
Au village, il retrouve sa mère et ses crises, qui se fâche avec ce mari taiseux, peintre en bâtiment qui barbouille les murs des maisons du village avec de grandes fresques qui colorent la vie et étonnent par leur luminosité et les sujets abordés. Il retrouve aussi Manuella, l'épicière, qui a accompagné l'enfance des gamins et les voyages de l'équipe de foot, une équipe de garçons absolument pas doués qui perdaient mais revenaient heureux de leur sortie du dimanche. Fabrizio, le copain d'enfance, affaibli par une maladie qui le vieillit avant l'heure. Enfin, le capitaine, revenu auréolé de gloire de la guerre, mais vite oublié par l'état et par les hommes.
Quel plaisir de voir autrement cette ile à travers les habitudes, les amitiés les espoirs de chacun. L'avenir et le passé trouvent leur place dans les vies des personnages, et principal ou secondaire, chacun a sa place.
Une grande humanité et une belle dose d'amour se dégage de ces lignes. Un roman qui nous donne envie de partir visiter la Sardaigne.
Chronique complète ici : https://domiclire.wordpress.com/2018/04/17/la-maison-a-droite-de-celle-de-ma-grand-mere-michael-uras/

Lien : https://domiclire.wordpress...
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Aujourd'hui, je vous emmène avec moi faire une petite ballade en Sardaigne où tout ne sera pas un long fleuve tranquille. En effet, la première de couverture qui invitait à une lecture légère et estivale est trompeuse car nous empruntons le chemin de l'enfance de Giacomo, avec la mélancolie que va entraîner la remémoration des souvenirs de son enfance.



Giacomo est traducteur. Il est missionné pour traduire le célèbre "Moby Dick" de Melville. C'est un travail qui demande beaucoup d'adresse et d'attention ! de retour sur son île, en Sardaigne, il retrouvera avec beaucoup de tristesse sa famille mais surtout sa grand-mère qui est malheureusement condamnée... Il ne reste à cette dernière que quelques jours à vivre.



Ce retour en famille va amener notre héros à se remettre en question, à se poser des questions sur sa vie ce qui nous entraînera dans son passé où la nostalgie le gagnera et nous, lecteur nous fera vivre des passages de son enfance. En retrouvant le chez-lui qu'il a fui, il va retrouver une part de lui. Au moment de partir, ce sera difficile pour lui de quitter l'île qu'il a quitté avec tant de facilité avant...



Giacomo est un personnage finalement auquel on s'attache. Je pense que sa maladresse n'est pas étrangère à ce phénomène, on se prend à vouloir détendre l'atmosphère. Il est le fils unique et est très attaché à sa mama ou c'est peut-être la mama qui est attaché à son petit...



J'aime beaucoup le style de Michaël. C'est toujours un plaisir pour moi de lire ses ouvrages qui sont toujours emprunt de tendresse et qui tourne autour de l'humain. Ici, sa plume est un brin sarcastique (tout ce que j'aime !) avec une touche humoristique qui plaira à tous.



Ce roman est mélancolique, loin d'être joyeux comme pourrait nous le suggérer la première de couverture mais il est tendre comme un ourson au chocolat. On va faire la rencontre de plusieurs personnages variés qui vont apporter beaucoup au récit ; ils ont tous quelque chose à nous montrer, sous leur regard bien veillant.



Le passé et le présent vont se télescoper dans la tête de Giacomo qui prend grand soin à se balader dans sa vie passée, dans ses rêves pour faire le rapprochement avec sa vie actuelle. Ces réflexions sont pertinentes, sont troublantes, déroutantes.



C'est un roman touchant, sincère, profond mais bien plus profond et sérieux qu'il n'y paraît. Ne pas se fier aux apparences prend tout son sens ici.



Tout ça pour vous dire que "La maison à droite de celle de ma grand-mère" est un livre différent de ce à quoi je pensais au début mais n'en reste pas moins une lecture agréable.
Lien : http://leslecturesdeladiablo..
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une bonne lecture dans l'ensemble, ce livre est une bonne lecture feel- good il faut pas en attendre beaucoup parfait pour l'été qui arrive.

petite bémol sur la fin ,je m'attendais à lire des nouvelles du personnage principale dans sa vie futur par exemple mais non rien de tout cela ça m'a un peu déçu lorsque j'ai refermée ce roman.

je vous le conseil car l'auteur nous envoie quand même en Sardaigne et nous fait découvrir à travers ses mots des paysages à coupé le souffle qui donne envie de voyagé et de rencontré tout ces personnages.

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J'ai été attirée par le titre et la couverture de ce roman. On y suit Giacomo, jeune italien qui travaille en tant que traducteur à Marseille. Il va retourner d'urgence sur son île natale, la Sardaigne, au chevet de sa grand mère que les médecins annoncent mourante.

Je ne vais pas pouvoir vous dire grand chose sur ce roman dont l'intrigue est très simple. Giacomo raconte son retour en Sardaigne, sa famille, ses amis, son pays et tout cela est alterné par des souvenirs de son enfance. C'est sympathique, les personnages que l'on suit sont agréables mais je voyais pas du tout quel était le but du roman.

Il finit par se passer quelques petites choses qui sont loin d'être des événements inoubliables pour un roman à mes yeux : la grand mère de Giacomo réserve quelques surprises, il y aura une rencontre amoureuse, des retrouvailles avec le Capitaine… Pour un jeune homme de 35 ans, je trouvais la vie de Giacomo archi banale, pas de quoi en faire un roman en fait. Puis, par l'évocation de son passé on apprend qu'il a été marié, je me suis dis tiens on a quelque chose qui va s'expliquer par cet événement précis de son passé ? Et en fait… non. Oui il y a un drame qui est tissé en arrière fond du roman mais non franchement ça ne méritait pas plus d'intérêt que ça.

Par ailleurs, il est beaucoup question dans le roman du travail de traduction de Giacomo. C'est encore quelque chose qui ne m'a pas convertie. Surtout que j'ai de manière générale du mal avec les personnages qui sont romanciers, qui écrivent ou autre… Un traducteur c'est la même chose.

En bref, un roman qui ne m'a pas du tout captivée.
Lien : https://liseusehyperfertile...
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Avec La maison à droite de celle de ma grand-mère, Michaël Uras nous amène en Sardaigne sur les chemins de l'enfance, là où règnent la tendre mélancolie, les petits moments de bonheur simples comme bonjour, un endroit où le temps s'écoule lentement. Une lecture vraiment très appréciable qui a mis un peu de soleil dans mon coeur de lectrice par ce temps frisquet.

Giacomo est traducteur. Au moment, où il revient sur son île il traduit Moby Dick l'oeuvre de Melville, un travail rude. Il regagne son petit village car on lui a annoncé que pour sa chère grand-mère ce n'était plus qu'une question de jours. Ce retour en Sardaigne est marqué par les retourvailles familiales et amicales mais c'est également l'occasion pour Giacomo, un peu perdu dans sa vie, de se poser les vraies questions, les questions existentielles, et de se rappeler le gamin qu'il était à grand renfort d'anecdotes. En retrouvant cette île qu'il avait fui, il se rattache à elle, tant et si bien qu'au moment de partir, il n'est plus si facile de s'en détacher.

J'ai beaucoup aimé ma lecture, l'écriture de Michaël Uras est exquise, c'est sarcastique et plein de tendresse en même temps. C'est vraiment un plaisir à lire. Certains passages sont irrésistiblement drôles : Il faut être poussé dans nos retranchements pour faire des choses que l'on ne ferait pas en situation habituelle. L'instinct de survie. - Je vais appeler ma mère. […] Les Italiens ont tous un problème avec leur mère.  le personnage de Giacomo est très attachant. C'est un fils unique ultra protégé par sa mère, avec un petit côté Tanguy-en-vacances, qui révèle sa profondeur et ses failles au fil du récit. Il ôte peu à peu les couches de l'oignon et ça m'a mis la larme à l'oeil. C'est un personnage maladroit, drôle malgré lui et extrêmement touchant. On retient également le personnage du Capitaine, une sorte de modèle de virilité héroïque aux yeux du gamin qu'était Giacomo, mais ce souvenir s'effrite aujourd'hui, ne laissant qu'un homme terriblement seul et mal en point. Ce roman nous parle ainsi de nos regards d'enfant sur le monde qui nous entoure, un regard naïf nourri par l'imaginaire, qui se déforme et nous fait percuter la réalité de plein fouet à l'âge adulte. Giacomo nous raconte ses souvenirs d'enfance, ses lieux secrets, les Domo de Janas (maisons de fées), ses rêves et fait le parallèle avec sa vie actuelle. On assiste quelque part à sa remise en question et son travail de traduction de Moby Dick est quasiment la métaphore de cette épreuve difficile et forte. Il avance dans sa traduction comme il avance dans sa vie et le roman de Melville se révèle à lui partout, dans d'infinis détails. Giacomo remet de l'ordre dans son existence et partage tout avec le lecteur. C'est un roman qui peut parler à n'importe quel lecteur tant il aborde des thématiques touchant tout à chacun. Ce roman m'a parlé et je ne viens pourtant pas de Sardaigne, mais il a su faire rejaillir en moi mes souvenirs d'enfance, le souvenir de ma grand-mère et m'enveloppant d'une douce mélancolie.

La maison à droite de celle de ma grand-mère est une jolie parenthèse enchantée qui met du baume au coeur et qui rappelle combien cela fait du bien parfois un brin de nostalgie.
Lien : https://thebookcarnival.blog..
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J'ai vraiment bien aimé ce roman qui mérite largement les quatre étoiles pour plusieurs raisons.
Le style en premier lieu, c'est bien écrit, la prose est douce avec une petite touche de poésie pas trop pompeuse, juste suffisante.
Tout est dans le presque…
Un roman qui se lit d'une part facilement et d'autre part avec un réel plaisir.
En second lieu, on notera les personnages comme véritable atout pour le roman. Dur d'avoir des romans de nos jours avec des personnages qui nous apparaissent sous un jour sincère. Ici, on est dans le vrai avec l'auteur, les personnages sont simples, mais ils nous touchent énormément.
Et cela nous suffit. Tout est dans le presque…
En troisième lieu, et bien le lieu, parlons-en. La Sardaigne, formidablement contée ici par l'auteur, ce dernier nous donne envie d'y aller. Bien sûr, il y a les clichés, mais c'est ce qui dépayse. Et puis ces clichés permettent de palier à l'humeur du personnage principale, plutôt mélancolique. Les descriptions sont très bonnes que ce soit pour le décor ou pour les habitudes de vie des habitants ou pour les habitants eux-mêmes.
Michaël Uras dit juste ce qu'il faut en fait. Il ne sur-joue pas.
Enfin pour finir et en quatrième lieu, on dénotera une intrigue très bien menée. Elle parait sans cesse en arrière plan, enfouie même dans le style, les personnages et le décor, mais en réalité, elle ne cesse jamais d'être au premier plan. Elle est grave, triste, mais traité avec douceur et volupté. A ne pas confondre traité avec légèreté.
Au final, La Maison à droite de celle de ma grand-mère est un roman qui frôle pour moi le cinq étoiles tellement il m'a transporté. Il est presque parfait.
Et oui, presque…
Car tout est dans le presque, n'est-ce pas ?
Lien : http://jldragon.over-blog.co..
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L'histoire est celle de Giacomo, un traducteur qui retourne dans son île natale au chevet de sa grand-mère mourante. de retour en Sardaigne, il retrouve ses parents qui passent leur temps à se disputer, son oncle stupide, le capitaine, un vieil homme qu'il a beaucoup admiré...et tant d'autres. Ce livre nous présente une galerie de personnages tour à tour émouvants et tendres, auprès desquels Giacomo tente de vaincre son chagrin.

Page après page, on découvre que la peine de Giacomo est bien plus grave, et que ses causes sont aussi multiples que profondes. On plonge alors avec lui dans ses souvenirs, ses regrets et ses peines. A travers ce voyage et l'évocation d'une douce Sardaigne chaude et colorée, l'auteur nous décrit un homme à la croisée des chemins, attiré par l'obscurité, le passé, le désespoir. C'est un très beau livre sur les racines et le retour en enfance. L'étouffement de la famille et la quiétude qu'elle procure. L'accomplissement professionnel et ce que l'on nomme la réussite. Et enfin le deuil, tout simplement.

Mais ne vous laisser pas tromper par la couverture colorée ou les premières lignes enjouées : ce livre n'a rien d'un feel good. On en sort plein de questions et de tristesse.. plutôt un "feel bad" en réalité!

Cela reste pourtant un très beau roman, sans intrigue ni action, un peu ennuyeux par moment, mais vraiment très bien écrit. La plume de l'auteur est douce et poétique, une jolie découverte!
Lien : http://mademoisellemalenia.o..
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Giacomo est traducteur. Natif de Sardaigne, il retourne sur son île natale car sa grand-mère n'en a plus pour longtemps. Dans ses bagages, une version inédite de Moby Dick qu'il doit traduire de toute urgence. Mais l'île et ses habitants, ses parents, mère envahissante, père taiseux, le Capitaine, militaire à la retraite mystérieux, Fabrizio son ami d'enfance, Manuella l'épicière dont il était amoureux étant enfant, Alessandra, la médecin qui s'occupe de sa grand-mère, le retiennent tour à tour.

J'avais lu il y a quelques temps Aux petits mots les grands remèdes, que j'avais bien aimé et si je me souviens de l'histoire, il a tout de même fallu que je relise les premières lignes pour me la remettre en tête. Donc ça avait été sympa, mais pas inoubliable.

Ce roman est une jolie galerie de personnages, une ode à la Sardaigne et un hommage à Moby Dick. Pourtant, j'ai trouvé que l'intrigue n'était pas assez dynamique pour nous donner envie de tourner les pages. Car s'il y a les fils conducteurs tout au long du roman : la grand-mère, le livre a traduire, l'amour perdu ; il n'y a pas de suspens ou véritablement quelque chose à résoudre qu'on aurait envie de découvrir. J'ai eu du coup un peu de mal à adhérer aux personnages. Quant à l'effet feel good du roman, je l'ai trouvé moins présent dans le texte que sur la couverture ! Certains passages sont teintés d'une mélancolie, voir d'une tristesse qui reste présente dans tout le texte.

Je ne dirais pas que je n'ai pas aimé, mais j'ai été un peu déçue, je m'attendais à un texte léger, plein d'entrain, ce n'était pas le cas. Ceci dit, certains passages sont vraiment intéressants, notamment sur la traduction et Moby Dick, d'autres sont drôles (il y en a quand même!), ce livre pourrait malgré tout vous plaire si vous aimez ce style-là !

Vous pensez le lire ?
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