Citations sur Des mâles inoubliables, tome 1 : Des mâles à apprivoiser (8)
…Mon père, toujours ivre suite à une cuite qui avait duré toute la nuit, était monté dans sa voiture et avait failli tuer M. et Mme Duke en venant me chercher.
Et je venais de laisser Duke, qui faisait probablement partie des trois hommes sur terre qui avait raison de me détester, me faire jouir. Et il avait ma culotte.
Je savais que je devrais être abasourdie. Effrayée, peut-être, par leur audace flagrante. Mais je n’étais pas effrayée. J’étais tendue, oui, car rien de tel ne m’était jamais arrivé. Jamais. Mais, bizarrement, je me sentais en sécurité. Comme s’ils savaient ce que je voulais, savaient jusqu’où aller. D’une certaine manière, ils savaient que j’avais besoin d’être retenue, de les laisser faire. Ils savaient exactement ce que je voulais. Non, ce dont j’avais besoin.
…Je voulais éprouver des choses. Me sentir belle. Me sentir attirante. Unique. Désirée.
Nous avions toujours pensé que nous trouverions la même femme. Celle faite pour nous deux… Nous partagions tout depuis que nous avions cinq ans. Revendiquer une femme ensemble paraissait tout à fait sensé.
Je voulais défaire ce chignon en tirant dessus, déboutonner ce léger chemisier et voir quelle fabrique sexy recouvrait ces seins volumineux.
Ouais, ils ne pouvaient pas être cachés sous un simple haut, peu importe combien il était guindé. Mes mains ne seraient pas assez grandes. Et le bout de ces seins ? Rond, rose, et parfait.
Et ce qui me faisait bander encore plus ? Ses lunettes.
Oh que oui. Qui savait que j’avais un faible pour les femmes à lunettes ? Peut-être que je n’en avais pas eu un avant parce que cela n’avait pas été elle. Jusqu’à présent.
J’aimais les femmes. De tous types et de toutes tailles. Je vénérais tout, des petits seins fermes aux seins plantureux de la taille de ma main. Des formes fines et élancées aux formes larges et avec beaucoup à étreindre. Je ne faisais pas de discrimination, pas quand cela concernait les chattes. J’adorais les chattes. Leur douceur, leur odeur, leur goût. Mon envie m’en mettait l’eau à la bouche.
Il se dirait que trouver une femme ici c’était comme pêcher dans un tonneau. Et ces femmes étaient prêtes pour les queues, surtout celle qui venait tout juste de balancer sa culotte aux pieds du dernier danseur. Elles étaient plus impatientes que les groupies de cowboys suivant un circuit rodéo et je connaissais bien ces femmes. Et leurs culottes, aussi.
Quand nous étions adolescents, nous levions les yeux au ciel tandis qu’il continuait à nous le rappeler. Nous avions rencontré beaucoup de filles – nous en avions regardés avec beaucoup d’intensité – mais nous n’en avions pas encore trouvés une que nous voulions garder. Nous voulions les baiser, cela était certain, mais rien de plus.