À travers deux expositions universelles, celle de 1889 et celle de 1900, au cours desquelles les visiteurs ont « engouffré une masse gargantuesque de victuailles », ce travail s’attache à suivre dans des « lieux vivants », le marché de la restauration, les consommateurs en mouvement, les pratiques plus populaires comme les pique‐niques sur les pelouses ou les usages mondains dans des restaurants gastronomiques. Si l’historiographie des expositions est bien fou...
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