Suite à mon coup de coeur pour
Ainsi gèlent les bulles de savon, premier roman de
Marie Vareille que j'ai lu, je me suis empressée d'ajouter d'autres romans de cette autrice dans ma PAL. Et j'ai jeté mon dévolu sur
Là où tu iras j'irai car, d'une part, le résumé m'avait interpellée il y a deux ans, et d'autre part, il me paraissait approprié pour la saison.
A vrai dire, j'ai eu du mal à être complètement dans l'histoire au tout début, mais je vous mets au défi de commencer une chick lit (ou n'importe quel feel good ou autre comédie romantique) juste après le magistral Sang de la Cité de
Guillaume Chamanadjian, vous m'en direz des nouvelles...
Mais une fois les premiers chapitres passés et ma lecture précédente derrière moi, j'ai fini par m'attacher aux personnages (mention spéciale pour Nicolas) et me suis sentie bien dans cette villa près du lac de Côme en Italie.
Derrière cette comédie familiale drôle, pétillante et souvent abracadabrante, se cache une histoire plus profonde qu'il n'y paraît au premier abord. Aussi, le scénario prend des tournures auxquelles on ne s'attend pas forcément, ce qui m'a beaucoup plus.
Bref, une lecture rafraîchissante parfaite pour l'été. Mais personnellement j'ai préféré
Ainsi gèlent les bulles de savon, que j'ai trouvé plus original et mieux construit, quoique peut-être moins drôle. J'ai hâte de découvrir
le syndrome du spaghetti.