Les Contes interdits : Jack et le haricot magique

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Jack est diplômé d'une école d'informatique mais il ne trouve pas de travail. le jeune homme vit donc quasiment en reclus dans une pièce chez sa mère et programme son propre logiciel rançon. Une belle jeune femme qui a fait ses études avec lui va s'emparer de son travail.
Après une métamorphose physique importante, Jack va tout faire pour récupérer son logiciel et se venger.

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C'est le premier conte interdit de Vic Verdier qui prête d'ailleurs son nom à un personnage. L'écriture est fluide. Il y a pas mal d'expressions en québécois surtout au début.
Cette lecture m'a plu pour son sujet et son intrigue qui est crédible. Je n'ai pas tout saisi des termes et explications en lien avec l'informatique mais j'ai compris l'idée et cela n'a pas gêné ma compréhension du livre.
Les deux premiers chapitres m'ont un peu déroutée, je trouvais difficile de m'y retrouver notamment sur la chronologie. Dès le chapitre trois, tout était en place et j'ai poursuivi la lecture sans aucune difficulté et avec plaisir.
Dans ce conte, il n'y a pas de scène insoutenable, quelques unes décrivent de la violence grave et des viols. J'ai le sentiment que l'intrigue ne s'est pas construite autour des moments trash (c'est un peu le principe de la collection) mais qu'ils se sont imbriqués à un scénario préalable m'a plu.

Ce conte interdit m'a donc convaincue, les amateurs des contes très gores n'y trouveront certainement pas satisfaction mais il s'adresse peut-être à un public plus large.

Bon et bien, c'était bien mais c'était pas une excellente lecture. Je m'explique. Ici on est sur la recherche du pouvoir, de l'argent et sur une vengeance très bien réfléchis.
Jack a été utilisé et on lui a volé son projet informatique (il y a des phrases sur ce thème qui par moment me perdais...beaucoup). Il se retrouve blessé et cherche à se venger.
Il est réfléchit, méthodique et par moment il joue avec le feu. Il apparaît aussi par moment comme le héros qui sauve les demoiselles en détresse.
Il y a du hard, du gore. Certaines scènes m'ont fait grimacer mais je n'ai pas frissonné comme cela m'est arrivé avec mon dernier conte interdit. Mais ce n'est pas grave, l'histoire se lit bien mais voilà ça ne l'a pas spécialement fait avec moi.

J'ai trouvé l'histoire autour du logiciel plutôt intéressante, j'ai plutôt apprécié ma lecture mais j'ai trouvé les évènements du livre un peu trop prévisible, j'ai également trouvé que Jack et le Haricot Magique était très soft comparé à d'autres livres de la même collection (à part une ou deux scènes) je n'ai pas vraiment eu d'attache pour les personnages je trouve que c'est dommage

Petit conte interdit sur une histoire de vengeance qui a du sens.
Il contient de belles métaphores, pour interpréter de manière contemporaine ce conte de notre enfance.
Comparé à d'autres réécriture de cette collection, je peux vous dire qu'il n'est pas trop trash par rapport à d'autres...
Bonne lecture à tous

Pas un des meilleurs que j'ai pu lire. Pas spécialement aimé l'univers, les personnages et l'histoire en général.
Je n'ai pas pu accroché à cette histoire et je trouve cela dommage.
Cela dit, il fait partie maintenant de la belle collection de contes interdits.

Un début un peu fouilli. On a du mal à comprendre qui sont les différents personnages, à quelle époque de l'histoire se situe, qu'est-ce qui s'est passé… Tout au long de l'histoire, j'ai eu l'impression de n'avoir que des fragments de celle-ci. Comme s'il manquait des parties pour compléter le livre. Certaines scènes sont assez "spicys" ; elles sont, pour moi, un exemple du CNC (Consentement Non Consenti). Elles sont explicites, franches et difficiles. Elles sont le parfait exemple du non-respect de la femme, de l'humiliation *segsuelle* et de la domination sadique. Finalement, il y a peu d'horreur. Ce n'est pas ce à quoi je suis habituée. Cette version du conte est parfaite pour commencer la collection en douceur. Si vous aimez les aventures comateuses peuplée de secrets technologiques, montez dans l'ascenseur qui vous mènera dans les coulisses d'un magnat de l'économie...

J'ai détesté ce conte interdit. Vraiment je n'ai rien aimé et pourtant j'ai essayé, j'ai tenu jusqu'au bout mais il y avait trop de points allant à l'encontre de mes goûts personnels . Bien sûr cet avis n'engage que moi, ce sont mes gouts en matière de lecture.

Déjà il faut savoir que j'ai une version ADA donc québécoise. Alors autant sur les autres contes interdits que j'ai pu lire cela ne me dérange jamais mais là … les deux premiers chapitres étaient d'une immense torture. Les phrases étaient une partie en français une autre en anglais une autre avec un patois québécois. Donc très dur à comprendre et à déchiffrer. Mais ça encore, allez disons que c'est la faute de ma version …

Les chapitres sont très très longs .. et c'est donc tout ce dont j'ai horreur Mais ça reste un goût personnel.
Autre point négatif : l'histoire … on va suivre Jack ( forcément ) qui est en fait un génie de l'informatique et va se faire voler son projet « dans les grandes lignes ». Il va donc tout mettre en oeuvre pour se venger du géant Vic verdier … oui Vic verdier comme le nom de l'auteur 👀. Alors attribuer son nom à un personnage ok pourquoi pas mais la … attribuer son nom au méchant de l'histoire qui est vraiment une immense pourriture sadique, je trouve ça très très bizarre et gênant … alors c'était peut être un trait d'humour que je ne dois pas réussir à saisir pour moi c'est juste malaisant…
Toujours pour en revenir à l'histoire elle va donc tourner autour du monde de l'informatique, des histoires de hackers etc.. et là encore c'est juste un goût personnel mais j'ai horreur de ça dans les thrillers. Tout ce qui touche de près ou de loin à la bourse, l'informatique etc… je n'aime pas.
J'ai trouvé cette histoire courte et plate malgré quelques scènes de sévices physiques.

En résumé :
Je suis vraiment navrée d'écrire une chronique aussi négative mais cette histoire n'était pas faite pour s'accorder avec mes goûts . En revanche si vous aimez les chapitres longs et tout ce qui touche au domaine financier, boursier etc… allez y les yeux fermés

Série des contes interdits découverte grâce à une amie, et je l'en remercie !
Car sans elle, je n'aurai jamais découvert ces contes de notre enfance revisités en version gore.
Ces livres ne laisseront personne indifférent : soit on trouvera l'idée excellente et originale pour casser les codes du conte classique, soit on trouvera cela vulgaire et immoral voir même inacceptable.
Ce tome est une réécriture de "Jack et le haricot magique", conte populaire anglais.

Kevin et sa bande, Dom et Baby, sont des loubards.
Jack est un jeune geek brillant en informatique et nul en drague, qui a vécu un traumatisme.
Harper est une de ses anciennes camarades de classe informatique.
Le haricot magique, ici, c'est la tour immense d'une grosse entreprise d'innovation informatique gérée par un big boss, le géant Verdier.
Petit moment d'humour en découvrant le nom du PDG, qui montre que l'auteur a de l'autodérision.
Comme dans le conte d'origine, Jack grimpera les étages du haricot pour affronter le géant.

Ce roman mêle vengeance, violence, prostitution, sexe, torture, humiliation, avec certains passages réservés à un public averti.

J'ai bien aimé cette réécriture qui est originale, drôle et gore à la fois.

Un informaticien qui sort du coma après plusieurs année veut se venger du monde qui lui ont voler son application Web et qui l'ont tabasser à mort. Une très bonne histoire, un des meilleurs contes interdits qu'en j'ai lu récemment. Les scènes sont assez torrides.

Me voila moyennement convaincue.

J'ai lu ce conte interdit en une soirée mais je reste vraiment mitigée.

D'abord, j'ai eu beaucoup de mal à accrocher à l'histoire avec tout le vocabulaire informatique. L'histoire m'a rapidement ennuyé car je ne comprenais pas ce que l'auteur voulait nous faire comprendre.

Puis, quand l'histoire a commencé à s'installer, j'ai rapidement compris le lien entre le conte interdit et le vrai conte. J'ai trouvé ça bien joué: le haricot magique, le géant et sa femme (d'ailleurs j'adore le clin d'oeil que l'auteur se fait à lui même), la poule aux oeufs d'or… on y retrouve bien le conte original.

Beaucoup de violence, de tortures, peu de sexe mais tant mieux, je n'aime pas les scènes de sexes qui n'ont pas d'intérêt à l'histoire. Ce roman se lit quand même très rapidement.

Je pourrais presque le relire pour comprendre le jargon du début, mais maintenant que je connais la fin, je n'ai pas envie de me replonger dans les scènes qui restent très violentes