Parce qu'ils enracinent nos craintes irrationnelles dans ce qui subsiste en nous d'enfantin, ces textes nous ont conduit à rechercher au niveau des superstitions populaires et de l'univers enfantin l'expression de cette même Puissance de Terreur - de terreur comme catégorie du surnaturel - que le masque de Gorgô nous a paru incarner.
L'exhibition de ce qui normalement doit rester caché a déjà valeur de violation d'interdit.
Dernier détail concernant ce sanctuaire de la Dèspoina : vers la sortie du temple, un miroir était accroché au mur. Si on s'y regardait, on ne s'y voyait pas. Ce miroir ne reflétait pas les visages humains; comme une fenêtre ouvrant sur l'au-delà ...