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Critique de DViolante


Miss Helena Campbell, une jeune fille élevée par ses deux oncles, Sam et Sib Melville, est en âge de se marier. Ses oncles lui proposent un jeune savant, Aristobulus Ursiclos. le lecteur imagine, avec justesse, qu'avec un nom pareil, il sera pédant et imbu de lui-même.

Afin de retarder l'échéance, la jeune fille annonce à ses oncles qu'elle ne prendra pas de décision avant d'avoir contemplé le fameux Rayon vert, sur lequel elle vient de lire un article fort intéressant dans le Morning Post : celui qui a vu ce rayon acquiert, selon la légende, le don de ne pas se tromper dans le domaine des sentiments. Ainsi elle ne se prononcera sur cette proposition de mariage, qu'après avoir contemplé ce fameux Rayon vert.

Ses oncles, qui ne lui refusent rien, mettent alors le cap sur la ville balnéaire d'Oban, où séjourne justement le jeune savant, afin d'assister au coucher du soleil. Mais le destin va mettre sur sa route un jeune peintre, Olivier Sinclair, qui lui aussi va se prendre de passion pour ce rayon vert. le lecteur comprend rapidement lequel des deux prétendants a la préférence d'Helena. Mais il faudra de nombreuses péripéties avant qu'elle ne se décide.

Si je suis arrivée au bout des quelques cent cinquante pages de ce court roman, je ne peux pas dire que j'ai apprécié ma lecture. J'ai trouvé le style de Jules Verne lourd et ampoulé. Beaucoup de périphrases et de citations du poète Ossian et du romancier Walter Scott, alourdissent le récit.
Lien : http://dviolante5.canalblog...
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