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320 pages
E.Dentu, Editeur (01/01/1881)
5/5   1 notes
Résumé :
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Citations et extraits (3) Ajouter une citation
C'était l'heure de visite à l'hôpital de la Pitié.
Grande affluence d'étudiants, car il y avait clinique du docteur Servin. Et le docteur Servin était un professeur en vogue.
Tout jeune encore, trente-huit ans à peine, il avait enlevé brillamment au concours l'entrée d'emblée au sein de la Faculté. Sa réputation s'était rapidement propagée au dehors. Aucune consultation n'était plus assiégée que la sienne. On contait déjà qu'il gagnait ses 100.000 francs par an. Cela sans charlatanisme, en modeste. Et en heureux, car le docteur Servin avait épousé une femme riche et charmante. Duo rare.
Étonnez-vous ensuite qu'il y eût foule à sa visite ce matin-là ?
Plusieurs lits avaient été passés en revue.
On arriva devant le numéro 27.

« Tiens, fit le docteur, ce n'est plus l'hémiplégique d'hier. »
« Elle est morte », dit l'interne. Puis plus bas : « Elle a été remplacée par une pauvre petiote qui n'en vaut guère mieux. »
« Ah ! »
« On l'a amenée hier au soir d'urgence... On l'avait ramassée tout près, dans la rue Monge, inanimée et l'écume rouge aux lèvres. »
« Congestion pulmonaire ? » interrompit le docteur.
« Phtisie alcoolique et anémie par suite de débauche », opina l'interne.
« Et quel âge ? »
« Seize ans et demi. »
« La malheureuse ! »

Ce dialogue s'était échangé à voix presque basse. La petite malade cependant avait entr'ouvert ses grands yeux noirs, tout brillants de fièvre, et regardait ce monde qui s'avançait vers elle.
Une étrange fille, en vérité.
Vraie tête de Gavroche féminin, gardant son expression de dépravation narquoise même à travers la souffrance. Elle était jolie, mais bizarre, avec ses cheveux en broussailles, ses lèvres railleuses, et son air de crânerie avivant la pâleur morbide d'un visage émacié.

Le docteur Servin la contempla un instant, puis répéta : « La malheureuse ! »
Et, se penchant sur le lit : « D'où souffrez-vous, mon enfant ? »

« De partout, parbleu ! Je sens bien que le grand ressort est cassé, allez. »

« Par exemple ! Soulevez-vous, afin que je vous ausculte. »

« Si vous voulez... Mais je ne pourrai pas... Je tombe en loques, quoi ! Du reste, j'ai bien fait tout ce qu'il fallait pour... »

« Comment, et vos parents ? »

« Mes parents ! Est-ce que vous croyez que je serais là si j'en avais eu. »

« Ils sont morts ? »

« Pas tous les deux ! »

« Comment ? »

« Maman, oui... Crevée à la peine. Quant à mon père, j'aurais eu beau le faire afficher... Les pères perdus, ça ne se retrouve pas. »

Le docteur Servin, à ces mots, eut un tressaillement. Sans doute son intérêt était exceptionnellement éveillé par le spectacle de ce précoce effondrement ; car, d'un signe, il invita les étudiants à se tenir à l’écart.

Tous se reculèrent, respectueux, jusqu'à l'extrémité de la salle.

"Alors", reprit le docteur, "votre mère est morte ?"

"Il y a six ans passés."

"Et votre père ?"

"Ni vu ni connu ! Plantée là avant même que j'aie fait mon entrée peu solennelle dans ce monde."

"De quoi est-elle morte, votre mère ?"

"De quoi ? De tout, pardi ! De la vie d'abord ; car elle en menait une d'existence depuis qu'elle était restée enceinte de cinq mois, sans travail, sans pain, sans même la ressource de faire la noce, tant elle était désespérée. C'est qu'elle l'aimait, l'autre, celui qui avait filé sans laisser d'adresse. Des voisines qui m'ont conté ça... Parce que, maman, elle rentrait tout en dedans... Quand il n'y avait que cinq sous à la maison, c'était pour m'acheter de quoi manger... Elle, elle avait pris l'habitude de s'en passer... Seulement on en claque... Elle s'est tout de même traînée jusqu'à ce que j'aie dix ans... Mais pas possible d'aller plus loin... Elle s'est abattue comme un cheval courageux qui tombe dans le brancard... Pour lors, moi, j'ai été recueillie par une vieille de la maison... une philanthrope... oui... qu'avait son idée... A quatorze ans, elle m'envoyait déjà me balader avec des bouquets sur le boulevard... Il y en avait pour quarante sous. Il fallait rapporter vingt francs... Comment ? Vous comprenez ! N'y a que le vice qui donne de ces intérêts-là... J'ai roulé, j'ai roulé, j'm'en dégoûtais moi-même... Alors, je me suis mise à m'absinther pour m'oublier... Et me voilà ! Trajet direct pour le Champ-des-Navets !" La petiote avait une larme au bord des cils. Elle fut prise d'une violente quinte de toux. Le docteur Servin la contemplait fixement, comme immobilisé par une émotion poignante.

"Je vous demande un peu", reprit la malade quand la toux eut cessé et qu'elle eut essuyé le sang qui lui était venu à la bouche, "je vous demande un peu... Je vous bassine là avec mes histoires de famille... J'suis rien rasoir, hein ?... Donnez-moi une potion, que je dorme un peu... Et si je peux passer pendant mon sommeil, ça sera bon voyage."

Le docteur lui avait saisi la main. D'une voix anxieuse : "Vous avez seize ans et demi ?"

"Oui... Qu'est-ce qui vous a dit ça ? Tiens, c'est moi... Du reste, j'cache pas encore mon âge..."

"Vous êtes née à Paris ?"

"Comme de juste... A la Maternité... J'aurai eu l'hôpital à chaque bout ! Du même au même."

"Mais votre père ?" La voix du docteur était devenue tremblante. "Votre père ? Que faisait-il ?"

"Il était carabin... J'suis un peu de la partie, comme vous voyez ?... Il avait séduit maman pour rigoler... comme ça se fait... Mais quand elle lui a dit qu'il allait en résulter du sérieux... Bernique ! Les hommes, ça ne les empêche pas d'être considérés, pas vrai ? »

Le docteur Servin était blême. "Et votre mère s'appelait ?" murmura-t-il.

"Maman ? Elle s'appelait Octavie Brunel..."

"Mon Dieu ! Mon Dieu !"

"Quoi donc que vous avez... Est-ce que... Au fait... oui... un carabin..."

La petiote s'était soulevée, ses deux bras décharnés hors du lit. Elle ouvrit la bouche. La toux horrible, déchirante, la secoua avec fureur. Elle retomba sur l'oreiller, leva les yeux et, dans le dernier effort du râle : "Tu vois que j'suis pas gênante... Adieu, papa !"

Ce matin-là, le docteur Servin ne fit pas sa clinique.
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« Mon cher neveu, ceci n'est pas mon testament, par la raison bien simple que je n'ai pas deux centimes à te léguer. J'ai mangé ma fortune jusqu'au dernier sou. C'est pourquoi je prends la résolution brusque d'aller voir s'il est un monde meilleur et surtout meilleur marché. Ne voulant cependant pas partir, mon cher neveu, sans te laisser un souvenir, j'ai pris la peine de me livrer à une petite opération de tenue de livres rétrospective qui, je l'espère, pourra t'être de quelque utilité.

Ainsi que tu l'as constaté probablement, rien ne se sait à Paris comme ce qu'on fait mine d'y cacher - j'ai été dévoré jusqu'au tronçon par une maîtresse répondant au nom d'Alice Florellini. Tu la connais, sans doute. Peut-être les jeux du vice et du hasard vous rapprocheront-ils quelque jour. Dans tous les cas, comme, dans le Paris actuel, ce type est tiré à des centaines d'exemplaires et que cette industrie s'y exerce avec d'insignifiantes variantes dans des conditions identiques, il m'a semblé pratique de te laisser, mon cher neveu, ce que les architectes appellent un devis.

La Florellini m'a coûté en dix-huit mois 714,225 francs 50 centimes. Je me suis complu à décomposer ce total, à seule fin de te faire voir ce qu'on a pour son argent. Que la leçon ne vaille pas sept cent mille francs, je n'y contredis nullement. Mais le plus dévalisé des oncles ne peut t'offrir que ce qu'il a, c'est-à-dire un petit cours d'expérience en une seule leçon. Puisses-tu en tirer profit et préservation !

Devis 
des 714,225 francs 50 centimes que m'a coûtés la demoiselle Alice.

1° Bouche, dont six dents étaient fausses et les tendresses menteuses : 45,825
 (Nota. Alice est une gastronome de premier appétit.)

2º Épaules et col, fardés avec art pour dissimuler les premiers ravages de la vie cascadeuse : 114,640
 (Les diamants cachent les salières.)

3º Voitures dans lesquelles elle faisait monter à tour de rôle tous les cabotins de son théâtre : 38,700

4° Meubles sur lesquels lesdits cabotins essuyaient leurs bottes, en mon absence : 72,535

5° Costumes dans lesquels elle exhibait successivement au public, pour sept francs la place, ce qui me revenait aux prix ci-dessus : 29,979

6º Faux cheveux et bonheur de couvrir de baisers ces tresses empruntées à quelque Auvergnate anonyme : 2,400

7º Rares mots tendres, dont elle se rattrapait ensuite en m'inondant de mépris dans ses conversations intimes avec ses amis : 50,820

8º Voyages qu'elle me décida à faire pour courir, sans que je m'en doutasse, après quelque amant qui l'avait plantée là : 30,010

9º Toilettes dont le luxe me couvrait de ridicule aux yeux de tous mes amis, - à qui j'ai peut-être fait dire cinq mille fois : "Cet imbécile de baron !" 108,900

10° Joie de faire le pied de grue à la porte du théâtre, où la demoiselle était censée répéter, alors qu'elle avait filé par l'autre sortie avec un amant de cœur : 31,000

11º Liqueurs fortes pour abreuver la mère, dont la pudeur avait quelquefois, à jeun, des retours offensifs : 755

12º Sommes variées pour compléter, dans le même but, l'action des liqueurs fortes : 11,407

13º Tabac à priser et à chiquer pour le père, qui parlait par-ci par-là de sa dignité : 264

14° Affaires négligées pour le culte de la demoiselle qui m'abrutissait si complètement : 80,000


15° Bonheur de s'entendre, quand la colère lui faisait monter la vérité aux lèvres, appeler vieux «  dégommé » ou « vieux ladre » : 22,000


16° Cadeaux pour amener une réconciliation chaque fois qu'elle m'avait mis à la porte après m'avoir injurié : 63,611


17° Spéculation entreprise in extremis pour essayer de me rattraper aux branches, avec l'espoir de prolonger, par un gain de Bourse, cette vie de honte et d'avilissement : 11,770


18° Pour l'achat du boisseau de charbon qui va me délivrer : 0,50

Total égal : 714.225,50

J'ai fini, mon cher neveu, et sans envie de recommencer, je t'en donne ma parole d'honneur. Mais ce que je voudrais, si c'est possible, c'est que tu ne recommençasses pas pour moi. Il te reste à attendre une autre fortune que la mienne. Heureusement pour toi. Je ne serai toutefois pas mort sans te laisser un héritage, si tu médites sur les chiffres ci-dessus et si tu en tires les conclusions que de droit.
Adieu... je vais allumer...
LE BARON GASTON DE M... »
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(Attention, ce qui suit est une sorte d'humour un peu particulier, sombre, ironique et cynique du 19ème siècle)

L’ivrogne.

C’est le nom qu’on lui donnait dans tout le quartier.
Terreur des femmes, dégoût des hommes, risée des gamins, on le regardait passer, battant les murs, zigzaguant sur les trottoirs, grommelant des mots incohérents, promenant autour de lui des yeux atones, gesticulant comme un moulin à vent.
Les têtes se détournaient, les huées pleuvaient, les gavrochades lui faisaient cortège.
- "Ohé ! L’ivrogne !"

Parfois même, quand il y avait surcharge, on le voyait s'affaisser soudain au bord du ruisseau.
Tas humain, inerte amas de loques et de sanies, il restait là jusqu’à ce que le sergent de ville passât.
Il était du quartier aussi, le sergent de ville.

De loin il reconnaissait cette vivante immondice qui s’était elle-même déposée parmi les ordures.
Il arrivait, il secouait l’engourdi… Rien !
Il le prenait alors à la force du poignet, le remettait sur jambes, le califat, le traînait, le poussait jusqu’au voisin poste de police, où son arrivée était saluée par ces mots redits en choeur :

"Comment ! Encore l’ivrogne."

Lui ne répondait rien.

En aurait-il eu la force, d’ailleurs ?
Il se laissait jeter dans un coin du violon comme un paquet de linge sale. Là, il s’endormait. Le lendemain matin, on l’éveillait.
"Ah ! Oui !…" Murmurait-il.

Puis il se confondait en excuses, se mettait à pleurer et s’en allait cahin-caha, tout en murmurant entre ses dents :

- "Ils ne savent pas pourquoi je suis ivrogne !"

Oh ! C’était bien simple, ce pourquoi.

Trois ans auparavant - aux abords de la trentaine - c’était un habile et vaillant ouvrier, ne renâclant jamais à la peine, probe, économe, heureux.
Une voisine se trouva sur sa route. Une ouvrière aussi. 18 ans, le type de cette parisienne qui s’habille d’un rien, qui vit de rien et qui rit pour rien.
Jacques pensa tout de suite, la première fois qu’ils se croisèrent dans l’escalier :
Voilà des yeux dont la risette égayerait joliment ma solitude ! Voilà une bouche dont les chansons me donneraient de gentils concerts dans ma mansarde !

C’est si embêtant de vivre tout seul, comme un chien en niche.
Jacques gagnait large. La petite avait l’air d’une débrouillarde qui vous mènerait un ménage haut la main.
On pourrait même s’offrir le luxe d’un mioche tout de suite.
Quelques semaines après, mariage s’ensuivait entre Jacques et Jeanne.

La lune de miel dura 6 mois. Pas plus. Au bout de 6 mois, comme Jacques revenait de la besogne après une demi-journée, vu que le patron avait donné « campo » pour sa fête, il trouva sa femme qui se becquetait avec Benoît, le mécanicien… Un ami qui lui avait servi de garçon d’honneur.

Il cassa les reins à Benoît, il gifla un brin sa femme et partit.
Le soir, quand il rentra, ramené malgré lui, parce qu’il l’aimait trop, il avait avalé, pour la première fois de sa vie, trois verres d’absinthe qui l’avaient déséquilibré.
Jeanne le salua de ces mots :
- "Il ne vous manquait plus que ça. Après avoir battu les femmes, devenir ivrogne !…"

On se raccommoda tout de même.
Il était si vraiment pris par la Parisienne !
Elle lui avait expliqué qu’il s’était trompé.
C’est lui qui avait demandé pardon à la fin.
Le raccommodement dura six autres mois…
Au bout desquels une lettre anonyme l’informa que le bijoutier d’en bas…
Tonnerre !… Ce n’était pas possible !… Un vieux comme tout… Laid… Repoussant… il s’embusqua cependant… Et il vit suivant les indications de la lettre anonyme - Jeanne qui sortait du restaurant avec le vieux comme tout.

Pour se monter, il avait avalé trois autres verres d’absinthe.
Quatre même.
Avec cela la surexcitation de l’attente.

Si bien qu’au moment où, les apercevant, s’élança, ses jambes flétrissaient sous lui.

- "Ah ! Gredin !" Balbutia-t-il d’une voix empâtée.

Le Céladon appela au secours en disant :

- "Arrêtez cet ivrogne !"


Le lendemain il pardonna encore.
C’était lâche. Parbleu ! Il se le disait bien.
Ce n’était pas tout ça du reste, cette Jeanne l’ensorcelait. Pas moyen de vivre sans elle.
D’autant plus qu’elle était devenue plus jolie encore en devenant plus coquette. Oh ! La mignonne, dans sa robe de cachemire vert, avec des boutons de métal et un col blanc bien rabattu… Presque une dame, quoi !

Bref, il avait pardonné, et il aurait pardonné sans doute bien d’autres fois encore, si Jeanne n’avait pris un moyen infaillible pour couper court à toutes ces simagrées-là.

Un soir, quand Jacques rentra de l’ouvrage, plus personne.
Un bout de billet sur la cheminée l’avertissait qu’elle en avait assez de cette vie-là ; qu’elle ne reviendrait jamais et qu’elle voulait profiter de sa jeunesse pour faire fortune comme les autres.
Ah ! Misère !… Ce que Jacques en but d’absinthe ce jour là !…
Le propriétaire, le lendemain, donnait congé à l’ivrogne.
A partir de ce moment, ça roula ferme. Il avait fait son possible pour rechercher Jeanne.
Rien !
Moins il trouvait, plus il buvait.
Plus il buvait, plus il voulait boire.
Car, dans ses moments lucides, c’était affreux ce qu’il souffrait. Quelque chose lui mangeait le coeur, comme il disait.
L’avilissement ne pouvait que suivre son cours. Il le suivit.
Et c’est ainsi qu’il en était arrivé à être celui qu’on connaissait dans tout le quartier, la terreur des femmes, le dégoût des hommes, la risée des gamins.
Celui qu’on ne désignait plus que par ce mot :
l’ivrogne !

Un lundi, jour de paie, - il avait travaillé par extraordinaire trois jours, cette semaine-là, - un lundi, Jacques était allé reconduire, de caboulot en caboulot, un camarade qui demeurait à Montmartre.
Il descendait la rue Notre-Dame-de-Lorette…
Ou plutôt, il la dégringolait, quand à l’angle de la rue de Martyrs, patatras !… Il s’abat.
Une voiture de maître, qui venait derrière, ne peut s’arrêter et lui passe sur le corps.
Dans la voiture, une dame à toilette tapageuse.
On s’attroupe… La dame descend… on relève l’homme, qui regarde :
- "Jeanne ! Rugit-il. C’est toi qui…"

Il ne peut achever. Plus personne !
Pendant ce temps la cocotte remonte tranquillement en voiture :
"- Soyez tranquille, Madame, avait dit l’agent qui avait dressé le procès-verbal, un rapport attestera que ce n’est pas votre faute."
Et il ajouta, en manière de conclusion philosophique :
"Il en restera toujours assez, de ces sales ivrognes !"
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