Sa vie, comme celle de tous les êtres, se résumait très exactement de cette façon : satisfaire ses instincts sexuels dans un milieu de plus en plus confortable. (p.199)
Mon père pris son plaisir, qu'il ne trouvait plus dans la satisfaction de ses sens, à acquérir des vignes et entasser de l'argent. Le démon qui le tenait alors était sans nul doute plus abject que l'autre, car l'appétit de sentir à toujours quelque chose de plus sain, de moins sordide, que l'appétit de posséder, de dominer. (p.18)