Citations sur L'histoire du communisme racontée aux malades mentaux (8)
Notre camarade Staline a dit : « la lutte des classes a lieu à tous les niveaux, la lutte des classes entre dans la phase décisive, elle devient de plus en plus aiguë. Sachez, camarades, que dans notre hôpital se cachent pas mal d’éléments subversifs pas mal de contre-révolutionnaires et pas mal de possibles saboteurs. Une partie des arriérés appartient à des classes hostiles. Une partie des idiots sont des éléments louches. Une partie des imbéciles sont des ennemis du peuple. Une partie des débiles mentaux sont des éléments suspects. La plupart des schizophrènes, des mélancoliques et des maniaques proviennent du milieu bourgeois et entretiennent dans le cadre de l’hôpital, une propagande douteuse. Voilà pourquoi je vous prie, chers camarades, de prendre des mesures urgentes, car sous le masque de l’aliénation et de la déficience mentale se cachent des redoutables réactionnaires ! »
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Trois. Pour sortir de la mère deux, il ne suffit pas de vouloir sortir de la la merde, il faut être unis. C'est ça que le camarade Lénine a dit un jour, en 1915, à Zurich, où il s'était réfugié…
Car il n’y a que par un discours réactionnaire, subversif et contre-révolutionnaire qu'on peut démasquer les éléments réactionnaires, subversifs et contre-révolutionnaires… C'est aussi simple que ça… Bravo Iouri Petrovski, bravo camarade ! Laissez-moi vous embrasser !
(p. 35)
Je voudrais que nous levions ce verre à la littérature socialiste mise au service du peuple et de la révolution.
(p. 32)
Quand vous écrivez, vous n'avez pas peur que parfois les mots… s'éloignent et…
(p. 28)
… Nous vous demandons, cher camarade, Iouri Petrovski, d'utiliser votre talent pour nous raconter en mots simples l'histoire du communisme et de la Grande Révolution Socialiste d'Octobre. Utilisez votre talent pour que nos malades puissent avoir eux aussi accès à la lumière du mouvement ouvrier.
Je suis convaincu, camarade, que raconter d'une façon adéquate l'histoire du communisme peut guérir certains troubles mentaux. (…)Car il n'y a pas que la médecine qui peut les guérir. Il y a aussi la pensée de notre Grand Camarade Staline qui va guérir nos malades.
Buvons encore un verre pour que la lutte des classes dans notre hôpital aboutisse à la victoire du prolétariat.
(p. 33)