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Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Une lecture pleine de poésie. 🎵
Un bon moment de lecture mais dont l'histoire était trop lente à mon goût. J'ai eu du mal à entrer dedans, à m'attacher aux personnages avec la distance de la narration. Au final, j'ai bien aimé Alba mais pas vraiment Lethan dont je ne comprenais pas certaines réactions légèrement “enfantines” selon moi. Mais c'est sûrement dû au fait que je pensais que c'était une romantasy adulte alors qu'il s'agit d'un livre YA !
J'ai beaucoup aimé le worldbuilding et son originalité. La plume est très jolie, très poétique sans être dans l'excès. Ce sont les deux points qui, selon moi, font la force de ce roman ! Je le recommande à tous ceux qui cherchent des lectures mignonnes, douces, sans complot politique à tout va. 📖
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Ada Vivalda nous entraine dans le domaine d'Hibernia, anciennement l'Irlande, à une période où la Terre a été partiellement abandonnée.
La majorité de la population humaine a émigré vers d'autres planètes, plus accueillantes que la Terre soumise à des pluies incessantes, l'inondation progressive de ses sols et les difficultés de culture.
D'Alba, qui gère Hibernia, on ne saura pas grand-chose de sa longue vie (qui se compte en siècles) avant qu'elle ne trouve son foyer dans cette île. Ancienne génie, elle aurait accordé trop de voeux aux humains et a été déchue de sa position.
Alba est aux buttes avec les dirigeants de l'Ile voisine Cymru : les conditions de vie sur Hibernia sont enviées, notamment celles liées à l'alimentation, et un émissaire de Cymru se porte volontaire pour trouver les secrets qui expliquent une telle opulence.
Ce que j'ai aimé dans ce livre, c'est la personnalité d'Alba, femme forte qui gère l'ile, négocie avec ses adversaires pour survivre et sauver les habitants de son domaine, et femme sensible qui accueille et aide les orphelins , tout en essayant de ne pas trop s'attacher ayant déjà tellement souffert au cours des siècles lors de la disparation d'êtres aimés.
Ce qui est bien tourné dans ce livre, outre l'évolution des relations entre Alba et l'émissaire Lethan et les questionnements de chacun, ce sont les dialogues entre les 2 protagonistes principaux quand Alba remet à sa place Léthan, tellement sûr de lui et de son charme.
Un livre bien agréable à lire, entre fantasy et romance, et dont l'écriture est très fluide. A réserver aux jours de pluie, avec une tasse de thé !
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Alors… Je ne lis pas trop de romance. La dernière que j'avais lue devait être le premier tome d'Hadès et Perséphone, et j'avais été surprise de ne pas le trouver aussi cliché que ce à quoi je m'attendais. Pour autant, je ne l'avais pas spécialement refermé en me disant que je devrais lire plus de romances à la mode. Et puis, j'ai écouté un peu le podcast de Chris Vuklisevic, dont j'avais adoré du Thé pour les fantômes, et dans lequel elle mentionnait l'idée d'écrire de la romance, mais probablement sous pseudonyme ; ce qu'elle a fini par faire, donc, sous le doux nom de plume d'Ada Vivalda. J'ai donc lu ce roman par amour pour son autrice, pas spécialement pour le genre (même si le changement de nom doit alerter sur le fait qu'on ne va pas lire la même chose !).

Alba est donc une Génie, bannie par les siens car elle a accordé plus de 3 voeux à une famille humaine, ce qui est grandement répréhensible. Nous la découvrons dans un futur ni très proche ni très éloigné, sur une Terre qui pleure déjà de nombreux disparus parmi les animaux, et dont la plupart des Humains ont quitté l'appauvrissement des sols et les déchaînements météorologiques pour terraformer d'autres planètes. Sur l'île d'Hibernia, où elle vit, la terre donne toujours, et elle a réussi à maintenir un confort pour elle et les autres habitants qui semble unique sur la planète. Pourtant, la montée des eaux menace Hibernia, qui a besoin de l'aide de l'archipel voisin pour construire des digues… Et cela tombe bien, puis que les voisins en question ont des vues sur la fertilité des terres d'Alba ! C'est donc avec l'envoi d'un émissaire sur Hibernia que les affaires doivent se conclure.

Je retrouve un trope bien connu avec ce livre : ennemies to lovers. C'est-à-dire, pour ceux qui comme moi ne suivent pas trop, que le récit prend une forme stéréotypée dans ses événements : les deux protagonistes commencent par se détester pour finir ensemble (non, ce n'est pas vraiment du spoil, relisez la quatrième : « un émissaire aussi détestable que séduisant ». Donc ce serait du gâchis). Je ne suis pas très fan de ce trope, personnellement, parce que je le trouve beaucoup trop prévisible et que je déteste le cliché du gros macho et de la blanche colombe. L'autrice tombe dans certaines redites ; toutefois elle en évite d'autres. J'ai donc à la fois pu lever les yeux au ciel lors de la énième mention de la beauté de Lethan, comme j'ai pu apprécier leurs discussions à coeur ouvert. Leur histoire est quand même belle, et la fin très attendue malgré -j'imagine- la volonté de vouloir surprendre les lecteurs m'a ravie plus que déçue.

Par contre, j'ai trouvé le personnage d'Alba souvent immature. Elle ne parvient pas à calmer ses nerfs en présence de Lethan, ce que je trouve particulièrement curieux pour une Génie âgée de plusieurs siècles ; à la fois je pense que c'était mieux pour l'histoire, et à la fois j'ai eu très conscience d'être assise dans mon canapé à lire un roman. Lethan, lui aussi, manque souvent de subtilité dans sa guerre contre Alba.

D'autres personnages ponctuent le récit, les habitants de l'île, les orphelins dont s'occupe Alba, mais aussi la famille avec laquelle elle vit. Sans les trouver forcément très fouillés, je les ai pourtant bien appréciés et me suis trouvée heureuse de leurs échanges. On leur souhaite une fin heureuse, clairement, comme à Alba et Lethan, et on aime leurs propres destins. J'ai supposé que si l'on n'en savait pas beaucoup plus à leur sujet, c'était aussi parce qu'Alba, ayant connu trop de pertes, se refuse à trop s'attacher à eux (et notamment les enfants de l'orphelinat).

En parlant de perte, l'environnement de la protagoniste est un environnement difficile puisqu'elle a déjà assisté à la mort de plusieurs derniers représentants de leur espèce. Cette notion de perte est très présente tout le long du roman, et façonne en grande partie la personnalité de l'héroïne. Parfois, dans la description des champs de thé ou dans des conversations semblant anodines, nous oublions que le monde se meurt et que la majorité de l'Humanité ne l'a pas considéré assez précieux pour le sauver. Mais en trame de fond, toujours, la perte. Rendue poétique par la plume sublime de Chris Vuklisevic.

Bon, bien sûr, il s'agit d'une romance, publiée dans une maison d'édition de romance, donc on ne va pas s'apitoyer trop sur notre sort non plus. Ne laissez pas ces notions vous refuser l'accès au livre, qui est délicieux et se dévore sans faim !

Pour ma part, j'ai beaucoup aimé ce voyage en terre de romance. J'ai retrouvé la douce langue de Chris Vuklisevic qui m'a à nouveau enchantée, et j'ai eu tout de même un plaisir coupable à lire cette histoire d'amour peu conventionnelle avec une Génie comme personnage principal (créature trop peu vue en créations culturelles contemporaines…). Je recommande bien volontiers Porcelaine sous les ruines, qui a trouvé sa place dans notre rayon Young Adult !
Lien : https://folitteraires.wordpr..
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Ce livre a été vraiment une petite pause particulière dans mes lectures habituelles et il me laisse un souvenir très spécial (dans le sens positif du terme).

J'avais beaucoup apprécié la lecture de du thé pour les fantômes de la même autrice et j'attendais avec impatience de découvrir ce livre-là (qui promettait un peu plus de romance).

Au final, le livre correspondait à mes attentes, que ce soit en termes d'intrigue ou de style d'écriture. Honnêtement, je pense qu'il faut se préparer sur le fait que le rythme est "à part". On est loin des fantasy où l'action prédomine. de la même façon, beaucoup le présentent comme une romantasy, mais je pense que l'aspect romance peut décevoir ceux qui ne veulent lire que ça. À l'inverse, je pense que le livre peut vraiment plaire aux personnes qui n'aiment pas les romances.

Les principaux points positifs à mes yeux sont, évidemment, le style d'écriture (que je trouve poétique et vraiment hypnotisant si on peut dire) et l'intrigue de base.

Le seul petit point ""faible"", c'est que j'ai trouvé les twist un peu prévisibles (mais bon, ça se serait passé autrement j'aurais été déçue).

Honnêtement, ce livre est à lire au moins une fois, mais il faut vraiment avoir les bonnes attentes.
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Pas mal ! J'avoue être agréablement surprise d'avoir apprécier ce livre qui n'est pas du tout mon genre de prédilection. Pour parler honnêtement la romantasy c'est pas du tout ma cam. La romance qui s'éternise dans un univers de fantasy c'est ce que j'aime le moins. J'ai l'impression qu'on perd un temps considérable dans le texte alors qu'il y a bien plus intéressant ailleurs.
La première moitié de porcelaine sous les ruines n'a pas fais exception, je n'ai pas été particulièrement emballée. J'ai déjà lu l'autrice, j'ai adoré son précédent roman ( du thé pour les fantôme) mais même si c'est très bien écrit je ne retrouvais pas ici, la poésie de sa plume.
La dynamique ennemi to lovers fonctionne correctement selon les codes du genre. D'un côté une femme froide et orgueilleuse et de l'autre un homme beau a en crever, arrogant mais attachiant. En somme rien de nouveau sous les tropiques. Ils se détestent mais sont pétris de désir l'un pour l'autre.
Au final c'est la seconde partie du roman qui m'a convaincue. L'autrice est parvenu à donner quelque chose d'intéressant à son univers. Ça donne un souffle très agréables car des enjeux autres que ceux amoureux trouvent leur place. L'ensemble est prévisible, mais s'avère divertissant.
Finalement ce sont tous les détails d'univers, du passé des personnages, des enjeux propre à la fantasy, des personnalités des persos secondaires qui m'ont fais passer un bon moment. C'est lent et contemplatif, ça cherche la beauté dans le monde et la nature ce sont des parties que j'ai aimé.
J'en sors donc agréablement surprise. Il est possible que ce soit l'une des rares romantasy à m'avoir plû ainsi.
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Alba a été chassée sur terre pour avoir accordé trop de voeux aux humains. Alors que les flots montent et qu'une partie de la population a déjà quitté la planète, elle tente de sauver la terre d'Hibernia et ses habitants. Jusqu'à l'arrivée de Lethan, envoyé par le conseil de Cymru, bien décidé à lui voler ses secrets ou annexer sa terre.

Lorsque Porcelaine sous les ruines est sorti, j'avais été attiré par la magnifique couverture (et l'intérieur du collector, avec le cabinet de curiosités est juste sublime !), mais rebuté par l'estampillage "Romantasy". Pourtant, lorsqu'on m'a dit que sous la plume d'Ada Vivalda se cachait Chris Vuklisevic dont j'avais beaucoup aimé les premiers romans, je me suis dit que c'était l'occasion de laisser sa chance à ce genre, ou en tout cas de lire celui-ci !
Et j'ai bien fait, parce que j'ai beaucoup aimé. Alors, certes, la romance est quasi omniprésente (même si le côté écologie de fin du monde est plutôt bien mené jusqu'au bout !), mais j'ai trouvé qu'on se rapprochait plus d'Orgueil et Préjugés que de romans (que je juge sans avoir lu, j'avoue) du genre de Captive, Devil's sons, etc, où les auteures semblent glorifier les relations toxiques et l'absence de consentement...
Ici, c'est plus subtile, la romance, si elle commence par de l'attraction physique, est bien menée, et surtout cohérente ! L'alternance entre les personnages est très fluide (on est loin du chapitre elle, chapitre lui), ce qui donne une lecture très agréable. Les personnages secondaires, s'ils sont un peu en retrait (mais il s'agit d'un one-shot), sont assez originaux et attachants.
Donc, pour moi, un très bon roman, facile à lire et prenant, avec certes de la romance, mais soft et bien écrite, donc si vous êtes curieux(ses) du genre sans avoir envie de textes plus explicites, essayez celui-là !
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Si vous cherchez un roman à l'ambiance magique / mystique, vous êtes au bon endroit.
Plein de mystères, de subtilités et de douceur, Porcelaine sous les ruines est un vrai moment de lecture hors du temps.

J'ai trouvé le rythme un peu trop lent à mon goût, avec une action (qui selon moi) se découpe en 70/30, où la majorité de l'action, de la romance et de l'intrigue se passe sur la dernière partie.
Malgré cette lenteur, ce livre est plein de qualités avec des personnages très bien construit, et la beauté de la Romance m'a vraiment conquise.
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�lle chérissait ces moments de paix et de sérénité, immergée dans d'autres vies, dans d'autres combats, dans d'autres amours et d'autres déchirements. Les mots l'émouvaient et la ravissaient. Ils lui faisaient oublier, un peu, l'angoisse qui la tenaillait du lever au coucher 🪶

Porcelaine sous les ruines, de @chris.vuklisevic_ada.vivalda était la sortie de début d'année qui m'intriguait le plus : en effet, quand on a eu deux coups de foudre pour les précédents romans de cette autrice, on ne peut qu'être enthousiaste à l'idée de découvrir une nouvelle oeuvre de sa plume (Oui, je parle de moi).

L'autrice s'essaie ici à la romantasy, et je dois dire que le pari est plutôt réussi. Si certains aspects de l'histoire ne m'ont pas forcément plu ou emballé plus que ça, j'ai été embarquée par bien d'autres éléments, qui sont clairement la marque de fabrique de Chris ! L'histoire fait preuve d'une originalité au niveau du cadre : nous sommes dans un monde imaginaire certes, mais qui ressemble par bien des aspects au nôtre des milliers d'années après la fin du monde causée par le réchauffement climatique (et la fuite d'une partie de l'humanité vers d'autres univers spatiaux). Cette dimension post-apo/SF teintée de fantasy avec la présence de Djinns, c'était le petit twist savoureux des premières pages. Amour de l'Irlande et de ses vertes prairies, pluies continuelles, tasses de thés réconfortantes, trope secondaire autour de la found family, tout cela a su me plaire.

Quant à nos deux protagonistes, qui font le sel et le feu de cette romance, qu'en ai-je pensé ? Si j'ai aimé d'emblée Alba, cette Djinn condamnée à errer sur Terre pour avoir accordé trop de voeux aux humains, j'ai eu beaucoup plus de mal avec Lethan. Son ambivalence m'a agacée et je l'aurais plus apprécié s'il avait été présenté comme un "gentil" dès le départ (le trope ennemies to lovers n'est pas mon préféré). Malgré tout, j'ai aimé leurs joutes verbales et l'évolution de leur relation, ainsi que les personnages secondaires savoureux (Fergus🧡) et les manoeuvres politiques

J'en profite pour saluer le très beau travail éditorial mené par les @editionsolympe !

�s-tu lu ce livre ? Veux-tu le découvrir ?
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J'ai découvert Ava Vivalda l'année dernière sous son autre nom de plume Chris Vuklisevic dans  "Du thé pour les fantômes" que j'avais beaucoup apprécié. 
C'est donc avec un grand plaisir que j'ai lu son dernier roman où le thé y tient une grande place, où l'atmosphère est magique et mystérieuse.... 
 
Un one shot original par son univers.
L'action se passe dans le futur, un monde post-apocalyptique où la Terre est peu à peu engloutie par les eaux. Sur ces terres restantes où la technologie a disparu, la vie essaye de perdurer comme le faisaient nos ancêtres.
Sur fond d'intrigue politique entre Hibernia et Cymru, l'auteure nous invite à partager l'histoire émouvante et bouleversante de Alba et Lethan, des âmes soeurs perdues à la recherche de leur moitié....
 
La plume de l'auteure est douce, poétique et mélancolique. Certains n'aimeront pas le rythme lent, pour ma part, j'ai adoré, les mots de l'auteur nos imprégnant tout au long de la lecture.
 
Ce livre est bien plus qu'une histoire d'amour, c'est
- une ode à l'amour véritable,
   - celui de deux âmes soeurs,
   - celui d'une famille, d'un peuple....
- une ode à l'espoir,
- une ode à la famille, son foyer...
 
Je ne m'attendais pas du tout à ce genre de roman, et j'ai été très agréablement surprise.
Je vous invite vraiment à découvrir ce roman superbement écrit, intense et percutant...
Une pépite qui ne peut laisser indifférent...
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Le 3e roman d'Ada Vivalda réussit une très convaincante variation autour du genre usé jusqu'à la corde de la romantasy, au style excitant (à tous les sens du terme), tout en conservant de la fantasy l'esprit plutôt que la lettre.

Tout comme Derniers jours d'un monde oublié, son premier roman (sous le nom de Chris Vuklisevic), j'ai moins accroché à la substance narrative. Il me semblait qu'il se passait assez peu d'évènements, tandis que l'opposition Cymry, certes planante, reste à l'arrière-plan la plupart du temps.

On pourrait critiquer son worldbuilding de low fantasy comme minimaliste, mais son choix se porte vers une épure saisissant une essence de la fantasy. Dans cette Hibernia inondée et pluvieuse, aux paysages renversants, où hommes et femmes travaillent la terre sous le regard imparfait mais vif de leur dirigeante, où trône un majestueux château poli par les âges, où se déroulera une étonnante bataille, où des rêves rappellent un passé glorieux mais perdu, l'autrice nous transporte bien dans un autre monde. Les ajouts fantastiques sont très ponctuels et adornent davantage qu'ils ne forment cet esprit fantasy. Less is more.

Rarement fan de romances surtout avec le type "enemies to lovers", la version de Vivalda m'a paru très aboutie. Développant à fond les multiples couches de ces personnages à la fois puissants et fragiles, puis les fusionnant jusqu'à brouiller les lignes, avant de les mettre à nu, Vivalda triomphe à nouveau sur son point fort : les personnages. le duo/duel entre Alba et Lethan aurait dû paraître artificiel, il est fluide, organique, logique, naturel. Vivalda sait si bien passer des rapprochements torrides et interrompus, aux éloignements glaciaux où couve la passion. Less is more est encore la règle, puisqu'elle se montre bien plus érotique avec son style suggestif, que les descriptions crues habituelles du genre.

Porcelaine sous les ruines offre une réussie variation dans le genre romance tout en captant à merveille l'esprit de la fantasy. Je suis plus que jamais convaincu que Chris Vuklisevic/Ada Vivalda est une de nos plus prometteuses et singulières romancières de fantasy.
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