La mort d'un animal nous ébranle toujours, sans doute parce qu'elle nous semble plus injuste, se dit-il.
Au bout de quelques secondes, le téléphone a cessé, un peu comme une truite agonisant sur la berge.
Personne ne comprenait pourquoi on ne la découvrait jamais au même endroit dans l’immense maison ni pour quelle raison elle passait ses étés à vagabonder sur les trois hectares de terrain, comme un chat qui urine pour marquer son territoire.