On a tous une personne spéciale dans notre passé. Ce n'est pas nécessairement celle avec qui on finit. Mais c'est elle, pour une raison ou une autre, qui nous colle à la peau. On peut aller de l'avant, mais on garde une partie d'elle avec soi.
Je suis ici pour toi.
Je veux que tu fasses de nouveau partie de ma vie.
Même si tout ce que tu m'accordes, c'est ton amitié.
Merde. Ça ne me suffira jamais.
Pas avec toi.
On a tous une personne spéciale dans notre passé. Ce n'est pas nécessairement celle avec qui on finit. Mais c'est elle, pour une raison ou une autre, qui nous colle à la peau. On peut aller de l'avant, mais on garde une partie d'elle avec soi. Parfois, si les choses n'ont pas l'occasion de se développer, cette personne prend une place encore plus importante dans ta vie, même si elle est partie.
C'était elle, la femme de ma vie.
Les moments que nous avions passés ensemble défilèrent dans ma tête : toutes ces conversations, ces réflexions profondes, ces papotages étrangers et amusants.
C'était elle.
Ça avait toujours été elle.
- Mon Dieu que c'est bon de rire à nouveau.
- C'était quand la dernière fois ?
Mes mains caressèrent son dos.
- C'était avec toi.
Mack était l'homme de ma vie. Je ne pourrais jamais retrouver la puissance de ce qui nous unissait avec un autre... parce que cela faisait des années que cela aurait dû arriver.
Parfois, Frankie, j'ai pu oublier temporairement certaines de nos conversations. J'ai peut-être même eu du mal à me souvenir exactement à quoi tu ressemblais. Mais pas une seule seconde je n'ai pu oublier ce que tu me faisais ressentir... ce lien qui nous unissait.
C'est un sentiment que je n'ai jamais pu retrouver.
II m'a manqué. Tu m'as manqué. Bien trop.
Non seulement Mackenzie Morrison se tenait juste devant moi, mais il était encore plus beau que dans mes souvenirs. Il était tout ce dont je me souvenais, mais en mieux. Ses muscles étaient encore plus saillants et une barbe de trois jours ombrait sa mâchoire anguleuse. Ses yeux brillants transperçaient les miens avec une détermination qui me mit légèrement mal à l’aise. Manifestement, ces retrouvailles n’avaient pas le même effet sur lui que sur moi. Alors que je restais bouche bée, incapable de dire quoi que ce soit, il semblait préparé à cet instant
- Avant, je trouvais un peu bizarre, c'est vrai, mes tes excentricités me plaisent de plus en plus. En fait, les choses normales commencent à me sembler ennuyeuses en comparaison.
- Bienvenue dans mon monde.
« – QU’EST-CE QU’IL Y A ENTRE TOI ET MACK DADDY ? JE VOUS AI OBSERVÉS TOUS LES DEUX. J’AI FAILLI AVOIR UN ORGASME.
– COMMENT TU L’AS APPELÉ ? MACK DADDY ?
– OUI. MACK DADDY. C’EST COMME ÇA QUE TOUT LE MONDE LE SURNOMME ICI. TU NE LE SAVAIS PAS ?
– C’EST BIEN TROUVÉ. »