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Critique de karkarot
Tant de choses ont déjà été dites sur ce petit livre, il y a plus de critiques que de contenus pour cet ouvrage de Bernard Werber.
Mais qui sait, mes mots toucheront peut être plus certains que ceux d'autres, et peut être pourrais-je apporter un petit quelque chose, une pierre à l'édifice.
Comme tant d'autres je trouve que la qualité des livres de cet auteur de best sellers baisse au fur et à mesure. J'ai adoré les Fourmis, toute la trilogie m'a tenue en haleine. J'ai bien aimé feuilleter l'Encyclopédie du savoir relatif et Absolu, j'ai apprécié les Thanatonautes, l'Empire des Anges, j'ai moins aimé le Souffle des Dieux, puis retrouvé un peu de passion pour le Père de nos Pères... puis j'ai arrêté.
Je sais bien que le Livre du Voyage est antérieur aux derniers que j'ai cité mais pour moi il est venu après, et c'est donc lui qui m'a vraiment fait ressentir la chose suivante: Bernard Werber tourne un peu en rond. Certes les thèmes qu'il évoque me plaisent assez, me touchent, mais ce sont toujours les mêmes, présentés de façon souvent simplistes, comme si la vie pouvait se résoudre à ça, se résumer ainsi.
Il me semblait de plus en plus que c'était surtout des propos de salon destiné à briller le temps d'un bon mot lors d'un dîner mondain, mais pas plus.
Ce livre est donc gentillet, il passe en revue ce que disait déjà Werber auparavant, et qu'il continue à dire, sur un ton un peu paternaliste, trop amical pour être vrai, doucereux, presque "gourouteux", assez désagréable à vrai dire.
Quelques trouvailles et jolis passages font passer le tout, mais du peu me concernant.
Heureusement il se lit très très vite, mais franchement rien d'essentiel et d'incomparable...
Mais qui sait, mes mots toucheront peut être plus certains que ceux d'autres, et peut être pourrais-je apporter un petit quelque chose, une pierre à l'édifice.
Comme tant d'autres je trouve que la qualité des livres de cet auteur de best sellers baisse au fur et à mesure. J'ai adoré les Fourmis, toute la trilogie m'a tenue en haleine. J'ai bien aimé feuilleter l'Encyclopédie du savoir relatif et Absolu, j'ai apprécié les Thanatonautes, l'Empire des Anges, j'ai moins aimé le Souffle des Dieux, puis retrouvé un peu de passion pour le Père de nos Pères... puis j'ai arrêté.
Je sais bien que le Livre du Voyage est antérieur aux derniers que j'ai cité mais pour moi il est venu après, et c'est donc lui qui m'a vraiment fait ressentir la chose suivante: Bernard Werber tourne un peu en rond. Certes les thèmes qu'il évoque me plaisent assez, me touchent, mais ce sont toujours les mêmes, présentés de façon souvent simplistes, comme si la vie pouvait se résoudre à ça, se résumer ainsi.
Il me semblait de plus en plus que c'était surtout des propos de salon destiné à briller le temps d'un bon mot lors d'un dîner mondain, mais pas plus.
Ce livre est donc gentillet, il passe en revue ce que disait déjà Werber auparavant, et qu'il continue à dire, sur un ton un peu paternaliste, trop amical pour être vrai, doucereux, presque "gourouteux", assez désagréable à vrai dire.
Quelques trouvailles et jolis passages font passer le tout, mais du peu me concernant.
Heureusement il se lit très très vite, mais franchement rien d'essentiel et d'incomparable...
