Destinée suédoise, tome 1 : La Fille du Hälsingland

1937, alors qu'elle n'a que 17 ans, Betty quitte sa famille et son Hälsingland natal pour rejoindre la capitale suédoise. Là-bas, on l'attend comme femme de ménage chez un riche médecin de la ville. Tout excitée par cette folle aventure, elle va faire la rencontre dans le train d'un jeune juif passionnant qui partage son amour de la littérature. Mais en arrivant à Stockholm, elle se rend compte que tout n'est pas aussi rose qu'elle l'avait imaginé…

Dès les premières pages, je me suis prise d'affection pour Betty. Cette jeune femme à peine sortie de l'enfance qui se retrouve seule dans le grand monde qu'elle ne connaît qu'à travers les livres qu'elle dévore. Elle est jeune, parfois un peu naïve, mais j'ai aimé la voir évoluer au fil des mois. On la voit  s'acclimater à sa nouvelle vie. Elle prend ses marques avec courage et détermination, malgré les embuches qu'elle trouve sur son chemin. Les gens, et particulièrement ses employeurs, n'ont pas toujours été tendres avec elle, mais elle s'affirmait de plus en plus chapitres après chapitres et ça m'a plu.

A travers les différents personnages et leurs statuts, on aborde plusieurs sujets importants tels que la condition de la femme et des employés de maison, la montée du fascisme ou encore l'homosexualité, entre autres. L'histoire se déroule en 1938, aux portes de la seconde guerre monde avec la montée grandissante du nazisme. Même si nous sommes en Suède, pays qui n'a pas pris directement part au conflit, on sent que la vie des personnages va être impactée au cours des prochains tomes.

Avec ce premier opus, on prend le temps d'apprendre à connaître Betty et on pose les bases de cette nouvelle saga. Je ne me suis pas ennuyée une seule seconde en compagnie de notre héroïne et j'ai déjà hâte de la retrouver, pour suivre sa nouvelle vie.
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La fille du Hälsingland est une fille douce, passionnée par les livres et qui cuisine divinement bien. Elle est forte malgré son jeune âge pour travailler comme employée de maison.

Me voici en 1937, en Suède, aux prémices de la Seconde Guerre mondiale, aux côtés de Betty. Je me suis attachée à elle. Je l'ai soutenue et j'ai séché ses larmes. J'ai échangé avec elle sur ses lectures et je l'ai aidé en cuisine pour la soulager.

Ce roman est délicat. Il se savoure. Il se contemple. J'ai aimé suivre Betty dans son quotidien éprouvant. Il met en avant le métier difficile et les conditions des employés de maison. Betty est remplie de courage.

Ce roman est fort. Il traite de sujets importants comme l'homosexualité, la condition humaine, le respect, le partage entre autres. Chaque mot est à sa place. Chaque plat cuisiné est une ode à la vie qui rassemble malgré les valeurs de chacun.

Ce roman renferme une histoire d'amour. Une histoire d'amitié. Une rencontre. Des rencontres. Ce roman est pluriel. En d'autres termes : j'ai adoré ! Vivement la suite !

Alors, le livre phénomène... Je suis dubitative. Je viens de le refermer et je ne comprends pas l'engouement. Ce n'est pas mal écrit en soi, mais ça manque cruellement de profondeur. Je vais peut-être paraître dure dans mes propos, mais à mon sens, on est ici dans un roman de gare, mêlé à un roman à l'eau de rose.

Le pitch n'a rien d'exceptionnel et a déjà été exploité de long en large, avec la pauvre jeune fille modeste et campagnarde qui débarque en ville pour travailler comme bonne de maison. Et bien sûr, elle rencontre l'amour dans les 15 premières pages et passe les 400 suivantes à se languir de l'homme de sa vie. Vous voyez le cliché ?

Notre jeune protagoniste, Betty, me semble d'une totale inconsistance. Si vous appréciez les personnages avec une force de caractère, avec une profondeur, passez votre chemin. Betty est terriblement niaise et pleurnicharde. J'ai eu quelques moments de lecture qui m'ont donné envie de la baffer, littéralement !

Enfin bref, je ne lirai pas les prochains tomes. Et je suis assez contente d'être arrivée au bout de celui-ci.

Suivre les aventures de Betty a été un vrai plaisir pour moi. J'ai eu du mal à lâcher ce roman et la lecture m'a privée de quelques heures de sommeil.
J'ai aimé les descriptions de Stockholm, ressentir l'atmosphère de cette époque . L'enthousiasme de Betty lorsqu'elle découvre tout ce que cette ville peut offrir est agréable à lire.
Et je me suis attachée à la plupart des personnages, bien décrits .
Parfois j'avais envie de dire à Betty : nooon ne fais pas ça, mais elle l'a fait quand même.
J'attends avec une immense impatience la suite, parce que je veux voir grandir encore Betty .
Une belle lecture que je recommande :-)

Suède,1937. Betty, âgée de 17 ans, quitte son village natal, sa famille pour rejoindre une famille aisée de Stockholm en tant que bonne/cuisinière.

Elle aime beaucoup la lecture. Dans le train pour Stockholm, elle rencontre Martin Fischer, professeur qui lui donne un livre ainsi que ses coordonnées.

On suit Betty dans son quotidien en tant que bonne. J'ai découvert la culture suédoise, leur vie quotidienne, leur alimentation. C'est très détaillé et donc très intéressant.


J'ai passé un excellent moment aux côtés de Betty. C'est une jeune femme pleine de vie, courageuse. Elle travaille dur pour gagner sa vie. Elle découvre la vie dans une grande ville mais également l'amitié et l'amour. Malheureusement elle est vite rattrapée par la dure réalité de la vie. Je me suis d'ailleurs très vite attachée à elle.

Ce livre remplit pour moi les cases du premier tome d'une saga historique classique : le quotidien d'une bonne dans une famille riche, les histoires d'amour, les premières désillusions, le contexte historique riche, aux prémices d'une guerre.

J'ai vraiment adoré ce premier tome et j'ai vraiment hâte de lire la suite !

C'est le troisième roman que je lis dans cette collection « Au gré du monde » et je suis enchantée et émerveillée à chaque lecture.

Malgré un début qui m'a paru un lent et un peu long à se mettre en place, j'ai finalement complètement adhéré à cette lecture et je me suis très fortement attachée à Betty.

Nous sommes en 1937 à la veille de la seconde guerre mondiale et Betty, une jeune femme de 17 ans, quitte tout ce qu'elle a toujours connu pour partir travailler à Stockholm comme femme de chambre pour un couple de personnes aisées. Les choses ne vont malheureusement pas se passer comme elle l'espérait, en plus du manque des siens, elle va devoir faire face à une patronne acariâtre et au comportement très changeant. Elle va devoir se tuer à la tâche et sans une once de gratitude et de reconnaissance.

Certaines rencontres vont complètement bouleverser sa vie de jeune femme et sans en vous en dire davantage, j'ai été complètement happée par son histoire et par ce qu'elle va devoir vivre. Elle va devoir faire preuve de beaucoup de courage et d'abnégation, Betty va faire preuve d'une grande résilience afin de faire face aux événements qui vont s'enchainer et auxquels elle ne s'attendait pas du tout.

Un très joli roman de 570 pages que j'ai dévoré en trois jours, la plume de l'autrice est vraiment très agréable et très fluide, il se lit très facilement et je pense que les longueurs que j'ai ressenties en début de roman étaient nécessaires afin de mettre en place tous les personnages et le rôle qu'ils vont jouer.

Il s'agit du 1er tome d'une saga et je serai évidemment aux premières loges afin de découvrir la suite des aventures de Betty que j'ai trouvées passionnantes, j'ai déjà hâte de la retrouver.

1e tome lu d'une nouvelle saga suédoise prometteuse !

À l'aube de la seconde guerre mondiale, on suit Betty dans ses aventures d'employée de maison à Stockholm dans une famille aisée dont le mari est médecin. Betty, issue d'une famille très modeste, va tant bien que mal s'adapter à sa nouvelle vie loin de sa campagne pour s'émanciper et construire sa nouvelle vie. Elle fera la rencontre de plusieurs personnes, amis, amant, sur qui elle pourra compter pour surmonter toutes ses épreuves. Mais toutes ne seront pas de son côté.

Comment Betty va-t-elle s'adapter ? Que lui réserve son avenir ?

J'ai aimé cette lecture bien que je l'ai trouvée longue et où les pages avaient du mal à défiler, sans trop savoir pourquoi.

Dès les premières pages, je me suis attachée à Betty. J'ai aimé cette jeune fille un peu naïve qui arrive en tant que femme de chambre dans une riche famille.
C'est un bouleversement pour elle à seulement 17 ans et je trouve qu'elle s'est rapidement acclimatée à ses tâches.

Il est beaucoup question de l'éventualité d'une guerre en approche dans ce tome et je pense que la vie de tous les personnages va s'en trouver bouleversée dans le prochain tome.

L'histoire m'a un peu fait penser à la saga de la villa aux étoffes avec quand même moins de personnages et de longueurs.

J'ai adoré ce roman et j'ai déjà hâte de retrouver tous les personnages dans le deuxième tome.

Attachement immédiat pour Betty l'héroïne de ce roman qui porte à elle seule la réussite de ce début de saga dont il me tarde déjà de découvrir la suite. Arrivée de sa province suédoise pour la capitale, elle est employée par le docteur Molander et sa femme (Madame le Docteur donc, une formule à laquelle il faudra se faire !). Des journées de folie au service de ce couple, toutes les tâches de la maison lui incombent et 24 heures sont bien souvent trop courtes pour la quantité de corvées. Mais Betty s'adaptera vite : faisant ce qu'elle peut et laissant de côté les corvées sans queue ni tête exigées par sa patronne.

Betty c'est la petite héroïne qu'on apprécie forcément parce qu'elle a sa personnalité, sa propre idée de la vie qu'elle souhaite vivre et une détermination suffisante pour réussir à atteindre ses objectifs. Elle va se faire une amie employée de maison comme elle, sortir vivre sa vie de jeune femme, se mettre à lire autant qu'elle le peut… On pourrait dire que le fil du roman est monotone et pourtant j'ai adoré cette lecture.

La plume de Katarina Widholm est joliment descriptive, tous les passages dans la cuisine de Betty m'ont mis l'eau à la bouche surtout quand on sait le temps qu'elle passait dans sa cuisine pour réaliser seule de tels menus ! C'est pour ça que j'ai illustré ma photo avec de délicieuses brioches à la cannelle, comme un clin d'oeil à ce roman dans lequel la cuisine occupe une grande place.

Bien évidemment, comme dans toute saga historique, nos héros sont malmenés et Betty n'échappera pas à cela et devra faire face à plusieurs événements qui la forceront à réécrire le fil de sa vie. Mais même à travers ces imprévus, je l'ai trouvée follement courageuse cette jeune femme, un vrai chat qui retombe toujours sur ses pattes ! Les thèmes traités dans le roman sont tous intéressants, on est, en prime, en Suède, pays où l'avancée des droits (et celle des femmes en particulier) a été bien en avance et il est très intéressant de revivre ces événements à travers le roman.

Je sais que l'arrivée de la 2nde guerre mondiale va forcément réserver de nouveaux durs moments à nos héros mais quoi qu'il arrive, il me tarde déjà de les retrouver !
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Amoureux des sagas historiques et familiales, La fille du Hälsingland est fait pour vous ! L'histoire d'une incroyable destinée, d'une jeune fille déterminée, courageuse, dans une société menaçante à l'aube du second conflit mondial. Je me suis rapidement sentie prise d'amitié pour Betty, attendrie par son innocence et son insouciance. Malheureusement tout était trop beau…

Si certaines ficelles étaient bien assez grosses pour que je les vois venir à des kilomètres, j'ai pourtant adoré cette lecture. Je me suis laissé porter par cette histoire de vie, spectatrice du parcours emmenant Betty sur la voie de la maturité.

La fin du roman donne follement envie de lire le suivant… qui paraîtra au printemps chez @harpercollinsfrance
Inutile de vous dire que j'attends avec impatience 🥰