En 1870 un élève de Harvard décide de tout quitter pour trouver, dans la nature du sauvage Ouest américain, le sens de sa vie. Ce qui promettait d' être une leçon de survie dans la nature tourne très vite en boucherie (!) à la recherche mercantile du plus grand nombre de peaux de bisons. Lesquels sont écorchés vifs, par milliers, pour leur peau.
Nul doute que cela ait existé mais pour moi, trop c'est trop.
Je n'avais pas percuté en lisant le titre… Dommage, la couverture montrait un magnifique bison marchant dans la neige à l‘orée d‘une forêt, j'attendais l'évocation de la liberté et de la nature qui sont trop peu au rendez-vous de ce roman. J'ai trouvé une boucherie sanguinaire et mercantile.
Commenter  J’apprécie         40