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Critique de Kaya


Je retrouve Martin Winckler dans "Le Choeur des femmes" avec un roman beaucoup plus lumineux que "La vacation". Cette dernière était centrée sur un unique personnage en proie à une profession aussi riche qu'éprouvante.
C'est encore une histoire de médecins, de "soignants", mais loin du malaise, du silence qu'impose "La vacation", dans "Le Choeur des femmes" on rit, on s'attriste, on s'énerve, on s'interroge.
J'ai pris beaucoup de plaisir à lire ce roman, malgré une trame narrative très/trop tarabiscotée par instant... Ca fait quand même beaucoup de hasards dans un seul roman. Et puis il faut bien l'avouer que Jean/Djinn ( cette prononciation m'a d'ailleurs rappelé cette sorte de "démon" sémitique dont parle Eliette Abécassis dans son roman "Sépharade, je me demande si c'était conscient.) est une vraie tête à claque par moment ! Son évolution est intéressante, mais j'aurais aimé qu'elle garde un peu de son mordant initial, plutôt que de se couler si vite dans le moule "Karma".
Malgré tout, j'ai mis quatre étoiles, cela n'a pas dû me déranger tant que ça!

A quand " La maladie de Sachs"? Bientôt sans doute. J'adopte Winckler, advienne que pourra!
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