« Le monde artificiel qu'est la ville exerce sur nous de nombreux stimuli pour lesquels nous n'avons pas été conçus. »
D'où la nécessité pour nous de réactiver ce lien qui nous unit à la nature, parce qu'il n'y a pas en fait
L'homme et la nature, comme deux entités distinctes et séparées, mais l'homme qui fait partie intégrante de la nature.
« J'ai parfois le sentiment qu'il nous manque un peu de respect des temps passés. Quand les arbres et la nature en général influençaient bien davantage notre vie culturelle. »
Peter Wohlleben nous invite à réfléchir sur nos relations avec la nature, à les penser autrement et à agir en conséquence. Protéger la nature, c'est aussi protéger notre espèce.
Le livre, de part la formation, le travail et la sensibilité de l'auteur, est plutôt « L'homme et les forêts » que «
L'homme et la nature » au sens large. Il nous sensibilise à l'importance des forêts, à ne pas confondre avec les plantations d'arbres, et notamment des forêts primaires.
L'ouvrage est intéressant même si je l'ai trouvé moins attractif que les précédents.
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