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Quel tome passionnant ! Plus le temps passe, plus je trouve la série forte et profonde. Elle a réussi à se défaire petit à petit de ce côté trop didactique que je lui reprochais au début pour devenir bien plus humaine.

Yatora est désormais étudiant à Geidai mais loin d'être un accomplissement, ce n'est que le début de quelque chose de totalement nouveau et la nouveauté peut déconcerter et faire peur. Avec beaucoup de justesse et de profondeur, Tsubasa Yamaguchi revient sur les difficultés qui attendent désormais notre héros et c'est un régal de le voir à nouveau douter et tâtonner pour avancer.

Je pensais avoir déjà vécu un grand moment lors des épreuves, je n'étais pas au bout de mes surprises. A peine Yatora entré à Geidai que les épreuves s'enchaînent. L'autrice nous plonge avec beaucoup de réalisme dans la réalité d'un étudiant de première année en école d'art, avec peu d'heures de cours et beaucoup de temps libre, avec peu de guidage et surtout des guides un peu obscur, mais surtout avec une vision du monde à totalement redécouvrir. On comprend que le héros perde pied mais c'est ce qui va rendre cette nouvelle phase encore plus passionnante car voir les gens se chercher, c'est magnifique.

Alors oui, l'autrice utilise pour cela beaucoup de pathos et de dramatisation. On a souvent l'impression que le héros est au bout de sa vie et qu'il mériterait un bon coup de pied au cul. Mais au final, les questions qu'il se pose sont légitimes, tout comme ses hésitations. Les profs sont très exigeants, lui il est très jeune, forcément l'alliance des deux coincent et il faut se rappeler qu'en plus il a commencé le dessin et la peinture que tout récemment, il n'a donc pas un passif aussi solide que les autres. C'est d'ailleurs l'une de mes incompréhensions de la série. S'il aime tant l'art et s'il est tellement novice, pourquoi ne va-t-il pas plus souvent au musée ? Pourquoi ne se plonge-t-il pas plus dans les livres d'arts ? Pourquoi ne part-il pas plus en exploration du monde extérieur pour avoir des références ? Ses parents eux-mêmes semblent plus s'y intéresser que lui... C'est étrange.

En attendant, Yatora ne fait pas marche arrière, il reste le garçon sensible qu'on a découvert. Et malgré le poids qui pèse sur ses épaules : poids d'être entré du premier coup, poids d'être la fierté de ses parents et de son entourage, il n'abandonne pas. Son choix final est d'ailleurs assez judicieux, montrant qu'il a bien compris ce qu'il lui manquait et ce qu'il lui restait à accomplir. C'est d'ailleurs très chouette de la part de l'autrice de le confronter dans son cheminement aux pensées et visions d'autres camarades reçus ou non et de nouvelles figures comme ses professeurs. Cela augure vraiment une suite pleine de profondeurs sur ce que c'est que d'être un artiste.

Blue Period est donc le genre de manga qui se bonifie vraiment au final des tomes. Tout comme son héros grandit, l'oeuvre de l'autrice également. Elle affûte sa narration, ses personnages, ses mises en scène. Il y a encore des petits réglages à faire mais la mise en oeuvre est déjà superbe et ce nouveau chapitre sur les premiers temps compliqués d'un élève en école d'art est passionnant !
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Aucune inquiétude à avoir, la série avec son nouvel arc ne perd rien de sa force, sa puissance, son intelligence, et encore une fois elle nous entraîne totalement avec elle en mettant en avant des réflexions très intéressantes. Nous découvrirons de nouveaux personnages, mais en verront également des anciens.
Pour lire la suite, soit vous êtes à jour par rapport au tome précédent, soit avoir quelques informations supplémentaires ne vont dérangent pas.
Yatora a réussi à être admis à l'université de Geidei, qui est dite encore plus dure et inaccessible que Todaï. Pourtant comme on le dit souvent, ce n'est que le début.
Réussir le concours était une étape, mais maintenant l'attend encore un long chemin, et plus il ira loin dans études, plus il sera long, ce qui ne laissera insensible aucune personne ayant expérimenté l'université. Il y a quelques réflexions percutantes propres à ce lieu d'études, mais où à part à certains moments, on n'a pas vraiment d'obligations et il faut tout gérer soi-même.
Il y a également une remarque très puissante sur les échecs, mais aussi le regard de l'autre.
Yatora a réussi du premier coup, un sacré exploit, pourtant il ne cesse de douter de lui, et va traverser une phase très difficile. Certaines remarques de ses professeurs sont pour lui incompréhensibles voire trop difficiles à entendre. Pour Yatora, ce nouveau monde s'annonce très laborieux.
Il va rencontrer Maria Hanakage, un sacré bout de femme, d'une façon assez dingue. Il va revoir des gens, faire connaissance avec ses nouveaux enseignants, avoir les premiers travaux à faire et beaucoup se questionner.
Mais il va aussi revoir ses amis. Ce passage à l'extérieur lui fait du bien et nous permet de profiter des beaux décors de la ville. Il va également revoir une autre personne et mutuellement quelques part ils vont se guider.
Ce n'est clairement pas simple de trouver sa voie, faire ses choix, peindre la toile de sa vie. le tome passe comme un rien, et on ressort toujours aussi conquis.
Une oeuvre percutante à découvrir si ce n'est pas déjà fait et que vous en avez l'occasion.
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Ce manga est une vraie merveille et plus on avance dans l'histoire plus je la trouve intéressante. Bien que je n'y connaisse absolument rien en art et que ce ne soit pas un sujet qui m'intéresse vraiment, je dois bien avouer que Blue Period m'a fait changé d'avis. Ce que j'aime le plus quand je lis un tome de ce manga, c'est le fait que je sais d'avance que cette lecture va me plaire mais surtout on ne cesse d'apprendre tout un tas de choses. Et rien que pour ça, c'est hyper enrichissant.

Dans ce septième tome, on retrouve Yatora qui a réussi le concours d'entrée à Geidai du premier coup. Et c'est le moment pour lui de faire sa rentrée. Il est plein d'attentes mais également plein d'inquiétudes. Il fait ses premiers pas à l'Université des Arts de Tokyo pour goûter à sa nouvelle vie d'étudiant! Il va y faire des rencontres surprenantes mais il va également se confronter à la dure réalité des écoles d'art..

J'ai énormément aimé ce tome là. Yatora a réussi son concours d'entrée et je suis si fier de lui. Surtout qu'il l'a réussi du premier coup et ça faut bien avouer que ça reste un quasi exploit. Malheureusement, cette rentrée ne ce passe pas comme il l'aurait espéré. Il souffre du syndrome de l'imposteur. Il ne se sent pas légitime d'être ici et ne cesse de se remettre en question. Ça me fait beaucoup de peine de le voir comme ça. Comme il a commencé à dessiner que depuis peu, il pense qu'il n'a pas sa place ici comparé à certaines personnes qui dessinent depuis qu'ils sont enfants. Pas facile à gérer le syndrome de l'imposteur. le problème avec Yatora c'est que lorsqu'il se retrouve confronté à une difficulté, il ne cesse de se rabaisser. J'espère qu'il finira par prendre confiance en lui!

Ce septième tome marque un tournant au manga, en effet on suit désormais Yatora étudiant à l'école d'art de Geidai. Je sens que la suite va être passionnante et que l'on ne va cesser de découvrir beaucoup de choses. J'ai hâte de voir si Yatora va remonter la pente et retrouver confiance en lui. Et puis j'aime le fait de toujours apprendre quelque chose sur l'art à chaque lecture. C'est super intéressant et surtout très enrichissant.
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C'est un vrai régal de se plonger dans chaque nouveau tome de Blue Period, je sais qu'à chaque fois, je vais passer un bon moment de lecture, où les difficultés ne sont pas nuancées, mais bien mises en avant pour que même nous en tant que lecteur soyons confrontés à cette réalité. Sans être ou sans avoir été étudiants, on imagine très bien ce qu'ils doivent ressentir ou encore le monde injuste et terriblement difficile de l'art. Une part, je pense qu'il nous ait laissé par son histoire, si l'on étudie de plus près l'histoire de l'art, et son évolution au fil des siècles. Mais aussi, par les messages et valeurs qui sont véhiculés comme mon préféré, que l'art s'apprécie différemment en fonction de l'individu. En effet, tout le monde ne peut pas aimer la même chose, et j'adore cette diversité !

On reprend le cours de notre histoire avec notre protagoniste Yatora qui a réussi le concours pour rentrer dans une des écoles d'art les plus prisées du Japon. On peut légitimement penser que notre personnage est un petit génie en art, surtout quand on voit son parcours. Il débute tardivement la peinture, et arrive à être sélectionné du premier coup dans cette université, alors que pour certains, il faut essayer plusieurs fois avant de pouvoir y arriver. Mais à chaque élément qui le mette en avant, et lui permette d'exprimer sa chance, la mangaka ne se gène pas pour casser cette idée, et lui imposer de nouvelles difficultés, et c'est exactement ce qui va se passer dans ce nouveau tome.

On va aborder un nouvel arc dans ce manga, puisque l'on va se concentrer sur les nouvelles années d'étude à l'université pour Yatora. On va pouvoir découvrir sa rentrée et tout le stress que ça incombe, mais aussi la rencontre avec les nouveaux camarades et rivaux comme on peut les qualifier. Les rencontres avec les étudiants plus âgés, mais aussi, et le plus important, la présence des professeurs, qui ont cette image importante d'autorité et de présence pour orienter les élèves.
C'est tout nouveau pour lui comme pour nous, et on est curieux de faire ses nouvelles rencontres, mais la mangaka n'oublie pas pour autant les anciens, ceux avec qui notre protagoniste a partagé de sacrés moments de joie, de tristesse ou de colère.

De ce fait, on va pouvoir suivre la rentrée à Geidai et tout ce qu'il va devoir accomplir, avec la compagnie de Yotasuke notamment, puisqu'ils ont tous les deux réussis le concours. Il va pouvoir se faire de lui un nouvel allié dans ces nouvelles épreuves. Mai notre Yatora, va retrouver aussi des personnes du concours, d'ailleurs pour une, elle va amener du fan service inutile et dégradant, c'est un des points noirs de ce tome...
Mais avec ces nouvelles épreuves, on n'a pas l'impression que Yatora soit très à l'aise, et même moi face à tous ces personnages, je n'ai pas eu les meilleurs sentiments pour eux. Ils semblent tous assez blasés et froids autant élèves que professeurs, c'est un peu déroutant et déstabilisant au premier abord, mais je pense qu'il faut s'y faire. Mais les autres étudiants ont vraiment un sacré niveau, et j'ai apprécié les explications sur les concours et ce que cela apporté de ne pas les réussir du premier coup.
Par contre j'ai beaucoup aimé les parents de Yatora, qui ont vraiment une belle évolution depuis le début de la saga. Ils sont vraiment à fond derrière lui, et essaient de le soutenir du mieux qu'ils peuvent, j'ai beaucoup aimé les voir dans ce tome, et comme à chaque fois d'ailleurs depuis quelques temps.

Notre protagoniste doit de nouveau faire face à l'adversité, et comme à chacune des difficultés, il se descend, perd totalement confiance en lui, mais je pense qu'ici, il a vraiment touché le fond, et se rend compte de ce qu'est une école d'art sélective. Malheureusement c'est le même schéma depuis le début, et se serai bien de se renouveler... Notre protagoniste doit faire face à une difficulté, il se remet en question ou discute avec une personne extérieure, il se remotive à chaque fois et sort quelque chose d'excellent. Sur le principe ça fonctionne, mais ça devient répétitif et j'attends aujourd'hui un renouvellement sur le caractère de Yatora, un peu plus de confiance en lui.
En revanche, la mangaka nous présente une Maki différente et gonflée à bloc que j'ai beaucoup aimé découvrir, c'est aussi une façon d'explorer toutes les formes d'art. Cela peut vraiment être intéressant et amener un second souffle à cette saga, de ne pas juste se contenter de la peinture sur huile, bien que notre protagoniste à ce niveau-là se renouvelle et tente toujours de nouveaux outils et matériaux, pour sortir le meilleur de lui-même. Je suis vraiment curieuse de pouvoir découvrir la suite en sa compagnie, mais aussi de voir la nouvelle évolution de Yatora au sein de l'université, et de voir comment il va rebondir pour présenter une oeuvre qui tienne debout (littéralement) !
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Maintenant que Yatora a réussi son concours, il fait face aux talents et aux compétences de ses camarades d'école de Geidai et la vérité lui fait mal. le syndrome de l'imposteur le frappe en pleine poire. La mangaka montre la dure réalité des études dans le monde de l'art mais aussi les débouchés, la compétitivité, la remise en question de soi. Yatora n'a plus le temps d'être fier d'avoir réussi son concours, il est temps de travailler, réfléchir et s'améliorer vite et bien. Cette série est riche et profonde. Chaque tome a son lot d'actions et de questionnements. Yatora se donne à fond et souffre autant, un garçon sensible qui veut donner le meilleur de lui-même. Un héros comme on les aime quoi !
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Je viens de lire le septième volume de "Blue Period" alors que je lis la série "Arte" de Kei Ohkubo. Les deux séries ont un thème commun, l'art. Mais elles sont aux antipodes l'une de l'autre. Pour Arte, à la Renaissance, l'art est synonyme de liberté : la jeune femme s'affranchit de son destin tout tracé grâce à son talent. Dans "Blue Period" de Tsubasa Yamaguchi, dont l'action se passe à notre époque, les personnages sont à l'inverse toujours stressés, à commencer par le personnage principal, Yatora Yaguchi. Les artistes ne travaillent plus en corporation sur des chantiers pour embellir les cités, mais dans un esprit de concurrence et de compétition tout en s'interrogeant sur la définition de l'art. Quand on lit les deux mangas, on a l'impression que ni le bonheur ni la beauté ne se trouvent à l'université de Geidai malgré le progrès. Tout est devenu éphémère, objet de compétition, de convoitise plus que d'admiration. Pourtant, on trouve dans "Blue Period" une peinture tout à fait percutante du stress contemporain, de la peur de l'échec ou du syndrome de l'imposteur. de temps à autre, le héros Yatora Yaguchi a des fulgurances, montre qu'il parvient justement à se défaire de tout ce carcan pour créer et vivre véritablement. Mais l'oeuvre reste assez sombre et réaliste, tout en suivant certains codes du nekketsu. Même en ayant réussi une épreuve, tout reste à recommencer pour l'artiste.
Lien : https://www.instagram.com/fo..
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Blue Period de Tsubasa Yamaguchi

Yatora Yaguki a été admis au concours de Geidai du premier coup, il est angoissé et ne se sent pas très à l'aise .

Avant la Cérémomie de Rentrée il s'est mis à dessiner beaucoup plus que d'habitude.

Accompagnée de Yotasuke Takahashi, ils vont découvrir l'Université des Arts de Tokyo.
C'est un grand domaine avec une section musique et une section des Beaux-Arts.

Situé au Département Peinture , ils vont rencontrer leurs professeurs et leurs camarades de promo.

Chacun va se présenter à tour de rôles, avec ses oeuvres .
On va constater de nouvelles personnalités, compétences artistiques face au groupe.
Chacun va montrer des oeuvres originaux et cela ne sera pas forcement de la peinture à l'huile , au grand désespoir de Yatora!
il va rester sur une présentation simple de lui-même, avec ses réalisations à l'Ecole Prépa art.
Un des Professeurs de la spécialité Penture à l'Huile appelé Tsukinoki va lui poser une question importante et nécessaire:
"-Quel genre d'oeuvres as-tu envie de créer par la suite ?"
Il va alors être confronter à oublier tout ce qu'il à appris à la Prépa et s'inspirer de multitude de chose, élargir son champs de compétences d'artistiques.

Savoir par exemple ce que c'est "qu'une installation ?"

-Remise en question, Rencontres, Echanges vont être nécessaire pour que Yatora puisse se sentir pleins d'Energies et être plus déterminé que jamais!
Après une défaite, on sens les personnages plus fort, c'est vraiment scénariser de façon intelligent .


Je suis trop contente d'avoir lu le tome 7 de Blue Period !

j'aime beaucoup cette série car elle est très prenante on apprends pleins d'informations sur la peinture à l'huile et l'univers d'artistes.

L'autrice elle- meme diplomée par les Beaux-Arts de Tokyo, maitrise bien son sujet et nous questionne sur cet univers .
le tome 1 de Blue Period fait partie de la selection des 12-15 ans 2021 des Mordus du Mangas des Bibliothèques de la ville de Paris .

https://lesmordusdumanga.home.blog/2021/09/01/__trashed/

Pour en savoir plus sur l'univers de Tsubasa Yamaguchi autrice de Elle et son Chat, Blue Period

https://www.bodoi.info/tsubasa-yamaguchi-de-lart-et-du-manga/

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Le nouvel arc nous emmène (enfin) à l université de Gedai !

Et le début est pour le moins inattendu ! Et pose d'entrée de jeu de nouvelles questions et doutes à Yatora.

Tome de mise en place du nouvel arc donc. Toujours intéressant même si je l'ai trouvé moins prenant que les précédents.
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Début du nouvel arc de cette série, après le tome 6 j'avais peur de me lancer dans la suite et d'en être déçue mais pas du tout, la série devient plus profonde et soulève des questions sur la vie d'artiste mais aussi sur la vie universitaire en général. Des questions parfois sans réponse mais un tome très réussi qui comme toujours peut vous apprendre des termes du monde de l'art qui sont jamais expliqué mais toujours présent dans les galeries
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J'avais hâte de commencer cette lecture, de débuter cette nouvelle étape pour Yatora, tout en redoutant ses états d'âme.

Notre héros a donc réussi son examen d'entrée à Geidai du premier coup. Il craint de ne pas être à la hauteur et c'est en effet le cas, mais il faut dire qu'il est jeune et a peu d'expérience dans le domaine du dessin puisqu'il ne s'est lancé dans l'aventure que tardivement et son entraînement ne l'a préparé qu'au concours, pas à la suite.
Il se rend alors compte que son succès n'est finalement pas à son avantage : certains premières années ont passé l'examen plusieurs fois, sont donc plus âgés que lui et ont donc un vécu plus riche, une expérience plus étendue.
Yatora se remet une fois de plus en question, sauf qu'au lieu de surmonter ses échec, il se démoralise totalement… ce qui est surprenant, mais je suppose que ça ouvrira la suite du récit à de nouvelles expériences. J'attends de voir.

Il y a de nouveaux personnages, tous plus perchés les uns que les autres, ils sont nombreux donc je ne vais pas tous les énumérer. Seule Maria Hanakage est suffisamment présente pour que je m'attarde sur son cas. Je ne sais pas quoi penser d'elle : elle semble boire beaucoup, elle est bien plus âgée que Yatora, et est cependant de bons conseils ce qui la rend quand même sympathique.

On sent que c'est un tome de transition, pas forcément passionnant, mais il faut bien que tout se remette en place. C'était une bonne lecture, sans plus.
Lien : https://psylook.kimengumi.fr..
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