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Critique de Rhodopsine
Déception!
Après La dure loi du karma, je me réjouissais de plonger dans un autre roman de Mo Yan. Las! de roman il n'a que le nom, il s'agit d'une succession de saynètes, épisodes mettant en scène la tante du narrateur, gynécologue en Chine dans les années cinquante. Au gré des changements idéologiques, elle est portée aux nues ou conspuée. A lire comme un documentaire sur la vie en Chine sous Mao, mais pas comme en roman: personnages sans épaisseur, intrigue inexistante, juxtaposition de petites histoires, qui ont fait la grande, bien sûr. Plus ennuyeux que passionnant, un humour attendu, et finalement à réserver aux passionnés de cette période en Chine.
Après La dure loi du karma, je me réjouissais de plonger dans un autre roman de Mo Yan. Las! de roman il n'a que le nom, il s'agit d'une succession de saynètes, épisodes mettant en scène la tante du narrateur, gynécologue en Chine dans les années cinquante. Au gré des changements idéologiques, elle est portée aux nues ou conspuée. A lire comme un documentaire sur la vie en Chine sous Mao, mais pas comme en roman: personnages sans épaisseur, intrigue inexistante, juxtaposition de petites histoires, qui ont fait la grande, bien sûr. Plus ennuyeux que passionnant, un humour attendu, et finalement à réserver aux passionnés de cette période en Chine.
