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Critique de sl972
Ce court roman a attiré mon regard d'abord par sa couverture, puis par son titre.
De quoi parle-t-il ? Répondre cette question est une tâche délicate car on peut, très facilement, en dire trop – comme le fait, selon moi, la quatrième de couverture.
Si l'on reste concis et le plus vague possible, voici ce qui se passe : nous suivons une femme, Mari, qui a décidé d'aller contempler les Vues du mont Fuji d'Hokusai en personne. Elle ne veut pas simplement voir la montagne ; non, elle veut la voir exactement comme Hokusai l'a peinte, sous chaque angle. Qu'elle est la raison de cet étrange pèlerinage ? Nous l'apprendrons progressivement au cours de notre lecture.
Petit avertissement : ne vous attendez pas à tout comprendre dès le début. Si vous aimez les livres qui exposent clairement la situation de départ, qui vous révèlent les détails de l'intrigue dans un ordre logique et qui racontent les choses selon leur chronologie, vous n'apprécierez sans doute pas cette lecture.
Ici, pas de scène d'exposition ou de prologue. On entre directement dans le vif du sujet, ce qui peut déstabiliser même les lecteurs les plus aguerris. Généralement, je n'aime pas avoir l'impression de ne pas comprendre ce qui se passe. Mais ici, étrangement, cela ne m'a pas vraiment dérangé.
J'ai aimé suivre le parcours De Mari, même sans tout comprendre. Cela est surtout dû au style si particulier de Roger Zelazny alliant une construction classique à un ton poétique rempli de douceur. le résultat est un roman bien plus cyberpunk qu'il n'y paraît, mêlant habilement science-fiction et rêverie.
En résumé, ce roman, un peu déstabilisant au départ, se révèle en définitive une charmante escapade dans l'univers de cet auteur un peu à part dans le monde de la science-fiction.
De quoi parle-t-il ? Répondre cette question est une tâche délicate car on peut, très facilement, en dire trop – comme le fait, selon moi, la quatrième de couverture.
Si l'on reste concis et le plus vague possible, voici ce qui se passe : nous suivons une femme, Mari, qui a décidé d'aller contempler les Vues du mont Fuji d'Hokusai en personne. Elle ne veut pas simplement voir la montagne ; non, elle veut la voir exactement comme Hokusai l'a peinte, sous chaque angle. Qu'elle est la raison de cet étrange pèlerinage ? Nous l'apprendrons progressivement au cours de notre lecture.
Petit avertissement : ne vous attendez pas à tout comprendre dès le début. Si vous aimez les livres qui exposent clairement la situation de départ, qui vous révèlent les détails de l'intrigue dans un ordre logique et qui racontent les choses selon leur chronologie, vous n'apprécierez sans doute pas cette lecture.
Ici, pas de scène d'exposition ou de prologue. On entre directement dans le vif du sujet, ce qui peut déstabiliser même les lecteurs les plus aguerris. Généralement, je n'aime pas avoir l'impression de ne pas comprendre ce qui se passe. Mais ici, étrangement, cela ne m'a pas vraiment dérangé.
J'ai aimé suivre le parcours De Mari, même sans tout comprendre. Cela est surtout dû au style si particulier de Roger Zelazny alliant une construction classique à un ton poétique rempli de douceur. le résultat est un roman bien plus cyberpunk qu'il n'y paraît, mêlant habilement science-fiction et rêverie.
En résumé, ce roman, un peu déstabilisant au départ, se révèle en définitive une charmante escapade dans l'univers de cet auteur un peu à part dans le monde de la science-fiction.
