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Citations sur Être heureux et créer du bonheur (10)

Trois hommes sont en train de casser des cailloux. Un promeneur observe ces trois hommes et constate que leur façon de travailler et leur attitude sont radicalement différentes. Le premier semble souffrir beaucoup et dit : « Ce métier est stupide, je suis mal payé et malheureux ». Le second fait son travail de façon mécanique : « Ce métier n'est pas terrible mais il me permet de gagner ma vie ». Le troisième affiche un visage radieux et travaille avec entrain : « Je bâtis une cathédrale ».

Le fait est le même, le geste est le même, le réel aussi, mais la signification attribuée au travail des cailloux métamorphose complètement la manière dont il est perçu.
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L'estime de soi découle de ce qu'on nous a renvoyé un certain nombre d'éléments positifs sur soi, que l'on peut repérer et qui nous procurent un sentiment de sécurité.
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Lâchez tous vos ressentiments. Ils sont semblables à des poisons et polluent toutes relations. N'entretenez plus vos accusations ; ne ruminez plus vos rancoeurs. Renoncez surtout à vous disqualifier et tâchez de ne plus succomber au malin plaisir de la plainte et des regrets.
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De ces contes qui nous font parfois rire, nous retenons que si l'homme est plus fort que la femme, celle-ci détient cependant le pouvoir de le faire chavirer par les plaisirs de la table et de la chair. Le conte de la princesse des Nides nous enseigne que c'est en comprenant l'histoire et les sentiments de l'autre que l'on parvient à toucher son coeur. Je retiens de L'anneau magique qu'un bonheur apparent peut devenir une grande source de souffrance mais s'avérer être une voie d'accès au paradis.

Il était un jour un homme qui, après avoir médité une pleine année dans une grotte du désert, s'en alla frapper à la porte de sa bien-aimée. Derrière la porte close, il entendit la voix de sa bien-aimée qui disait : « Qui est là ? » L'homme droit, sur le seuil, répondit : « C'est moi ». Et derrière la porte close, il entendit la voix de sa bien-aimée qui disait : « Il n'y a pas de place pour toi et moi dans la même maison ». Alors cet homme droit, cet amant véritable, s'en retourna au désert, pour une pleine année encore il médita. Quand il eut médité une pleine année encore dans cette grotte du désert, il s'en revint frapper à la porte de sa bien-aimée. Et à nouveau derrière la porte close, il entendit la voix de sa bien-aimée qui disait : « Qui est là ? » L'homme droit, sur le seuil, répondit : « C'est toi-même », et la porte s'ouvrit.
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Nous avons tous différents besoins, qui le plus souvent ne sont pas respecté. Le premier institue la nécessité de se dire avec des mots à soi, pas ceux que l'on aurait empruntés ou qui nous auraient été dictés. Nous avons ensuite besoin d'être entendu, et paradoxalement ce sont souvent dans les relations les plus vitales que nous nous sentons le moins entendus. Le besoin d'être reconnu est tout aussi important : être reconnu non pas uniquement dans ce que je fais, mais aussi dans ce que je suis. Nous avons besoin d'intimité, de moments pour se retrouver seul avec soi-même. Le besoin de rêver constitue l'ultime nécessité. Besoin de rêver que demain sera meilleur qu'aujourd'hui.
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L'amour-don, c'est être sans attente tandis que le bonheur, c'est être là « à la bonne heure », c'est-à-dire ne pas attendre, ne pas faire attendre. Si l'on attend que le bonheur soit toujours pour plus tard, on ne fait qu'attendre l'autre ou les autres qui pourraient être là pour nous, attendre les rendez-vous avec soi-même, toutes ces possibilités d'être dans le mouvement de la vie à la « bonne heure ».
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Dans nos vies il y a des moments où nous sommes saboteurs, où l'on se trouve dans le vaccin du « On n'est pas là pour rigoler » ou dans l'autre vaccin du « Il faut être heureux quelle que soit la difficulté de la chose à vivre ». Il vaudrait mieux accepter la souffrance, pour aller voir ce qu'elle nous enseigne, et bien la vivre afin qu'elle soit transformatrice.
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Toute vraie rencontre est un péril inespéré : la maladie consiste à « tourner en rond ». Toute vie connaît cet enlisement fatal. Il n'y a que l'autre, cette irritation assurée, qui puisse me délivrer de moi-même. Car lui seul, lui l'empêcheur de tourner en rond, fait brèche en moi et me rend un péril béni d'être vivant.
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Beaucoup de violences ont trait simplement au fait que nous n'exprimons pas ce qui est en nous. Par ailleurs, nous ne nous aimons bien souvent que si nous sommes performants, c'est le piège du faire. Nous culpabilisons quand nous avons l'impression de ne pas en avoir fait assez.

Les sentiments, les besoins et les demandes constituent essentiellement la structure de la Communication non-violente qui nous invite à les formuler plutôt que d'attendre que les autres les aient devinés.
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Les causes du burn-out peuvent être liées à l'organisation du travail, à la fois par son contenu mais aussi par son environnement. Certaines ressources permettent de nous préserver du burn-out. Les premières sont constituées par le sentiment de justice au travail. Le contrôle sur son activité représente la deuxième catégorie de ressources. La troisième catégorie de ressources se caractérise par le soutien social.
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