AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
3,36

sur 191 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Dans une note finale, José Rodrigues Dos Santos nous explique : “Le défi pour ce roman a consisté à tisser une histoire autour de la conscience animale, de l'intelligence et des émotions des animaux, une intrigue où les animaux seraient eux-mêmes à la fois le thème du livre et les protagonistes, mais d'une manière différente de celle qui est habituellement employée lorsque les animaux jouent un rôle dans une fiction… pour ce faire, j'ai choisi le roman policier, même s'il est évident pour moi que ce livre ne peut être décrit stricto sensu comme un policier.”
Cette note aurait peut-être dû être introductive, ou j'aurais dû la lire en préalable car l'intrigue policière est un peu une arnaque, prétexte à de longues digressions sur la cause animale, ses conditions de vie dans l'élevage extensif et la destruction de la planète que cet élevage produit.

Ceci dit, le propos est bien documenté, la démonstration est implacable et surprenante de la part de “l'un des plus grands auteurs de thrillers scientifiques en Europe, " dixit la quatrième de couverture.

Dès lors, ce qui était l'originalité de ce livre devient le thème principal qui nous capte. L'étude éthologique de l'auteur portugais est fouillée lorsqu'il nous parle des animaux, de leur intelligence, de leur langage, de leurs émotions, de leurs sentiments… en donnant la part belle aux primates.
Puis l'auteur nous parle de l'élevage industriel : des conditions “inanimales” d'élevage et d'abattage des vaches, des cochons, des poulets.
C'est quand il passe aux effets nocifs de l'élevage intensif que l'auteur martèle sa thèse :
“Mais combien de politiques parlent du problème de l'élevage industriel, qui contribue bien plus au réchauffement climatique que tous les moyens de transport de la planète réunis ? pour quelle raison les gouvernements nous encouragent à passer à la voiture électrique, en se donnant ainsi l'air de se préoccuper d'écologie pour capter les voix de l'électorat vert, mais continuent de subventionner massivement la production animale, finançant et encourageant par ce biais le croissance de l'activité humaine qui contribue le plus à la déforestation de la planète, à la consommation d'eau douce, à la pollution, à la fin de la biodiversité et aux émissions de gaz à effet de serre ?”


Pour bien asséner le message, l'auteur illustre ses propos avec force schémas : celui d'un steak d'un kilo qui a besoin de 13 000 litres d'eau pour être produit.
Celui de l'homme qui consomme 1,5 l d'eau par jour quand chaque animal d'élevage utilise en moyenne 150 litres en tenant compte de tous ses besoins.
Enfin le troisième dessin montre que chaque être humain qui mange de la viande dépense chaque année 1,5 millions de litres d'eau !

Ce livre est sensé être un thriller dont l'intrigue, nous dit David au pseudo de “TrueDuck”sur Babelio : “L'histoire se résume sur un timbre poste : le meurtre d'un soigneur d'animaux. Tout accuse la femme de Norhona. Elle s'enfuit face à la police. Son mari va tenter de prouver son innocence en... s'enfuyant aussi…”

Vous l'aurez compris, c'est la thèse de l'existence d' ”Âmes animales” qui m'a marqué, même si se faire administrer une leçon est parfois ressenti de manière dérangeante.
Il nous propose une bibliographie de cinq pages en fin d'ouvrage, malheureusement presque tout en anglais.

Je mesure parfois l'intérêt d'un livre à la durée qu'il vous habite, ce que j'appelle la caudalie littéraire, je ne pourrai pas me défaire d'ici tôt des images affreuses et des réflexions écologiques de ce livre.

Un livre à vous faire choisir un plat végétarien au restaurant comme le héros de ce livre qui prend “une petite salade”. Pour ma part, le Bibimbap sera au tofu ce soir.
Commenter  J’apprécie          462
En prenant comme point de départ la mort d'un homme engagé qui cherche à démontrer que les animaux sont bien plus que des êtres au comportement mécanique et mimétique dénué d'émotions, l'auteur livre une enquête qui va plonger le lecteur au coeur de la cause animale, jusqu'à balayer ses certitudes et démontrer que chacun est doté d'une intelligence et même d'une conscience propres.
Si l'enquête reste assez succinte avec une action concentrée surtout sur la deuxième partie du livre et son dénouement, les symboles et les mystères plus ésotériques disséminés ça et là au fil de la narration créent un vrai suspense et l'envie de savoir comment le héros de l'auteur va se sortir de cette affaire de meurtre. A côté de ça et comme à son habitude, l'auteur nous délivre une quantité d'informations et de faits scientifiques, ici en lien avec l'intelligence animale et leur relation avec les humains. Si dans la première partie les exemples pris pour démontrer la présence d'une conscience animale sont parfois un peu redondants, la deuxième partie centrée autour de la souffrance animale en lien avec le modèle de consommation de masse, le capitalisme et le changement climatique est édifiante. La description au couteau de l'élevage industriel et des conditions de vie et de mort des "animaux" pour le seul bon plaisir d'"humains", devenus plus voraces que les plus féroces carnivores de la chaîne alimentaire, est stupéfiante et pourrait bien vous faire passer l'envie d'un steak à point ou d'une blanquette de veau (ou confirmer votre choix de limiter/arrêter la consommation de viande). Et si après ça vous avez encore l'estomac accroché, les impacts sur la consommation d'eau potable et les émissions de gaz à effet de serre de cette activité économique, dont les enjeux financiers énormes ont supplanté la bienséance de notre société et la bienveillance de nos actes, pourraient finir de vous convaincre.
La narration, en alternant les points de vue des protagonistes pris en étau jusqu'à l'éclatement de la vérité et en ponctuant chaque discours d'exemples précis et parfois choquants, remplit parfaitement son rôle et j'ai fini par lâcher la bride de ce roman et laisser ses pages défiler comme si elles prenaient tout à coup elles aussi conscience.
Par le thème abordé et les connaissances acquises, cette lecture percutante autant que nécessaire est pour moi un véritable plaidoyer pour les animaux, pour la reconnaissance de leur conscience, de leurs émotions et de l'existence même d'une âme pour chacun. Une âme qui les fait souffrir, ressentir de la tristesse ou de la colère, du bonheur ou de la curiosité... Une âme qui les classe non plus comme des "animaux" au sens réduit du terme, donc sans affect, mais dans le rang des êtres vivants au même titre que les "humains" mais avec une capacité d'empathie, de générosité et une fidélité souvent supérieures.
A l'aube du changement climatique et face à la 6ème extinction de masse de la biodiversité, en cours sous nos yeux coupables et froids, cette histoire nous démontre encore qu'il est plus que temps de changer les choses.
Commenter  J’apprécie          60
J'ai souffert pour venir à bout de ce bouquin, et pourtant il est passionnant. La partie purement narrative, c'est-à-dire le roman proprement dit, est très mal fagotée. Comme d'habitude dans les livres de José Rodriguez Dos Santos, un personnage savant décrit quantité de choses stupéfiantes à un candide, sur fond d'intrigue à suspense. Là, l'intrigue est si superficielle qu'elle passe inaperçue. Il ne reste que le discours long, très, très long. C'est pas que c'est inintéressant, c'est juste qu'au bout de deux fois qu'on nous explique quelque chose, tout le monde a pigé, même ceux du fond. On tolère poliment une troisième explication, toutefois à la cinquième, ça devient assez difficile. Là, on nous répète le truc dix, quinze fois !
En tout cas, le fond du roman, le message, ce qui est important, est tout à fait passionnant et donne à réfléchir. En gros, il y a trois parties. Dans la première, on apprend que les animaux sont bien plus évolués et intelligents qu'on le pense en général. Je ne parle pas seulement des animaux qu'on appelle "supérieurs" comme les chats, les chiens, les éléphants, les chimpanzés, mais aussi les oiseaux, les poissons, les mollusques et bien d'autres. Ils sont capables de raisonnements abstraits, de créativité, ils ont un langage, des émotions, tout ce qu'il faut pour être quasi nos égaux. On a droit à des révélations vraiment surprenantes.
La seconde partie décrit notre façon de traiter ces animaux. Il y a quelques scènes très, très difficiles qui se déroulent dans un abattoir, et qui ne sont que le reflet de ce qui s'y passe réellement. Nous nous octroyons le privilège de les traiter de cette façon. Ben oui, voyons, ce ne sont que des animaux. Là, je n'ai pas pu m'empêcher de repenser à cette fameuse controverse de jadis : les Noirs, les Indiens et tous les autres ont-ils une âme ? S'ils en ont une, on ne peut pas décemment pratiquer l'esclavage. Déjà à cette époque, les intérêts économiques passaient devant l'évidence.
Et la troisième partie, qui est aussi celle où l'intrigue de fond est résolue, parle de l'avenir de notre planète. Là, on apprend que ce qui provoque le réchauffement climatique, ce n'est pas tant l'utilisation des énergies fossiles, c'est surtout l'élevage intensif et la surpêche, responsables de plus de 50 % du problème. L'immense majorité des surfaces consacrées aux cultures le sont pour l'élevage, aux besoins bien supérieurs à ceux de la seule humanité. de là, usage de produits chimiques, déplacements qui recourent à des carburants, déforestation, etc. Affolant.
Je ne doute pas de la véracité de ce qui est relaté dans ce roman, comme de ce qui est décrit dans les précédentes oeuvres de cet auteur. Je regrette que la partie fiction soit quelque peu soporifique, parce que les découvertes, la conclusion, et l'épilogue sont absolument passionnants.
Commenter  J’apprécie          40
Le commentaire de Lynda :
Un récit intéressant qui met en scène des thèmes qui sont d'actualité, le réchauffement climatique, l'intelligence animale, l'écologie, les gaz à effet de serre, etc. le centre de l'intrigue concerne les élevages intensifs et les massacres d'animaux.
Dans ce roman, on plonge dans la cause animale qui est démontrée par des multitudes d'informations et de faits scientifiques sur l'intelligence des animaux et de leurs interrelations avec les humains. le déroulement des événements, décrit les abus envers les animaux, élevage excessif, les traitements inhumains, la violence envers les animaux, l'abattage pour une consommation intense, le capitalisme relié à l'industrie alimentaire, les changements climatiques, tous ses comportements ont une influence qui veut faire valoir les enjeux financiers.
Une bonne lecture qui amène le lecteur à la réflexion, qui offre une prise de conscience sur la cause animale et l'industrie qui l'entoure. Pour chaque roman de cet auteur, on peut affirmer qu'il a fait une recherche approfondie de son sujet, c'est la richesse de ces romans, son professionnalisme est légendaire et offre une crédibilité des sujets travaillés. L'intrigue est bien menée et les personnages sont toujours très crédibles, marquants et attachants surtout pour notre couple Tomás Noronha et sa femme Maria Flor qui vivent des moments difficiles. Un agréable moment, une enquête intéressante, percutante et surprenante.
C'est une autre bonne enquête scientifique policière, ésotérique qui mérite d'être lue.
Lien : https://lesmilleetunlivreslm..
Commenter  J’apprécie          30
Les romans de José Rodrigues Dos Santos sont toujours un puit de sciences, c'est toujours passionnant de le lire.
Cependant, cette fois, je n'ai pas trouvé l'intrigue très fiable, et, si je n'avais pas été attirée par le sujet de fond, à savoir, la conscience animale, je ne pense pas que j'aurai autant apprécié cette histoire.
Mais comme chacun de ses romans, l'auteur a parfaitement exploré l'étude éthologique qui est ici démontrée, exposée...

J-R Dos Santos démontre, grâce à ses nombreuses recherches, que les animaux ne sont pas différents de nous, qu'ils ont une conscience, des émotions, des sentiments et une intelligence, voir même, plus d'intelligence que l'être humain. Cela parait évident quand on y pense, surtout lorsqu'on voit dans quel état l'homme met cette planète.

Ce roman est une claque écologique ! Aucun détail n'est omis ! L'homme déshumanise l'espèce animale pour se donner une conscience tout en détruisant tout sur son passage pour ses besoins économiques et sa soif de pouvoir. Mais à quoi servira tout ce fric et tout ce pouvoir lorsqu'il n'y aura plus rien pour survivre ? En passant par la déforestation, l'abattage et l'extinction animale, l'auteur veut éveiller les esprits et faire prendre conscience à l'être "Humain", que d'ici peu, si rien n'est fait pour l'éviter, notre planète sera dépourvue d'eau, d'oxygène et d'espèces sauvages...

Le fait est que nos dirigeants ont toutes ces informations, chaque puissance mondiale a toutes ces données, elles connaissent les risques et les sombres prévisions qui nous guettent mais bon gré mal gré, l'argent reste leur préoccupation première.

A la fin de l'ouvrage, l'auteur a fait la liste de toute ses sources qui ont étayé son histoire.
Lien : https://pasionlivres.blogspo..
Commenter  J’apprécie          30


Ouf ! Troublant ! Bouleversant ! D'entrée de jeu, l'auteur nous informe que tout ce qui est dit sur le comportement, l'intelligence, la façon de communiquer des animaux a été prouvé scientifiquement.
Noé, un ethologue ami des animaux, est retrouvé mort dans un aquarium. S'ensuit une enquête qui nous conduira au coeur de la vie animale et de ce que les hommes fait d'elle. C'est ce qu'on pourrait appeler un roman pédagogique tant il y a d'informations toutes plus intéressantes les unes que les autres, mais à cause de cela justement, l'oeuvre se lit lentement et peut devenir pesante par moments. Il y a du suspense aussi quand il s'agit de découvrir le meurtrier de Noé. Un livre prenant qui nous fait regarder notre assiette d'une autre façon. Un livre écologique aussi.
Commenter  J’apprécie          20
Édifiant et éclairant! Voilà comment je résumerais ce livre… J'ai pourtant bien cru ne pas le terminer… les 200 premiers pages sont un peu « indigestes », avec très peu d'avancée dans l'enquête mais avec des monologues d'étalage de connaissances. A tel point que les conversations entre personnages en deviennent totalement invraisemblables!
Au final, l'histoire, l'enquête n'est que secondaire dans l'ouvrage, elle ne sert que de prétextes au développement d'une théorie sur un sujet d'actualité.
L'écriture de l'auteur est fluide et toujours autant passionnante! Je me souviens de sa dédicace « Lire c'est savoir »… effectivement on lit, on sait et on apprend!
Certains passages sont très durs à lire… Ce sont ceux sur les abattoirs… pour ceux là, en fait, tout le monde sait, mais personne ne veut savoir… La lecture de ces passages m'a permis maintenant de savoir… et je ressors de ma lecture avec l'envie de remettre en considération ma manière de consommer…
Commenter  J’apprécie          10
Livre étonnant , car sous le masque d'un « polar » il fait un exposé documenté sur les récentes avancées éthologiques ( les animaux sont des êtres sensibles doués d'une intelligence) et sur le crime perpétré par les humains à leur égard et l'impact important de l'élevage sur le réchauffement climatique.
L'énigme policière n'est qu'anecdotique et pas vraiment intéressante. La finalité de l'ouvrage est de dire que l'humanité doit cesser manger de la viande ( ou du moins diminuer fortement) , à la fois par moralité ( on ne tue pas des êtres sensibles doués d'intelligence) et par nécessité vitale pour combattre le réchauffement climatique.
Au final , le livre est intéressant mais plutôt maladroit .
Commenter  J’apprécie          10
Comme beaucoup d'humains qui ont grandi avec des animaux, j'ai toujours pensé que ces derniers, quels qu'ils soient, ont une âme. Ils peuvent ressentir des émotions comme nous autres, les humains. Il suffit de voir leur comportement dans certaines situations. Noé, un scientifique, en est persuadé. Il a voué sa vie à décoder les faits et gestes des animaux qui l'entourent. Il embauche Maria Flor comme assistante, tout en essayant de la convaincre des résultats de ses recherches. le monde partage t-il ses certitudes? N'est-ce pas trop dangereux?

Le meurtre d'un savant interroge toujours. Pourquoi? Qu'a t-il découvert de si compromettant? Les soupçons se tournent vers Maria Flora. Mise au pied du mur, elle doit prouver son innoncence. Avec l'aide de son époux, elle décide de mener sa propre enquête. Les secrets sont nombreux et les confréries aussi. le danger est partout. L'auteur, avec une plume pleine de verve, nous raconte dans le détail, « l'humanité » des différents animaux. Par le menu détail, sans pour autant négliger les enquêtes et les recherches, l'auteur nous transporte dans le monde de ces annimaux qui, à l'instar des hommes, répondent à des stimuli, pensent, réfléchissent, résolvent des situations difficiles. Cela signifie t-il qu'ils sont égaux aux humains? Qu'ils ont une âme?

Maria et son époux amorcent une enquête. Pourquoi la police la recherche t-elle? Doit-elle se rendre afin de clamer son innocence? A t-elle un lien avec la disparition du scientifique? Ce roman fait réfléchir à la condition animale. A l'existence de leurs émotions. Comment les humains les perçoivent-ils, en général? Les animaux sont-ils aussi intelligents que les humains? Ont-ils des sentiments? Bref, ont-ils une âme? de nombreuses questions auxquelles l'auteur s'attelle à tenter de trouver une réponse. de sa plume alerte, il nous montre les découvertes, les avancées scientifiques faites dans ce domaine. Ce roman ne laisse pas indifférent. Loin de là. En le refermant, j'ai eu une pensée, le coeur serré, pour les animaux de compagnie qui avaient grandi ou évolué avec ma fratrie. du fait qu'ils n'étaient pas humains, ils ont été empoisonnés ou martyrisés par des voisins. Je leur dédie ce roman.
Commenter  J’apprécie          10
Sur fond de roman policier, les dialogues entre les personnages nous permettent d'en apprendre davantage sur les capacités cognitives des non-humains. Cela va de l'usage d'outils à la maîtrise du langage, en passant par les habitudes culturelles, l'art, et le rapport à la mort. Ces découvertes nous poussent, en fait, à remettre en question la prétendue supériorité de l'homme sur le reste de la biosphère. C'est là que s'enclenche le deuxième aspect du livre, plus politique, qui suit finalement la structure classique des livres animalistes. D'abord le constat de la proximité avec le reste des animaux, ensuite ce que nous leur faisons subir, et finalement le moyen de remettre un peu d'éthique dans nos vies. le livre ressemble par exemple à Comment j'ai arrêté de manger les animaux d'Hugo Clément. Seulement, tant d'informations dans un roman policier pose souvent la question du réalisme. le scénario comprenant ce genre de scènes où un prisonnier et son ravisseur échange tranquillement sur l'intelligence animale. Si on ajoute à cela des révélations finales qui ne sont pas stupéfiantes, on peut s'interroger sur la symbiose de genres qu'a tenté de mettre en oeuvre l'auteur. Toutefois, ce mélange aide à capter un public peu intéressé par ces questions. D'un point de vue militant, ce livre est donc sans doute un moyen d'instruire et d'interroger des lecteurs qui n'auraient pas acheté un simple livre centré sur les animaux. Je conseillerai donc ce roman aux personnes cherchant, comme Maria Flor, l'héroïne de l'intrigue, à faire s'intéresser leurs proches indifférents à la cause animale.
Commenter  J’apprécie          10




Lecteurs (509) Voir plus



Quiz Voir plus

Retrouvez le bon adjectif dans le titre - (6 - polars et thrillers )

Roger-Jon Ellory : " **** le silence"

seul
profond
terrible
intense

20 questions
2873 lecteurs ont répondu
Thèmes : littérature , thriller , romans policiers et polarsCréer un quiz sur ce livre

{* *}