Julie-Anne de Sée
Femme, 75013 France
Lecteur inscrit le 10/04/2021
Hédoniste, curieuse, amoureuse de la vie, de la relation à l’autre et de toutes les voies qui conduisent à la connaissance de soi.
L’érotisme en est une parmi tant d’autres que je me plais à explorer, à écrire, dans le bonheur des mots qui le racontent. J’exècre la vulgarité, apprécie la courtoisie, le raffinement. L’élégance du verbe, la mise discrète d’un homme délicatement parfumé me séduisent à tous les coups. Je suis une olfactive et bien des senteurs me font chavirer… J’ai ainsi toutes sortes de « petites madeleines », qui savent à point nommé me faire basculer dans les émotions.
Ainsi je m’enthousiasme, les larmes aux yeux, m’affole, me trouble, palpite pour une valse de Camille Claudel débordant de sensualité, pour les pleurs d’un enfant, pour une main qui s’égare, pour un éclat de rire, pour un solo de sax qui pleure, pour un effluve de Guerlain fugitif, un regard échangé, un léger baiser déposé au coin d'une lèvre, sans lendemain mais lourd de promesses.
L’humour, la tolérance, le respect, le dialogue, l’écoute me semblent indissociables de l’amour, aussi vitaux que l’inspir et l’expir.
La sensualité, le désir, le bouleversement de tous les sens dans la rencontre amoureuse dont on espère mille plaisirs à venir sont des moments délicieux. Se laisser porter, emporter, accompagner, guider sur toutes les voies de la chair en émoi, engranger les sensations puis les dire. Explorer toutes les facettes des rêves, des plus délicats et lumineux aux plus ténébreux, de ceu
L’érotisme en est une parmi tant d’autres que je me plais à explorer, à écrire, dans le bonheur des mots qui le racontent. J’exècre la vulgarité, apprécie la courtoisie, le raffinement. L’élégance du verbe, la mise discrète d’un homme délicatement parfumé me séduisent à tous les coups. Je suis une olfactive et bien des senteurs me font chavirer… J’ai ainsi toutes sortes de « petites madeleines », qui savent à point nommé me faire basculer dans les émotions.
Ainsi je m’enthousiasme, les larmes aux yeux, m’affole, me trouble, palpite pour une valse de Camille Claudel débordant de sensualité, pour les pleurs d’un enfant, pour une main qui s’égare, pour un éclat de rire, pour un solo de sax qui pleure, pour un effluve de Guerlain fugitif, un regard échangé, un léger baiser déposé au coin d'une lèvre, sans lendemain mais lourd de promesses.
L’humour, la tolérance, le respect, le dialogue, l’écoute me semblent indissociables de l’amour, aussi vitaux que l’inspir et l’expir.
La sensualité, le désir, le bouleversement de tous les sens dans la rencontre amoureuse dont on espère mille plaisirs à venir sont des moments délicieux. Se laisser porter, emporter, accompagner, guider sur toutes les voies de la chair en émoi, engranger les sensations puis les dire. Explorer toutes les facettes des rêves, des plus délicats et lumineux aux plus ténébreux, de ceu
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