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Le Pays qui descend

Série de 1 livres (En cours). Écrite par David Camus (1),


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Le pays qui descend, tome 1

C'est toujours un peu frustrant d'être déçu par un livre. Celui-ci m'intriguait depuis un moment déjà, son résumé promettait beaucoup. Mais après l'avoir emprunté à la bibliothèque, je suis un peu perplexe.



Je n'ai pas particulièrement apprécié ma lecture, mais je l'ai tout de même finie. Le style et le vocabulaire particuliers m'ont dérangé. Certes, cela crée une atmosphère unique, mais par moments, les dialogues sont très enfantins, ce qui contraste avec le contenu adulte de l'histoire, où il est question de morts et de violence.



Ce qui m'a surtout déconcerté, c'est le fait que ce livre soit si difficile à classer. Je m'attendais à de la fantasy, pour découvrir finalement une ambiance de science-fiction post-apocalyptique. Ce décalage avec mes attentes initiales a teinté ma lecture, et je n'ai pas réussi à m'en défaire.
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Le pays qui descend, tome 1

Cela faisait un moment que je n'avais pas lu de roman de la Collection R, mais le titre m'a tout de suite intriguée. Comment un pays peut-il descendre ? Le postulat de départ a l'air captivant et surtout très original. C'est avec impatience que j'ai commencé ce roman.



Li vit avec Ba et Ma, ses parents dans le village de 100 maisons. Ce dernier se situe sur une montagne si grande que personne n'est jamais arrivé tout en bas. Par un concours de circonstances et suite à de tristes événements, la jeune fille fait partie des nouveaux descendants. Mais les choses ne sont pas ce qu'elles semblent et de nombreux obstacles se dressent devant elle.



David Camus a créé un univers totalement atypique. Tout est original dans ce diptyque. Il propose un lexique et un mode de vie très cohérent, que le lecteur visualise plutôt bien. La vie à 100-maisons-et-pas-une-de-plus est dangereuse et en même temps palpitante. En se levant le matin, on ne sait pas si on sera toujours là le soir, à cause du vide qui est présent de toutes parts.



Les aventures de Li et de ses compagnons sont assez étranges une fois qu'ils ont quitté le village. L'auteur ne leur fait aucun cadeau et montre par là la dangerosité de cet univers. C'est une succession de tragédies et d'obstacles parfois pas très ragoûtants. L'ensemble est bien mené, mais les choses bougent un peu trop vite par moment et en quelques pages, une situation donnée peut avoir changé du tout au tout. C'est un peu facile parfois.
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Le pays qui descend, tome 1

Moi qui ne suis d’ordinaire pas une grande adepte des romans de science-fiction, j’ai littéralement dévoré celui-ci ! David Camus nous embarque dans un univers bien particulier, sur une immense montagne, qui fait rêver par sa grandeur et par la féerie de ses paysages, mais qui fait aussi très peur par son immensité. Depuis des années, de multiples générations se succèdent pour tenter d’atteindre la base de la montagne… sans grand succès. Plusieurs légendes racontent que Tout en Bas Tout en Bas ressemble à un paradis terrestre, où il fait bon vivre. Mais encore faut-il pouvoir l’atteindre. Depuis Cent Maisons (et pas une de plus) qui se situe presque au sommet, la jeune Li et ses compagnons d’infortune, s’élancent au hasard des chemins pour descendre le plus bas possible. Un cheminement qui va leur réserver bien des surprises… et pas des meilleures !



Pour être honnête (et j’en suis la première surprise) : j’y étais. J’étais aux côtés de Li, de Fintân, de Tyr, de Luchna, de Goïbnu et de Ardat. Je descendais la montagne avec eux. J’avais peur, je combattais, j’avais faim, j’avais froid, je ressentais tantôt de la fatigue, de la rage ou de l’amour. Pour faire simple : j’ai été transportée. Alors oui, c’est vrai, il y a parfois des incohérences, des scènes peu réalistes, ou même totalement invraisemblables, mais je m’en fichais. J’y étais.



J’ai été charmée par l’écriture envoûtante de David Camus, comblée par les multiples rebondissements et les péripéties continues, mais surtout admirative de sa créativité débridée. Il invite plusieurs mondes, bâtis sur des codes, des modes de vie, des cultures, totalement imaginaires et changeants. Chaque fois que le groupe de jeunes change de villages, c’est de toutes nouvelles normes sociales qu’il faut réapprendre. Plus le groupe se rapproche de Tout en Bas Tout en Bas, plus on a l’impression de fouler de nouvelles terres, de pénétrer dans des espaces jusque là jamais traversées par l’homme. On ressent comme une excitation bienvenue à cette idée d’être les pionniers d’une ère nouvelle. C’est sûr, il faut avoir le goût de l’aventure et de la découverte pour apprécier pleinement ce roman !



En tout cas, Li, notre protagoniste, l’a. J’ai aimé l’ensemble des jeunes aventuriers, tous très différents dans leurs personnalités, leurs caractères, leurs apparences physiques, leurs milieux sociaux, mais dont les émotions sont décrites avec profondeurs. On s’attache facilement à eux. Tyr la pétante, Fintân le beau gosse, Luchna la petite fille fragile, Goïbnu le gros nounours, Ardat le copain sympa. Ses cinq personnes se distinguent de Li par une chose : leur lignée. Ils sont issus de familles aisées, qui leur a permis de financer une formation auprès de Maître Babackas, pour se préparer à la descente. Li, abandonnée à la naissance puis recueillie par un couple de Cent maisons (et pas une de plus), n’a pas eu cette chance. Mais sur le chemin de Tout en Bas Tout en Bas, elle va à la rencontre de ses origines. Une histoire de quête familiale, de quête amoureuse, de quête initiatique. Une histoire d’amitié, de solidarité, de croyances.



Le pays qui descend est le premier tome d’un dipytique, dont le deuxième, La terre qui monte, sortira normalement cette année. J’ai déjà hâte de pouvoir me replonger dans cet univers si particulier et espère sincèrement que cette série pourra trouver son public, et pourquoi, être adapté à la télévision.



Embarquez pour un voyage initiatique aux côtés de jeunes adolescents en quête de Tout en Bas Tout en Bas, le paradis promis au pied de la montagne. Mais existe-t-il vraiment ? Un premier tome envoûtant, qui m'a convaincue !
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Le pays qui descend, tome 1

Li a quinze ans et elle vit à Cent-Maisons (Et-pas-une-de-plus), un village sur le bord de la falaise sans cesse menacé par des risques d’éboulis de la montagne. Elle a été recueillie à sa naissance par Okami et Tokamak en même temps que son frère Jubal, le fils d’Okami et Tokamak, a été avalé par le gouffre. C'est une Sans-nom car elle ne descend de personne. Cinq adolescents des riches familles de la communauté sont destinés à mener une expédition essentielle, l’Ondée, vers le Tout en bas - Tout en bas. Parmi eux Fintân , l'élite des descendants, fils de Nûn, Tyr, fille de Jaftar, Ardat, fils d'Og, Luchna, fille de Rahab et Goïbnu, son frère. Comme leurs ancêtres, ces pionniers doivent continuer à descendre le long de la montagne afin de trouver la plaine sur laquelle le peuple pourra enfin vivre paisiblement. En effet, leur dieu, le Très Bas a enjoint le peuple à l'exil vers la Terre d'aval afin d'y pulluler. Li se retrouve malencontreusement, après la mort de son père adoptif par un Griffu, à suivre les cinq pionniers. Araz, fils de personne, veille sur elle.



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“David Camus est né en 1970 et vit à Paris. Il est passionné de littérature, de bandes dessinées, de jeux de rôles, de jeux vidéo, de télé, de cinéma – et par tout ce qui touche à l’écriture en en général. Après avoir longtemps travaillé à la télé (comme auteur-réalisateur de films documentaires) et dans l’édition (comme directeur de collection), il a commencé de publier chez Robert Laffont un cycle de romans d’aventures se déroulant à l’époque des Croisades, Le Roman de la Croix, dont déjà trois volumes sont parus : Le Cœur de la Croix (prix Relay du Roman d’Évasion 2005), Morgennes et Crucifère, tous traduits dans plusieurs pays et repris chez Pocket. Il a également publié en France et à l’étranger de nombreux essais, nouvelles, articles et préfaces dans divers dictionnaires, revues, anthologies et ouvrages collectifs (comme Kadath – Le Guide de la Cité Inconnue, prix Spécial des Imaginales en 2011). En plus de ses activités d’auteur, David Camus est également traducteur d’anglais (notamment de H.P. Lovecraft, dont sa retraduction des Contrées du Rêve lui a valu un prix Bob Morane en 2011) et scénariste de bandes-dessinées : les éditions Self Made Hero ont publié de lui en 2012 une adaptation d’une nouvelle de Lovecraft (From Beyond, dessins de Nicolas Fructus), et publieront en 2014 son premier « Graphic Novel » : The Cigar That Was in Love With a Pipe (dessins de Nick Abadzis, prix Eisner 2008). Enfin, il est chargé de cours à l’université de Censier Paris III, où il enseigne les littératures de l’imaginaire : la science-fiction, le fantastique et la fantasy.” source : Maison des écrivains et de la littérature.



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David Camus nous emmène dans une longue descente aux enfers durant laquelle l’héroïne, élue sans qu’elle le sache, doit affronter de nombreux ennemis barbares et violents. Ce roman dystopique décrit une société qui vit en équilibre sur le flanc d’une haute montagne, punie par un dieu vengeur qui a foudroyé la terre de plaies successives, submersion marine, mouvements tectoniques etc. et a contraint les hommes à survivre en différentes castes. Les six héros - cinq pionniers et l’héroïne - vont peu à peu mener une quête et découvrir la terrible réalité des conditions de vie et de rédemption de l’humanité. Ces différents épisodes permettent à l’auteur de développer une religion et un ensemble de rites inspirés de la Bible et de décrire des communautés de peuples sauvages notamment anthropophages. Ce bric-à-brac imaginaire est un peu surprenant et ne convainc pas totalement. Le périple est long, très long et l’héroïne est seulement descendue au pied de sa montagne, elle doit maintenant dans un nouveau tome remonter jusqu’à la cime de sa montagne et cette seule perspective nous semble quelque peu épuisante.

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Le pays qui descend, tome 1

J’ai adoré ce livre, une belle dystopie rythmé et addictive .

En effet je pense que ce livre est plutôt ciblé pour les jeunes adultes.

David Camus a réussi à me transporter dans son univers.

j’attend le second tome avec impatience, hâte de connaître la suite des aventures
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Le pays qui descend, tome 1

Un roman Jeunesse plus que moyen... Les dialogues ne "cliquent" pas, l'univers n'imprime pas, ne dépose aucune réelle image dans notre esprit... Pourtant a priori David Camus n'est pas un débutant mais j'ai trouvé le tout très maladroit. Un énième passage à l'âge adulte qui se fond dans la masse.
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Le pays qui descend, tome 1

Je remercie Babelio, les éditions Robert Laffont et David Camus pour l’envoi du roman captivant « Le pays qui descend », dans le cadre de l’opération masse critique de novembre 2023.



David Camus emmène son lecteur dans un endroit peu commun : une montagne haute, immense, tellement grande qu’il faut de multiples générations de personnes pour espérer en atteindre la base. Celle-ci en est devenue un but hypothétique, déifiée, objet de tous les fantasmes, de toutes les envies, de toutes les convoitises. La question même se pose : est-ce que cet aval, ce « tout en bas tout en bas », existe seulement ?



L’histoire débute dans un village nommé Les 100 maisons (et pas une de plus). Ce n’est pas le plus haut de la montagne mais l’aval est encore bien loin, en tout cas le suppose t’on.



Li est une jeune fille de 15 ans, blonde comme les blés, trouvée par ses parents adoptifs bébé au pied d’un à-pic. Les jeunes de ce village, en tout cas les plus prometteurs, sont formés pour être prêts au matin de leur 18 ans environ à tenter de descendre le plus possible cette montagne, avant de s’établir dans un village plus en aval, pour passer le flambeau à leurs propres enfants lorsque le moment sera venu. L’objectif est de descendre le plus bas possible pour atteindre le pied de la montagne.



Li est une enfant trouvée, sans ascendants illustres, ses parents ne sont pas des gens très bien vus. Elle n’a pas pu suivre les enseignements du sage du village, enfin pas de manière conventionnelle. Elle est néanmoins son aide à tout faire depuis toujours et a assisté à ses enseignements dans l’ombre.



Un enchainement de circonstances va l’amener à prendre la route vers tout en bas tout en bas avec le groupe de jeunes du village de l’année : c’est le début de l’aventure.



David Camus nous offre un bon roman jeunesse, proposant de multiples péripéties et rebondissements. C’est un roman qui mêle science-fiction, aventures, écologie, quête initiatique, recherche des origines. L’auteur écrit bien, de façon fluide et est facilement accessible.



Les personnages sont attachants. Attention cependant à l’âme sensible des plus jeunes lecteurs : quelques scènes sont assez horrifiques et peuvent heurtés la sensibilité de chacun.



Un public adulte restera quelque peu sur sa faim, les descriptions ainsi que l’intrigue n’étant pas très complexes. Mais le public visé est clairement un public adolescent ou jeune adulte et en ce sens, ce roman proposé est très adapté.



« Le pays qui descend » est le premier volet d’un dyptique. Le second tome « La terre qui monte » est, à en croire les interviews de l’auteur, déjà écrit et devrait être publié en 2024.



Pour ma part, j’ai beaucoup aimé ce premier tome, sa chute ne m’a pas complétement surprise mais je l’ai trouvée plutôt intéressante, j’attendrai donc le second volet avec impatience et aurait plaisir à le découvrir.



Je recommande ce bon roman jeunesse au public cible et vais m’empresser de le mettre entre les mains de mes filles adolescentes.

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Le pays qui descend, tome 1

J'apprécie beaucoup la littérature jeunesse et jeunes adultes, un domaine toujours inventif et surprenant. Aussi, quand « Masse Critique » a proposé parmi de multiples titres, aussi intéressants les uns que les autres, « Le pays qui descend » de David Camus, que je ne connaissais pas du tout, je me suis mise sur les rangs.



Li, quinze ans, vit dans le village de Cent-Maisons (et pas une de plus) sur le Vertical, une montagne tellement grande et haute qu'on n'en voit ni le haut et le bas. Li est blonde aux yeux clairs alors que les habitants du village sont tous bruns. Li est une enfant trouvée, un soir de blizzard, et adopté par Tokamak et Okami, son épouse. Ils viennent de perdre leur fils unique, Jubal, qui est tombé, accidentellement, dans le Vide. Li est une étrangère, une Sans-Nom, presqu'une paria. D'ailleurs, elle n'a pas le droit d'étudier plus que nécessaire et encore moins de se préparer auprès de Maître Babackas et des Pionniers pour le Grand Voyage. Cependant Li est appelée par Babackas pour s'occuper des bouquetins, montures idéales pour l'aventure en montagne, tandis qu'il dispense son enseignement à ses cinq Pionniers … à croire qu'il a décelé en elle le petit quelque chose qui fait d'elle un être à part, lui permettant, ainsi, de profiter de ses leçons.



L'univers de Li bascule le jour où les Transhumants, venant d'en-haut, arrivent au village. Ils amènent avec eux fanatisme et violence au point que le chaos s'empare de Cent-Maisons (et pas une de plus). Entre les Plongeurs du Vide qui se lancent, exaltés, s'envolant en pleine extase vers le Bas, et Eribus, le Gouru sanguinaire des Transhumants, voulant offrir Li en sacrifice au Vide, cette dernière n'a plus qu'une seule issue pour sauver sa vie : rejoindre, sans bâton de pèlerin, les Pionniers prêts à partir pour le Grand Voyage. C'est que dans ce monde issue de la Grande Catastrophe qui vit l'humanité se réfugier dans cette montagne gigantesque, il est impossible de monter, non, il est impératif d'envoyer ses enfants descendre vers le Tout-en-Bas et ne jamais revenir, pour améliorer le prestige de la famille. Le graal est de parvenir au pied de la montagne afin que les hommes rejoignent la terre ferme.



Li et les Pionniers partent en quête du Tout-en-Bas, portant les espoirs des leurs et ceux de l'humanité condamnée à vivre dangereusement sur les pentes de la montagne. Une aventure dangereuse les attend avec des rencontres aussi épouvantables que joyeuses avec la faune des pentes et les communautés inconnues qui y sont accrochées.



David Camus m'a entraînée avec son écriture rythmée, ses dialogues et ses descriptions d'un monde imaginaire original, dans une quête mystique au cours de laquelle les jeunes héros se perdent et se retrouvent, grandis par les tourments vécus, les dures réalités d'un monde sans pitié et l'ancrage inamovible dans une solidarité et une amitié à toute épreuve. « Le pays qui descend » est le premier volet d'un diptyque de roman d'initiation à la saveur d'une enfance qui laisse place au passage à l'âge adulte. La quête, a priori impossible, est ce rite de passage obligé, mêlant douceur, regrets, nostalgie, cruauté et espérance.



Les personnages ont une réelle profondeur, de celle qui fait que j'ai pu les accompagner sans m'ennuyer une seconde. Ils m'ont fait peur, ils m'ont fait rire et pleurer. Je les ai aimés ou détestés, ils m'ont touchée, émue par leur monde qui ne les épargne pas. Les retrouvailles improbables avec Jubal dans un décor post-apocalyptique d'une arène romaine, sont terrifiantes et épiques : au cours d'un combat pour la liberté, Li comprend qu'elle appartient à la lignée régnant sur Cuzco, la ville d'en-Bas, celle qui empêche les pèlerins de réussir leur quête et les réduit en esclavage. Cuzco, aux accents terribles de conquête violente et de trésor à trouver, ville steampunk entre technologie apprise tant bien que mal des manuscrits tellement anciens qu'on se demande à quelle civilisation disparue ils appartiennent, et ambiance antique, est le cœur d'un absolutisme cruel, destructeur et obscurantiste, donnant la part belle à la société dominante. Cuzco et ses machines volantes a-t-elle l'ambition de monter au sommet de la montagne ?



Li n'est pas au bout de ses surprises... et si elle était l'élément manquant d'un puzzle incroyable ? Et si la quête ne s'arrêtait pas une fois le Tout-en-Bas-Tout-en-Bas atteint ?



Je remercie Babelio, Masse Critique et les éditions Laffont pour cette lecture trépidante.
Lien : https://chatperlitpopette.wo..
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