Je vous en parlais dans un de mes réels, je m’étonnais de la productivité de l’auteure, le Café Engel puis « Le vent de l’espoir ». Haha, sauf qu’il s’agit de deux auteures différentes Anna Jacobs et Anne Jacobs, on dirait un fait exprès. Je suis dyslexique et ce genre de détail passe souvent à la trappe. Mon réel en est la preuve. Cependant, malgré cette erreur, cela ne change rien à mon avis et à mes premières impressions, elles sont prenantes, intrigantes et riches, j’ai plongé dedans avec facilité.



Je l’ai dévoré, mon rythme de lecture est parti de plus belle. Les personnages sont attachants, le périple plein d’aventures, des décisions prises par l’auteure originale et parfois dramatique. Seul inconvénient, les rebondissements sont parfois trop évidents. Anna Jacobs aime ses personnages, mais elle leur fait passer mille souffrances. Liza est une fille de Marchand, un ivrogne et un bon à rien. Elle est employée chez des gens de bonne famille. Elle gagne ses petits deniers, mais indépendants, elle rêve d’une vie à grande distance de son père et de ses deux grands frères. La pomme n’est pas tombée loin de l’arbre pour ces deux-là. Ils sont comme cul et chemise. Deux brutes épaisses, vénales et cruelles, Niall et Dermott sont prêts à vendre leur propre sœur pour faire du profit. Peu importe que son futur époux soit un vieux, dégueulasse aux mains baladeuses et violents.



Liza n’a clairement pas la vie de rêve. Son mariage arrangé et forcé est la goutte qui entraîne une vraie cascade et une envie de fuir, violente et irrépressible. Cependant, son futur conjoint arrive à l’atteindre, la violer à de multiples reprises. Il la laisse à demi morte en lui promettant que ce n’est qu’un avant-goût. Sa fuite devient plus qu’une simple idée, mais une nécessité. Elle doit fuir jusqu’au bout du monde s’il le faut. Quand elle apprend que les Pringles déménagent en Australie, elle tente le tout pour le tout. Elle met sa vie entre leurs mains. Son désespoir criant est touchant. Le bateau est prêt à prendre le large, Dorothy Pringles n’a pu se résoudre à laisser Liza à la merci de ce veuf perfide et violent. Elle embarque avec eux vers un avenir meilleur ou pas ? Liza accompagne les Pringles : Dorothy, Kitty et Andrew. Elle s’est assuré une place, mais s’ils sombrent, elle les suivra. Kitty est toujours pessimiste, méchante et jalouse. Dorothy est une femme avec le cœur sur la main, je l’ai tout de suite trouvée sympathique.



Bénédict est un deuxième fils sans droit d’aînesse sur les terres, il a la chance de pouvoir avoir sa propre terre en Australie. Il est malin, travailleur et il a l’âme d’un artiste. Son regard se promène et détaille chaque passager. Il aime du regard cette aventure qu’il devine. S’il est tout à fait honnête, une jolie jeune femme, même s’il se raisonne son regard est irrémédiablement attiré par elle, comme un aimant.



Les Ludlam sont un couple avec une certaine prestance, ils ont ce nez dédaigneux qu’à la noblesse. Non ! Je dois être transparente avec toi, cher lecteur, seul Joshua a ce nez retroussé et cet air mécontent. Il peut l’être, il ne part pas en Australie par pure gaîté de cœur. Son père l’y envoie pour ne pas être éclaboussé par le scandale et car il a honte de ce qu’est Joshua. La femme de Joshua, Catherine, est frêle, belle et évanescente, pourtant, elle est gentille et pleine d’amour pour son mari.



Ce début de fresque familiale est passionnant, pas un temps mort. La vie ressemble à un typhon prêt à tout emporter. Ce typhon fait des blessés et des morts. Personne n’en ressort indemne et pourtant, cher lecteur, j’en demande encore. Anna Jacobs m’a happé et emporté, le dernier chapitre avait un goût doux et amer. J’avais tellement envie de rester avec les personnages et vivre encore des milliers d’aventures auprès d’eux.



En résumé

Cette lecture m’a laissée pantoise et ravie. J’ai aimé chaque personnage, retenu les prénoms de chacun d’eux, un exploit. Ils sont marquants, nuancés, touchants, certains m’ont marqué plus que d’autres. Je serais contente de les retrouver dans le prochain roman et d’ailleurs, je croise les doigts. J’espère simplement que l’auteure fera preuve de mansuétude et sera moins versée dans le drame. Seul point qui a fait fuir le coup de cœur, même si la lecture fut excellente.
Lien : https://lesparaversdemillina..

Quel plaisir de retrouver la plume d’Anna Jacobs avec le 1 er tome de cette nouvelle série, un grand merci aux Editions de l’Archipel pour ce roman !

Anna Jacobs a le pouvoir de nous faire voyager, de nous entraîner loin de notre continent et je n’ai pas échappé à ce désir de m’évader pendant quelques jours.

L’auteure nous fait chaque fois découvrir des femmes fortes, moderne dans leurs décisions et ce nouvel opus n’a pas déroger à la règle

J’ai découvert Liza 17 ans en 1857 qui vit dans le Lancashire, alors qu’elle mène une existence plutôt agréable chez les gens qui l’emploie, son père l’oblige en rentrer chez elle pour être soutient de sa famille ; elle va très vite déchanter quand elle apprend que son père a prévu de la marié à un homme de 20 ans son ainé, on ne peut plus machiste et violent ! . L’époque n’épargne pas les femmes et les choix imposés ne trouvent que la solution dans la fuite ….

C’est comme cela qu’elle va embarquer avec la famille Pringles en direction de l’Australie, pays cher à l’auteure. La traversée ne sera pas de tout repos même si cette partie sert la mise en place du roman et des personnages, je l’ai trouvé un peu longuette…

J’ai aimé le personnage de Liza, toujours empreinte d’empathie mais forte et déterminée.

Pendant ce voyage, elle va nouer des amitiés, découvrir quelques secrets et bénéficiera de l’aide de ses compagnons de voyage, même si les personnages sont quelque peu caricaturés cela ne dérange pas le lecteur et permet de s’immerger facilement dans l’époque.

C’est un roman choral, avec la voix de chaque personnage par chapitre, ils sont nombreux mais je n’ai pas été perdu.

Anna Jacobs n’a pas son pareil pour décrire la condition féminine de l’époque ainsi que le rapport entre les différentes classes sociales.

Ce roman est immersif, plaisant avec une écriture soignée et des recherches historiques.

Même si il n’y a pas de grande surprise sur la trame de fond, l’écriture est enlevée et le voyage livresque agréable

Anne Jacobs m’a une foi de plus emporter dans des contrés lointaines et m’a appris à apprécier des personnages que j’aurais plaisir à retrouver

Le vent de l'espoir , tome 1 Vers la terre promise par Anna Jacobs , aux Éditions de l'archipel





1857, dans le Lancashire, plusieurs personnes s'apprêtent à prendre le bateau pour partir vivre en Australie, terre lointaine et sauvage mais terre qui promet de faire fortune. Parmi tous ces passagers, le couple Pringle accompagné de Liza 14 ans fuyant l’odieux destin imposé par son père.

Liza est un personnage très attachant qui a de nombreuses mésaventures dans ce monde patriarcal où la femme n'a pas son mot à dire.







C’est la première fois que je lis un roman d’Anna Jacobs mais pour les lectrices habituées vous reconnaîtrez bien sûr, son style et son univers de prédilection, à savoir la colonisation et construction de l’Australie.



L'autrice décrit dans toute sa dureté les abus que peuvent subir les femmes à cette époque et les épreuves qui forgent leur tempérament. D'autant plus lorsqu'elles sont propulsées sur une terre inconnue comme l'Australie, très différente de l'Angleterre.



Ce roman est un récit sociétal qui met en exergue le contraste entre les différentes classes sociales dans l’Angleterre Victorienne et la vie rude dans le bush australien où la solidarité entre colons et aborigènes joue un rôle primordial .



Anna Jacobs nous parle ici de féminisme, de la condition féminine, des différences de caste, des sévices d'autrefois, du ce rêve australien, terre promise pour certain , enfer pour les autres...



J'ai trouvé ce premier opus très dépaysant avec ces paysages anglais et australiens très bien décrits, ce qui permet d'avoir un bon moment d'évasion. Je ne me suis pas ennuyée une seule seconde grâce aux nombreuses scènes d'action qui permettent de capter l'attention du lecteur jusqu'au dénouement.



En bref Anna Jacobs à réussi à m’embarquer dans son univers et je lirais la suite des aventures de Liza avec grand plaisir.



Je vous le conseille vivement entre deux lectures plus dures, plus contemporaines.

Liza est femme de chambre chez les Pringle. Mais elle a désormais 18 ans et son père décide de la marier à un riche voisin. Celle-ci s'y refuse, alors son fiancé décide de la prendre de force. Liza n'a qu'une solution, s'enfuir en Australie. Débute alors une nouvelle vie pour Liza,

J'ai beaucoup entendu parler de la saga La villa aux étoffes de Anna Jacobs mais je l'ai pas lue. J'en ai entendu et lu beaucoup de bien.

Alors j'étais très attirée par cette nouvelle saga.

Je n'ai pas été déçue. La plume d'Anna Jacobs est addictive. Elle est à la fois simple et très travaillée. On a l'impression de rentrer dans l'histoire comme si on connaissait les personnages depuis longtemps.

J'ai beaucoup aimé le travail sur les personnages, chacun à sa propre personnalité. J'ai aussi aimé le travail sur l'époque et l'environnement.

On voyage en bateau vers l'Australie. Liza est une femme forte et bien qu'elle soit d'un milieu sociale pauvre, elle est futée et avisée. Libre et forte, elle ne se laisse pas abattre et fait tout pour protèger ses enfants et elle. Son histoire d'amour avec Bénédict m'a touchée.

J'ai hâte de lire la suite.

Bref, j'ai passé un très bon moment de lecture.

Au milieu du XIXe siècle, au cœur du Lancashire, on découvre Liza.

Jusqu’alors employée au service des Pringle, elle se voit brusquement obligée par son père de quitter les lieux pour revenir auprès des siens.

Dans ce contexte de misère, elle est maltraitée par les hommes de sa famille qui la forcent notamment à épouser un veuf bien plus âgé qu’elle et surtout violent.

Pour échapper à ce destin, Liza décide de s’enfuir.

En embarquant pour l’Australie, une promesse d’avenir s’offre à elle…



Au travers de cette saga familiale, Anna Jacobs nous propose un voyage dépaysant, entre l’Angleterre et ces terres lointaines australiennes où tout est à construire.

J’ai particulièrement aimé suivre Liza dans sa volonté de s’affranchir de sa condition.

En effet, au fil des évènements, notre héroïne lutte contre son statut de femme au XIXe siècle (dans un monde très patriarcal), mais aussi contre son statut de femme issue d’une classe sociale pauvre (avec toutes les inégalités de traitement que cela induit).



Dans ce 1er tome « Vers la terre promise », les évènements, les rencontres, les amitiés se succèdent, nous tenant en haleine et nous faisant passer par des sentiments variés (indignation, colère, joie, etc.).

Il me tarde découvrir la suite de cette saga !

Je remercie Babelio et les éditions de l'Archipel pour la découverte de ce titre.



Voilà un début de saga riche en péripéties ! Je me suis laissée transporter par le voyage de Liza, du Lancashire en Angleterre à l'hostile Australie où il faut s'adapter pour survivre, en passant par un long et usant voyage en bateau. Il se passe énormément de choses dans ce roman et il n'y a que peu de temps morts.



Je ne me suis pas ennuyée un seul instant dans ce roman à l'écriture fluide et, pourtant, j'en ressors quelque peu mitigée. Si Liza est d'une bonté incroyable et dotée d'un grand courage, ce personnage attire tous les malheurs du monde ! J'ai trouvé dommage que tant de mésaventures et problèmes lui tombent dessus : c'est presque de l'acharnement.



De même, j'ai trouvé dommage que la vie en Australie ne soit pas plus développée. Je n'ai pas autant voyagé que je l'aurais voulu.



En revanche, j'ai beaucoup aimé la dernière partie du roman qui tourne au huis-clos et laisse planer un bon suspense qui tient en haleine jusqu'à la fin.

Un premier tome de saga intéressant



Le début a été long à avec de nombreux personnages.

Mais au bout de 100 pages on embarque sur le bateau pour l'Australie et alors là le récit devient plus intéressant et plus addictif.

Les chapitres sont longs.



J'ai aimé ce voyage et la lecture est très dépaysante. Je me suis vu dans le bush australien.



J'ai aimé les personnage de Lizia et de Bénédicte.

Lizia est bluffante par sa force de caractère. J'ai aimé la suivre et voir comment elle évolue au fil des années.
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Le vent de l'espoir , tome 1 Vers la terre promise par Anna Jacobs , Éditions de l'archipel





1857, dans le Lancashire, plusieurs personnes s'apprêtent à prendre le bateau pour partir vivre en Australie, terre lointaine et sauvage mais terre qui promet de faire fortune. Parmi tous ces passagers, le couple Pringle accompagné de Liza , leur employée ....



Anna Jacobs m'a transporté très rapidement et facilement entre l'Angleterre et l'Australie.

J'ai beaucoup aimé cette jeune Liza, la protagoniste de ce roman qui a la tête sur les épaules mais dont l'existence n'est pas un long fleuve tranquille. Sa persévérance et son obstination m'ont scotchée car rien ne lui est épargné. La vie ne lui a pas fait de cadeaux. Elle a réussi à échapper à un mariage forcé avec un homme violent mais ce n'est qu'une mésaventure parmi tant d'autres. Sur le bateau la menant en Australie, elle fera connaissance avec Catherine et Josiah .

Dans ce roman, nous rencontrons un certain nombre de personnages : des sympathiques, des très sympathiques et des moins sympathiques, voire des détestables.

J'ai apprécié l'histoire. Je n'ai pas trouvé de longueurs dans le récit. À aucun moment, je ne me suis ennuyée. J'ai tourné les pages et suis arrivée à la dernière sans m'en rendre compte.

C'est avec un grand plaisir que je lirai le deuxième volume de cette saga.



Je tiens à remercier vivement les éditions de l'Archipel et #NetGalleyFrance pour l'acceptation de ma demande de lecture.