AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet

Vous aimez cette série ? Babelio vous suggère

1470 lectures
13 livres
1652 lectures
11 livres
2348 lectures
10 livres
16528 lectures
12 livres
5555 lectures
18 livres
3755 lectures
9 livres
19789 lectures
12 livres
12438 lectures
24 livres

Dernières critiques
The Witch and the Beast, tome 10

Un tome palpitant du début à la fin, et si je ne me trompe pas, le prochain doit sortir en septembre prochain et l’attente va être longue, très longue. Mais je ne suis vraiment pas mécontente de m’être plongée dans The Witch and the beast car avec son ton bien particulier, comme son design, le manga a clairement su gagner mon cœur.



Après la fin du tome neuf, j’avoue que je ne m’attendais pas à tout ce qui arrive ici. Ça a des allures de fin de saga, et j’espère vraiment que ce n’est qu’un arc parce que, non, clairement je ne veux pas quitter nos héros. Commençons par le plus drôle. Enfin le seul élément à vrai dire : Guido en garde d’enfant ! Rien qu’en écrivant ça, je suis prise d’un fou rire. Mais qui irait confier un enfant (bon d’accord, c’est un artefact interdit mais ça reste un enfant) à Guido ? Qui ? Ashaf bien entendu. Et le pire, c’est que ça a l’air de fonctionner autant pour l’un que pour l’autre. Et ce petit bonhomme reste extrêmement mignon, surtout envers ses gardiennes. On n’arrive pas à oublier qu’il est dangereux, notamment avec son regard, mais en même temps, tous les passages concernant ce bout d’intrigue du manga, sont juste adorables.



Et à côté de cela, la traque de la clique d’Angela pour retrouver l’artefact continue. Si Ashaf est quelque peu absent pour le coup, par contre, nous avons droit aux retours de nombreux personnages. Et je vous avoue que c’était plus que jouissif, même si encore une fois, on a l’impression de voir une armée se former pour le grand combat. Il y a une tension bien palpable que ce soit durant les combats que certains doivent faire face, ou bien des informations que l’on apprend. Il y a un excellent rythme qui plus est avec l’alternance de passages plus ou moins dramatiques et anxiogène, et d’autres plus calmes et contemplatifs. C’est comme soit être dans l’œil du cyclone ou bien en pleine tempête. Si bien que les pages se tournent toute seule.



Je sais que l’on a encore beaucoup de choses à apprendre, notamment sur Guido, qui reste encore un mystère et c’est ce qui me fait espérer que la suite ne nous mènera pas trop rapidement vers la fin. Je serais déçue si avec la capture d’Angela, ce soit la fin de tout, mais encore faut-il l’attraper. Alors oui, je m’attends à ce que le tome onze de The Witch and the beast soit assez épique, ou du moins dans la même lignée que celui-ci, car on a vraiment l’impression d’avoir passé un cap, que les petites missions à répétition étaient bel et bien finies. Et j’ai hâte. J’espère juste que je ne place pas trop d’espoir dans cette suite.
Commenter  J’apprécie          330
The Witch and The Beast, tome 9

C’est toujours quand je me dis qu’on va enfin avoir un tome centré sur Guido et Ashaf qu’un événement pas possible se produit et nos deux héros passent à la trappe… C’est ultra frustrant, même si le tome était très bien, parce que justement j’ai cette impression qu’on se « débarrasse » souvent d’eux pour mettre en avant d’autres personnages. En neuf tomes nous n’avons eu que quelques petites miettes les concernant et moi j’en veux plus, beaucoup plus.



Après franchement, je ne vais pas me plaindre, on retrouve pas mal de personnages que j’ai beaucoup aimé avec Fanola, Matt et Helga notamment. Voir tout ce petit monde joindre leurs forces pour pallier à une attaque d’envergure cela laisse entrevoir des choses plutôt intéressantes pour la suite. Bien que dans des camps différents, ils sont capables de faire front une nouvelle fois et cette coopération m’enchante au plus haut point.



Je trouve par contre l’utilisation de la trahison au sein des différentes organisations un peu trop redondante à mon goût. C’est facile et en plus cela fait passer, notamment l’ordre des chevaliers sacrés, pour des incompétents. Pour un groupe qui se veut irréprochable, ça laisse sacrément à désirer. Surtout que l’influence des sorcières ou des artéfacts n’est plus à prouver. Un petit peu de renouveau serait plaisant.



Ce tome neuf de The Witch and the beast, même s’il nous offre pas mal d’action, reste somme toute introductif. On retrouve Angela qui visiblement prépare un sal coup, avec d’autres sorcières qui plus est, mais nous ne savons pas grand-chose de plus. L’arrivée aussi d’un magicien ultra puissant ne me dit rien qui vaille même s’il est du côté des « gentils ». En clair, on nous pose gentiment les pions sur le plateau pour nous préparer à la suite.



Je n’ose pas trop de réjouir de la fin de ce tome, même s’il est jouissif au possible, tellement la demande d’Ashaf est hilarante et absurde mais… j’ose espérer. En tout cas, cela est prometteur.



Un tome neuf de The Witch and the beast plutôt sympathique. J’ai notamment beaucoup aimé revoir Fanola et Helga, et surtout voir leur relation qui a quelque chose de très tendre même si leurs présences sont restées brèves. L’attaque de ce groupe de sorcières semble les prémices d’une grande catastrophe de quoi garder occuper nos héros.
Commenter  J’apprécie          280
The Witch and the Beast, tome 8

Fin de l’arc concernant la reine de la nuit. Si je n’ai pas eu les révélations que j’attendais concernant nos héros, nous avons au moins eu de quoi nous contenter au sujet de Danword et de son passé. C’est déjà cela, et en plus, il se pourrait que cet arc de The Witch and the beast soit le point de départ de quelque chose de plus grand. Des promesses qui ont intérêt par contre d’être tenues.



Même si je n’ai pas obtenu ce que je voulais, il n’en reste pas moins que ce tome huit est tout aussi efficace que le précédent. Avec notamment des affrontements assez spectaculaires qui poussent chacun des personnages dans ses retranchements. Il y a tout de même un petit goût de « reviens-y » concernant Guido. Je ne me lasse pas de le voir combattre alors que pourtant, la violence est ultra présente, mais c’est comme toucher du doigt quelque chose qui nous échappe et cela titille ma curiosité.



En parlant de curiosité, nous avons enfin le fin mot de l’histoire concernant Danword et la reine de la nuit. Une histoire tragique pour le premier, qui nous montre une facette intrigante du vampire notamment. Quant à la seconde… je ne sais pas ce que le mangaka voulait nous faire ressentir, mais personnellement, je n’ai pas vu la reine comme une victime et je n’ai eu aucune pitié pour elle, même après avoir découvert son passé. Son orgueil l’a perdu et elle sait prise elle-même au piège de sa vanité…



J’ai adoré par contre le mélange entre les vampires et les loups-garous. J’ai trouvé cela tellement original de faire d’ennemis ancestraux dans la littérature des formes de puissance différentes pour un seul et même être. Cela détonne et en même temps pousse les limites de ce que l’on peut connaître. Un très bon choix.



Quant à la fin… je suis un petit peu mitigée dans le sens où j’ai trouvé que c’était un peu facile, et surtout je n’ai pas compris pourquoi la sorcière n’avait pas agi bien avant. Cela tombe un peu comme un cheveu sur la soupe, ou alors j’ai manqué un détail crucial… Enfin, au moins nous pouvons passer à autre chose maintenant, et j’ai hâte de voir ce que The Witch and the beast nous réserve.

Commenter  J’apprécie          330
The Witch and the Beast, tome 7

Un tome sept de The Witch and the beast bien meilleur que le précédent, ce qui me rassure grandement. Les choses sérieuses se mettent en place et on entre dans le vif du sujet ce qui fait qu'il est beaucoup plus entraînant de suivre les mésaventures de nos deux héros. Parce que les pauvres ne sont décidément pas ménagés... mais comme c'est palpitant à souhait, on s'en accommode plutôt bien.



Nous n'avons pas encore tous les aboutissants, c'est certain. Il y a quelques petites zones d'ombre qui persistent, mais clairement plus de révélations, plus d'action et les manigances des vampires conduisent à certains événements que j'ai particulièrement appréciés. Déjà on perçoit un "rapprochement" entre Guido et Ashaf. Je mets des guillemets parce que leur relation était pour moi déjà à ce stade au début du manga, mais Kousuke Satake ne le laissait pas autant paraître. Outre une conversation assez drôle sur l'amour dont Guido ne capte absolument rien, on voit clairement la confiance qu'ils ont l'un envers l'autre. Ashaf pousse même la chose jusqu'à s'infliger un sortilège qui ne semble pas anodin. Et ces quelques petits détails font que ma curiosité est ultra titillée. J'ai envie d'en savoir plus car j'ai l'impression que l'on nous cache pas mal de choses... et si ce n'est pas le cas, je meurs d'envie que le mangaka développe cela. Je n'aurais rien contre une romance surtout entre ces deux-là !!



Pour les vampires, on voit les intentions de chacun se dessiner. Les intrigues politiques vont bon train, et entraîne de la violence, cela va de pair. Comme je le disais, je suis plus que hypée par cette suite. Elle est beaucoup plus dans la veine des autres tomes et l'action ainsi que les scènes de combat toujours aussi léchées sont réjouissantes. Je suis peut-être un peu moins fan de cette reine des vampires par contre. Elle a un côté un peu caricaturale dans le sens amoureuse transi qui ne répond que par la violence. J'ai du mal à voir en elle une ennemie avec un agenda si je puis dire, elle est plus une marionnette. Du moins de ce que j'en perçois. Cela renforce la puissance d'Angela, mais... je m'attendais à quelque chose de plus élaborée. La suite me contredira peut-être, on verra.



Un tome donc des plus efficaces où les pièces du puzzle sont enfin sur le plateau et donne une compréhension de l'ensemble beaucoup plus clair. Vu que l'on va atteindre trois tomes minimum pour cette intrigue, j'espère qu'elle nous en révèlera encore plus. Je sais qu'avoir de grandes attentes n'est pas toujours une bonne chose, mais je ne peux pas m'en empêcher.

Commenter  J’apprécie          350
The Witch and the Beast, tome 6

Changement de cap pour nos deux héros avec une descente aux "enfers" si l'on puit dire, aka Horrencia Seth, univers parallèle peuplé de vampires. Même si l'on est toujours dans l'optique de la chasse aux vilaines sorcières et ici plus particulièrement Angela, le changement opéré avec l'apparition d'autres créatures surnaturelles est plutôt sympathique. Par contre, je ne goutte pas aux tomes de 140 pages, merci bien... Les deux histoire bonus à la fin du tome n'apportent absolument rien (même celle sur Fanola où on n’apprend rien de nouveau), alors que nous sommes en quête de réponses depuis maintenant plusieurs tomes... J'en conviens que finir sur l'image de la reine des vampires était parfait comme conclusion pour ce tome six de The Witch and the beast, mais franchement, cela entraîne plus de frustration et de mécontentement que de curiosité.



Un peu agacée donc après la fin de ma lecture d'où ma note un peu en deçà des autres tomes. Ce n'est pas une pratique que l'on voit très souvent, mais j'avoue qu'à chaque fois que c'est le cas, je lève les yeux au ciel. Car au final, tout ça pour garder un nombre de pages constant et faire payer au lecteur les 2/3 de ce qu'il a habituellement. J'espère franchement que cela ne se reproduira pas.



Nous voici donc dans un monde où les vampires règnent en maître mais avec de nombreuses règles ce qui induit une cohabitation plutôt réussie avec les humains. Horrencia Seth étant dépourvu de magie, ce sont donc les suceurs de sang, en quelque sorte, qui prennent la place des sorcières. S'ils sont civilisés, il n'en reste pas moins très violent, et plus on avance dans le tome plus cela est flagrant. Pour l'instant, nous sommes dans une phase de présentation et nous apprenons à comprendre les vampires tout comme Guido et Ashaf. La piste d'Angela est connue mais j'ai comme l'impression qu'elle ne sera pas atteinte avant un petit moment, surtout que l'un des accompagnateurs de nos héros les conduit à un incident diplomatique des plus fâcheux. Les vampires sont civilisés mais aussi très primitifs lorsqu'il s'agit de regagner son honneur... Pas sûr que l'on y gagne au change niveau créatures obscures.



Deux nouveaux personnages font donc leur apparition : Oskar une magicienne de l'Echo noir et Danword, un vampire. La première pourrait être intéressante mais elle est très effacée. Je n'irais pas jusqu'à dire qu'elle a un rôle de potiche, mais pas loin. Du coup, j'ai du mal à comprendre son utilité et l'intérêt d'en faire un personnage. Si son seul rôle et de faire un lien entre l'organisation et le vampire... cela gâche grandement son potentiel. Je me trompe peut-être, et je l'espère franchement. Danword est plus intéressant mais dans le sens où il incarne la nouveauté et une créature jusque-là inconnue dans ce monde. Je ne suis pas très fan de sa personnalité et pour l'instant à part le fait qu'il va pouvoir potentiellement conduire nos héros à Angela, il me laisse de glace. Je ne vois qu'une brute épaisse orgueilleuse et rien d'autre. Les deux nouveaux protagonistes sont donc juste des pions qui servent l'intrigue sans sortir du lot.



Bien que le sang frais (oui je sais, vampire, sang... c'était facile) apporte un peu de peps à l'univers, je ne suis pour l'instant pas trop convaincu par l'ensemble. Trop introductif, on assiste à des scènes de combat somme toute intéressantes, et une structure politique qui l'est tout autant, mais cela ne suffit pas vraiment. Peut-être que le prochain tome sera plus captivant car plus dans le vif du sujet, je l'espère fortement.

Commenter  J’apprécie          310
The Witch and the Beast, tome 5

Malgré la fin plus qu'intrigante du tome quatre, j'ai patienté un petit peu avant de me plonger dans le volume cinq de The Witch and the beast. A l'allure où je vais, je vais finir la saga et l'attente pour le onzième va être extrêmement longue mais ça devient une drogue... et il est difficile de résister. Surtout qu'avec l'apparition d'Angela, on se doutait que la suite des événements allait être des plus intéressante. Je m'attendais cependant à bien plus de révélations au final, mais au moins certains points concernant Guido ont été levés.



Depuis le début de The Witch and the beast, je n'arrive pas à savoir si Guido est un homme ou une femme. Son enveloppe corporelle est celle d'une femme, mais comme son alter ego est un homme... C'est confusant. Et ici Ashaf utilise le pronom "il" pour parler de Guido... mais je ne crois pas qu'il l'ait déjà fait par le passé, ou bien je n'y avais pas fait attention. Quand Angela apparaît, on se rend compte qu'elle a la même apparence... Un jeu de la sorcière qui reste encore obscur. Qui a l'apparence de qui ? Et c'est là que je m'attendais à plus de révélations. Au final, l'appât qu'est Angela n'est fait que pour nous dévoiler la rencontre entre Guido et Ashaf. Attention, c'était très sympathique, car on voit notamment l'évolution de Guido sur ces trois ans, mais j'en voulais plus. Surtout quand Ashaf nous parle des sentiments qu'il a envers Guido. C'est un peu comme nous donner plein d'informations qui ont l'air hyper intéressantes mais dont on ne sait pas quoi faire. C'est frustrant, même si je me doute que l'on en saura plus, plus tard.



Néanmoins, j'ai apprécié de voir comment la rencontre avec nos deux héros s'était déroulée. Il est un peu plus facile d'appréhender pourquoi Guido a intégré l'organisation Echo noir d'une part, et aussi de façon détourner de voir qu'Ashaf a toujours été quelqu'un de profondément gentil qui ne se fit pas aux apparences et qui donne sa chance à tout le monde. Sauf bien entendu, si vous faites partie des méchants, et là, son intelligence affûtée sera la pire des menaces. On ne connait toujours pas les raisons qui ont conduit le magicien, par contre, à faire ce qu'il fait aujourd'hui. Je vous l'ai dit ce tome c'est un peu comme gagner un gros pot de friandises mais de ne pas pouvoir l'ouvrir ! Tant de questions et de mystère... Il va falloir se montrer patiente et ce n'est clairement pas mon fort !



En parlant d'Echo noir d'ailleurs, on se rend compte aussi qu'ils recrutent énormément de sorcières mine de rien. Et qu'on nous montre aussi que la plupart sont loin d'être les monstres terrifiants que l'on nous décrit. Et je me demande quelles sont les intentions de Kousuke Satake. Le fil conducteur est la malédiction de Guido, mais Echo noir reste très mystérieux en fin de compte et j'espère que ce n'est pas qu'un outil de l'intrigue mais que l'organisation prendra plus de place à un moment donné. Et que cela sera positif. Je ne suis pas certaine que j’adhère à un revirement de situation de genre les gentils sont en fait des méchants. A voir, à voir.



Un tome sympathique donc mais qui n'est pas à la hauteur de mes espérances. Comme je l'ai déjà dit, je voudrais qu'on en apprenne vraiment plus sur nos héros pour que l'on gagne en profondeur et que le manga ne se cantonne pas à une suite de missions.

Commenter  J’apprécie          270
The Witch and the Beast, tome 4

Suite et fin de cette mission épique et elle est tout aussi réussie que la première partie. C’est vraiment plaisant de se plaire autant dans un univers qui joue avec les nuances et dont la part sombre est tout à fait assumer. J’avoue que par contre, j’aimerai un peu de développement autour de nos héros maintenant. Histoire de donner encore plus de profondeur à The Witch and the beast.



La mission pour mettre en sécurité Helga et l’épée maudite ne se passe pas tout à fait comme prévu… et c’est un peu un euphémisme… Même si nos héros se trouvent un allié dans le colonel Cooger, le bourreau dévoile son jeu et décide de passer aux choses sérieuses sans plus de cérémonie. C’est violent, comme à l’accoutumé, mais on a aussi droit à pas mal de moments qui sont autant émouvants qu’intriguant. Le mélange est plutôt réussi mêlant l’action avec l’avatar de Guido plutôt en colère, le passé d’Helga et la preuve encore une fois que toutes les sorcières ne sont pas des monstres, et les révélations concernant les bourreaux et leurs agissements. Encore une fois, les méchants ne sont pas toujours ceux que l’on pourrait croire.



Graphiquement aussi, ce tome quatre est impressionnant. Kousuke Satake a un style bien particulier, gothique à souhait, parfait pour les grands moments de tension. Mais par contre, j’aimerai maintenant un peu plus que cela. Comme c’est le début de la saga, il est normal de ne pas entrer forcément dans le vif du sujet, mais il serait temps que Guido nous livre quelques secrets. Notamment face à son avatar et sa malédiction. Ashaf a l’air d’en savoir plus qu’il n’y parait et je n’arrive pas encore à savoir si c’est pour protéger sa partenaire ou bien pour les intérêts de leur organisation. Il pourrait jouer sur les deux tableaux, mais là encore, ce n’est pas assez développé pour qu’on se fasse une idée. Et le tout est de plus en plus intriguant ! Et je ne suis pas trop du genre patiente… donc j’espère que l’on aura rapidement de quoi se mettre quelque chose sous la dent.



Quant à la fin de ce quatrième tome de The Witch and the Beast, nous sommes encore face à un cliffhanger, qui cette fois-ci concerne Guido. De quoi donner sacrément envie de poursuivre l’aventure ! Ce que je vais faire de ce pas.

Commenter  J’apprécie          300
The Witch and the Beast, tome 3

Je ne me lasse pas, et c'est plutôt chouette de se plaire autant dans un univers, même si j'ai l'impression que pour l'instant nous sommes plus dans une suite de mission que dans le réel suivi de la trame principale. Mais cela ne me dérange pas du tout car on apprend ainsi à bien connaître les personnages et plus les choses avancent, plus j'apprécie Guido et Ashaf. Ils forment un sacré duo, aux antipodes l'un de l'autre mais avec une affection que l'on s'en poindre à travers de tous petits éléments. J'aimerai les découvrir en dehors de leurs missions, cela pourrait être très intéressant.



Mais d'abord parlons de ce tome trois de The Witch and the beast. A la fin du tome précédent, on apprenait que nos deux héros allaient partir pour une mission dangereuse. Récupérer une sorcière alors que l'ordre des chevaliers sacrés était déjà sur place. Guido est totalement partante car c'est peut-être l'occasion de lever sa malédiction et de taper sur du chevalier, mais les choses ne tournent pas vraiment comme elle l'aurait espéré...



Franchement, c’est le tome que je préfère jusqu’à présent. Déjà pour l’action. Il y en a pas mal et les combats sont plutôt palpitants. Voir Guido en action est très plaisant et elle ne lâche rien. Helga, la sorcière qu’ils sont chargés d’appréhender, est aussi un personnage que j’ai beaucoup apprécié. Elle contraste avec ce que l’on a pu voir jusqu’à présent, et permet de nuancer ce que ce monde pense des sorcières. Je ne pensais pas que ce serait quelque chose que l’on verrait, même après avoir rencontré Fanola, et j’ai hâte de voir ce à quoi cela conduit. L’ordre de Guido et Ashaf me parait tout de suite bien plus intéressant !



Nous rencontrons aussi les chevaliers sacrés. Ils ne sont pas vraiment des ennemis, mais… disons qu’ils sont bien l’incarnation de l’église lors de l’inquisition avec cependant une certaine modération. Pas vraiment le genre de personnages que l’on va apprécier cela va sans dire même si le colonel que l’on rencontre a un sacré charisme. Voir cette nouvelle facette de l’univers de The Witch and the beast ancre encore plus cette ambiance bien particulière qui se dégage depuis le début. Je suis loin d’être une fan de la religion surtout dans son extrémisme mais si elle est bien traitée, cela peut être très intéressant. A voir donc s’ils seront plus présents à l’avenir ou pas.



La fin nous laisse sur notre… faim ! C’est le moins que l’on puisse dire. J’étais tellement concentrée sur ce qu’il se passait que je n’ai pas vu les pages tourner, et autant vous dire que j’ai très envie de poursuivre l’aventure avec le tome quatre. Heureusement, je l’ai sous la main !

Commenter  J’apprécie          330

{* *}