Aurore LC

Alors qu’elle se rapproche encore de moi, je fixe sa bouche rêvant de la dévorer, la lécher, la suçoter, la martyriser. Je n’entends plus ses paroles qui virevoltent autour de nous dans un brouhaha assourdissant. Je ne suis plus qu’un homme qui désire une femme. Ignorant tous les signaux d’alarme dans ma tête, je jette ma cigarette au sol et fonce sur elle, l’attrape par la nuque de ma large main et pose enfin mes lèvres sur les siennes. L’explosion qui se passe entre nous est indescriptible. La douceur de ses lèvres sur les miennes est incroyable. Pour la première fois de ma vie, je me sens vivant.

«Avant de juger ma vie ou mon caractère mettez mes chaussures, parcourez le chemin que j'ai parcouru. Vivez mon chagrin, mes doutes, mes fous rires. Vivez les années que j'ai vécues, tombez là où je suis tombé... et relevez-vous comme je l'ai fait moi. »

Il y a ceux qui touchent des millions à courir après un ballon et il y a ceux qui touchent une misère et mettent leur vie en péril pour sauver celle des autres...
C'est à eux que doit être décernée la médaille d'honneur, à nos héros du quotidien. »

C’est très étonnant de me sentir aussi calme alors qu’une petite chose d’une vingtaine de centimètres de moins que moi s’égosille et me tient tête.

— Je dois être la pire des idiotes pour aimer que tu m’appelles de la sorte…
— Non, tu sais juste que c’est toi et moi. Juste toi et moi, répété-je en chuchotant avant d’attraper ses hanches pour l’attirer un peu plus près.

- Je ne peux que me dire que j’aurais pu tomber plus mal. Elle est sacrément sexy. Mais cela ne m’amadoue pas pour autant. Je la broierai entre mes mains et la tuerai en la noyant dans son propre sang. L’avantage est que pour la baiser, là au moins, je n’aurais pas besoin de faire semblant.

Aujourd'hui, ce n'est pas un au revoir.
Aujourd' hui, je te dis à plus tard
Je sais que tu es la lumière qui me guidera,
tu as donné ta vie pour la mienne.
Ce dont tu n'étais pas au courant c'est que tu as sauvé deux vies ce jour-la, la mienne et celle de mon bébé. Jamais je ne saurai assez te remercier pour ce geste héroique.
J'ai perdu un ami, un confident, un rayon de soleil dans ma vie si sombre.
Mais on se retrouvera mon ami, on se retrouvera là-haut dans la lumiere, avec les anges, car tu en es un.
Je te promets aujourd'hui de prendre soin de ton âme sœur.
Je t'aime...

«Il faut beaucoup de courage pour aimer les femmes marquées par le passé, celles qui ont un fort caractère, mais un bon coeur.
Il faut beaucoup d'amour pour soigner les blessures et les désillusions.
Mais par-dessus tout, il faut être intelligent, parce qu'elles sont si matures et si expérimentées qu'elles ne croient plus à ce qu'elles ressentent, mais plutôt à ce que vous êtes prêts à faire pour elles. »

«Le regard que nous portons sur le monde n'est pas le monde lui-même, mais le monde tel que nous le percevons à travers le prisme de notre sensibilité de nos émotions. Si le monde vous parait triste ou hostile, transformez votre regard et il vous apparaitra autrement. »

je t'aime à en mourir.
Je t'aime si fort que ça me fait mal de te voir dans cet état, de savoir que si ma vie ne se lie pas à la tienne, je laisserais mon dernier souffle franchir mes levres pour te rejoindre en enfer. Quel serait mon intérêt de vivre si ma raison d'être m'est enlevée?

«Le premier tatouage n'est souvent que le début d'une addiction à l'aiguille.. car quand on commence, on a souvent beaucoup de mal à s'arrêter. »

Je la presse contre moi et ferme les yeux à mon tour. J’ignore ce qui nous attend, ni pourquoi je fais tout ça. En revanche, une chose me semble évidente, elle est à sa place, ici, dans mes bras

— Merci, susurre Allan.
— Je n’ai rien fait, ne me remercie pas.
— Si Malo. Tu es là, tu es toi, et tu ne me harcèles pas de questions futiles.
— Je crois que je n’ai pas besoin de t’en poser. Tes gestes sont assez explicites. Et puis, quand tu seras prêt, je serai toujours là.
— Voilà pourquoi je te remercie. Tout est si simple quand tu es avec nous. Même Ezio semble moins bourru. C’est comme si tu nous guérissais…
Nous nous relâchons et nous regardons comme pour fouiller l’esprit de l’autre.
— Et vous, vous me rendez libre… Je me découvre, je vis, je ne réfléchis plus. 

Ses mots me percutent de plein fouet comme si un trente-six tonnes me fonçait dedans. Je l’aime, c’est une évidence, et même s’il ne l’admet pas de vive voix, ses actes me prouvent que lui aussi.

Aussi sûr que je suis soûl, je suis en train de tomber pour cette tornade rousse.

Une fois de plus, il m'a détruite et je me demande comment je peux encore en pincer pour un abruti comme lui.

L'empreinte de son corps chaud, encorè à vif
sur ma peau laisse une vague de frissons sur
mon épiderme. Le claquement de la porte du
sous-sol me fait sursauter, Il est parti. Et
bordel, je peux enfin respirer convenablement.
Les mains agrippées au plan de travail en
marbre, je reste pantelante le temps de calmer
les battements de mon palpitant.

«Etre antisocial dans un monde rempli de gens conformistes est un signe d'intelligence. »

« Lorsque ton passé t'appelle, ne réponds pas, il n'a rien de nouveau à dire. »

Messieurs, bonjour, table du fond. J'arrive avec le café, en attendant notez bien qu'ici, c'est chez MOI avec mes règles et on les respecte, si l'un d'entre vous ne s'en sent pas capable, car je suis une femme, qu'il dégage tout de suite de mon bar. Sinon asseyez-vous, vous ëtes les bienvenus.