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Critiques de Ielenna (182)
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Persona, tome 1 : La Capitale de lumière

(ma lecture date un peu malheureusement, il est possible que j'ai oublié certains éléments 🥲)



Au royaume d'Argent, les quelques enfants ayant des Dons de la Lumière doivent être enfermés dans des Officia, lieu où ils sont élevés à l'abri de la haine des autres et où ils sont utilisés pour des missions grâce à leurs dons. À 18 ans, ils doivent choisir entre se marier et abandonner leur don, ou entrer au Culte dea Lumière au prix de leur liberté.

Andrea, le plus âgé de son Officia, a le don de Persona : il peut prendre l'apparence qu'il souhaite grâce à des masques, mais cela le fait se questionner sur qui il est réellement.

Un jour, lui et 2 de ses amis sont embauchés pour une mission spéciale : kidnapper le futur époux de la princesse.



J'avais assez peur en commençant ce roman, n'étant pas une adepte de fantasy. Et pourtant, ce fut un coup de cœur ! J'ai absolument tout aimé : l'histoire, les personnages, l'écriture... Je ne me suis pas ennuyée un seul instant !



Le gros point positif de ce livre reste pour moi les personnages, et surtout Andrea : ses questionnements et ses dilemmes sur son avenir et son identité, son désir de protéger ceux qui en ont besoin...



Avec ce livre, l'autrice fait aussi passer de nombreux messages tels que l'acceptation des autres, de soi, et bien d'autres encore !

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Persona, tome 1 : La Capitale de lumière

Ayant lu tous les romans de Ielenna, je ne pouvais pas passer à côté de celui-ci, évidemment. Et j'ai beaucoup aimé ! Je ne vous cache pas que j'avais peur de ne pas aimer, et pourtant, j'ai été rassurée dès les premières lignes.



Persona est le genre de roman assez atypique en son genre, avec plein de sujets abordés avec comme fond la magie. Mais ce qui m'a le plus plu (en dehors du côté imaginaire, bien sûr) c'est le groupe d'amis et leur amour si fort les uns envers les autres. La protection, aller au front pour défendre les uns et les autres sont leur credo. D'ailleurs, leurs liens évoluent au fil des pages, nous prouvant que l'amitié peut être plus forte que tout.



L'intrigue, elle aussi, m'a beaucoup plu. Elle est addictive et très mystérieuse. L'autrice dissémine ici et là des indices, qui, quand ils sont mis au jour, font éclater plein de choses.



En bref, j'ai passé un très bon moment de lecture et j'ai très hâte de lire le tome 2, surtout vu la fin de celui-ci ! J'étais aussi ravie de retrouver la plume de l'autrice qui, a chaque histoire, univers, fait évoluer sa plume suivant la période et le thème de ses histoires. C'est vraiment hyper appréciable. Bref, vivement le tome 2 !
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Persona, tome 1 : La Capitale de lumière

Persona est un roman qui m’a laissé un peu mitigé.



Autant j’ai vraiment adoré le début de ma lecture, la découverte des personnages et surtout d’Andréa, ce protagoniste extrêmement mystérieux et attachant. J’ai aussi beaucoup aimé l’univers que l’auteure a créé, le côté magie, politique, etc…

Cependant, je trouve que l’histoire manque parfois un peu de profondeur ou de rythme, j’étais assez confuse par instant et j’ai trouvé que Andréa n’était pas vraiment mis assez en avant par moment. Il manque ce petit « je ne sais quoi » qui fait que les personnages que l’ont rencontre et le protagoniste n’ont pas réussi véritablement à me faire plonger à fond dans ma lecture.



En dehors de cela, l’écriture est fluide, agréable et je pense que ce roman plaira à un grand nombre de lecteurs.
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Persona, tome 1 : La Capitale de lumière

La beauté de ce livre ne s'arrête pas à sa couverture.

Chaque mot est comme une lanterne lâchée à l'assaut des étoiles, portée par les vents chargés d'une odeur de lavande.

Cette histoire est une douceur inégalée. Le scénario, bien ficelé, importe finalement bien moins que son atmosphère colorée, remplie de bienveillance. Ses personnages attendrissants, avec qui l'on rit, l'on pleure. On aimerait parfois les secouer, parfois les serrer dans nos bras. Ils ne sont pas infaillibles. Leur monde est loin d'être parfait. Un peu comme le notre.

Ils nous donnent envie d'aller de l'avant. De voir le monde différemment.

Cette fantasy a le goût du réel, de l'humanité, de l'espoir. Il suffit de se laisser porter par les pages qui défilent.

Un immense coup de coeur
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Persona, tome 1 : La Capitale de lumière

Un peu plus jeunesse que ce que je pensais mais la variété des thèmes abordés, la fluidité de l'écriture, les personnages attachants, l'univers travaillé et le bon rythme en font une très bonne lecture ! J'ai beaucoup aimé les personnages d'Isidore, Andrea et Pyrame. J'ai hâte de lire la suite pour découvrir ce que promet cette aventure !
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Persona, tome 1 : La Capitale de lumière

Depuis peu inscrite sur @babelio_ , ce site marquera ma chute dans un abysse sans fond de Recommandations lecture. En lisant les critiques, en gravillons quelques citations j'ai craqué donc sur Persona car il avait cette promesse : une sorte de Miss Peregrine & les Enfants Particuliers dans un univers antique. Il n'en fallait pas plus pour faire battre mon petit cœur et tendre ma carte bancaire au libraire.



Dans les contrées de Lux, certains enfants sont touchés par la Lumière. Ils sont ensuite envoyés dans des Officiums, entre orphelinats et écoles pour ces enfants possédant des Dons qui sont mis à disposition des plus riches moyennant finances. Ces enfants vivent au ban de la société. Andrea fait partie de ces enfants là et il est Persona. A l'aide de masques, il peut incarner d'autres personnages d'âges, de sexes et d'apparences différentes. Sans jamais avoir trouvé sa place dans la société, il va être embauché par la mystérieuse Dame Desideria pour une mission périlleuse (suicide?)



J'ai adoré ce roman par bien des aspects : tout d'abord l'univers antique quasi dystopique (société très inégalitaire, lois discriminantes...), l'intrigue bien rythmés et qui annonce une belle suite (septembre 2023, le rendez vous est pris!!) Mais surtout la force incroyable de ce roman, ce sont les personnages qui sont d'une richesse folle. De part leurs Dons, les personnages sont uniques, ils sont Unis aussi par leurs passés douloureux et leur quotidien fait de discriminations et de rancœur gratuite. La diversité y est présentée d'une belle manière (on sent pas du tout l'autric arriver avec ses gros sabots en mode "JE VAIS METTRE DE LA DIVERSITE CA FAIT VENDRE") on sent une démarche sincère, ces particularités donnent de la profondeur aux personnages sans qu'une étiquette ne soit posée sur eux : Andrea n'est ni homme ni femme, Isidore a sa propre vision du monde et une sensibilité accrue et Evander est brouillé avec les lettres. (A t on besoin de mettre des mots sur ces aspects de leurs personnalités ? Ca manquerait cruellement de poésie de dire qu'Andrea est gender-fluid, Isidore autiste et Evander dyslexique quand même...)



Hâte de découvrir le destin d'Andrea et sa bande (surtout Pax !)
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Persona, tome 1 : La Capitale de lumière

Je connais Ielenna depuis de nombreuses années maintenant, à travers son travail en auto-édition avec Les Fleurs d’Opale. Je n’avais guère apprécié le premier tome de sa série mais j’étais curieuse de découvrir une autre série de sa plume. J’ai été convaincue par les avis dithyrambiques au sujet de Persona et le fait que ce soit une fantasy qui se déroule dans un univers inspiré de l’Antiquité. Je remercie les éditions Hachette et Babelio qui m’ont proposé de recevoir l’ouvrage dans le cadre d’une opération de Masse critique privilégiée. Hélas, le résultat ne m’a pas autant plu que je l’espérais.



Le gros point positif de Persona c’est son univers. L’autrice distille de nombreux éléments qui rendent l’univers intéressant à découvrir (la religion, les spécificités de chaque contrée …). Je dois dire que le cadre de l’histoire change radicalement de ce que j’ai l’habitude de lire : une citée resplendissante, une merveille aux yeux de tous. Par ailleurs, j’ai peu lu d’ouvrages de fantasy qui se déroulent dans une période inspirée de l’Antiquité (le dernier en date est l’Empire des Femmes, de Cassandre Lambert), ce qui m’a plu dès le début de ma lecture.



J’ai également apprécié certains aspects des personnages. Andréa, le protagoniste principal, est quelqu’un qui se définit comme asexuel/aromantique et non-binaire. Les réflexions autour de son pouvoir, le fait qu’il puisse changer de visage et de personnalité, et l’impact que cela a sur son identité, étaient très intéressantes. J’ai aimé voir Thisbé se confronter à ses préjugés, être persuadée que le mariage est sa seule porte de sortie, à défaut de mieux, et changer d’avis ; ou encore Evander qui ne souhaite qu’une chose, trouver quelqu’un à aimer et fonder une famille (ce qui est assez rare concernant un personnage masculin). J’ai énormément aimé le traitement du personnage d’Isidore, qui est autiste (ce qui est extrêmement rare en fantasy) et qui a une histoire des plus intéressantes.



Toutefois, les éléments cités ci-dessus n’ont pas suffi à me faire complètement adhérer au récit. On reste en surface concernant les personnages. Je n’ai réussi à m’attacher à aucun d’entre eux. La relation entre Andréa et Pax, qui se veut être attendrissante et forte, m’a laissée parfaitement indifférente. Je ne me suis attachée à aucun d’entre eux, ce qui fait que je n’étais pas particulièrement intéressée par ce que je lisais, ce qui n’est pas aidé par le rythme de l’histoire qui est très lent. Ce n’est pas dérangeant en soi, mais si on combine cet aspect avec le manque d’attachement aux personnages … On obtient un résultat peu convaincant.



Les avis ultra positifs ont fait que je m’attendais à être complètement transportée dans cet univers et être conquise par les personnages. Malheureusement rien n’a rempli ses promesses. Les révélations ne m’ont nullement surprise. Certains virages de l’intrigue m’ont laissée perplexe : l’intrigue s’accélère dans les dernières pages, et certaines quêtes prennent le pas sur l’intrigue principale, devenant très importantes, alors que cela a été à peine effleuré depuis le début de la lecture …



Si j’ai apprécié de nombreux messages que fait passer l’autrice, sur la tolérance, l’amour (et l’importance de l’amour dans toute sa globalité, qu’on a tendance à placer l’amour romantique sur un piédestal, en omettant complètement les autres formes de l’amour), sur la différence, l’identité, la bienveillance et la compréhension des autres, j’ai moins apprécié le ton que prenait parfois l’histoire. La plume a une tonalité presque naïve. Par exemple, un personnage qui est connu pour être très mystérieux sur son passé, au point de ne pas en avoir parlé à ses deux meilleurs amis qu’il considère comme sa famille, mais qui décide de se livrer à une inconnue … On essaie de justifier ça avec de bons sentiments mais à titre personnel, cela ne me paraît pas cohérent. Je n’ai pas non plus compris l’utilisation du prénom “il/lui” pour parler d’Andréa alors qu’il se définit comme ni homme, ni femme. Je sais que certaines personnes concernées n’utilisent pas forcément de prénoms neutres, mais j’aurais aimé une explication sur ça.



Si j’ai l’occasion de lire la suite, je ne sais pas encore si je la lirais. L’aventure ne m’a pas suffisamment plu et embarquée pour que je sois certaine de lire la suite. Toujours est-il que je vous encourage à découvrir cette histoire qui saura peut-être conquérir votre coeur.
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Persona, tome 1 : La Capitale de lumière

Tout d'abord, un grand merci à Babelio et Hachette Romans pour l'envoi de ce livre en service presse, dans le cadre de la masse critique Babelio !



Clairement, c'est 399 pages de bonheur. Ce livre mérite amplement une note de 4,5/5, même 4,75 si cette note était possible sur Babelio !

Je ne m'attendais pas à autant aimer !



L'univers est très bien construit, à la fois simple et facile à comprendre, une fois que l'on a tout bien en tête, et dense et bien pensé. L'autrice le détaille bien, sans que cela soit indigeste pour autant.

J'ai pris beaucoup de plaisir à découvrir ce monde, sa magie, ses décors ! C'est un émerveillement perpétuel pour l'imagination !

Et le système mis en place et la société sont vraiment intéressants ! J'aime beaucoup l'idée de base et ce que l'autrice en a fait !



Le récit est entraînant, je ne me suis pas ennuyé ! Les 150 dernières pages vont très vite, elles sont addictives ! Ça ne s'arrête jamais, et on se demande où l'autrice va nous emmener !

Je pense par contre avoir deviné l'événement des 2 dernières pages depuis bien longtemps, ainsi que d'autres qui en découlent, mais je ne dirai rien pour ne pas spoiler. J'avais aussi deviné quelque chose en rapport avec Adélaïde un peu avant que cela se produise, mais tout ça n'entache en rien la lecture !



Au-delà d'un livre, c'est une œuvre très philosophique, abordant de nombreuses interrogations sur les choix, la vie, le bien et le mal (fortement nuancés), la bienveillance, l'identité... L'autrice a une plume idéale pour délivrer des messages. Je ne compte plus les phrases et les personnages ayant fait écho en moi !

Que l'on soit touchés ou non (sans vouloir faire de jeu de mots) par tous les sujets soulevés, tout le monde pourra trouver son compte dans ce récit, et plus particulièrement les jeunes en proies aux questionnements.



Quant aux personnages, ils sont vraiment splendides. Ils parleront certainement à plus d'un.e, moi le premier. Tous crédibles, vrais, nuancés, et ils connaissent une nette évolution parfaitement amenée tout au long du livre. On voit qu'ils n'ont pas été écrits en un jour. Ils sont vivants.

J'ai beaucoup aimé Isidore, dans lequel j'ai pu énormément me retrouver. Pas pour tout évidemment, mais il m'a souvent rappelé moi, de par sa sensibilité, sa façon de voir les choses, ses raisonnements, ses sensations, ses réactions. En plus de ça c'est un personnage extrêmement intriguant !

Je me suis aussi reconnu en Andrea, un peu moins qu'en Isidore mais beaucoup quand même, dans ses actes, sa manière de penser, ou certaines de ses indécisions.

Pax est très attachante, je l'ai aimée dès le début !

Desideria aussi (malgré qu'elle n'inspire pourtant pas la sympathie au premier abord), en laquelle j'ai une grande confiance.

Également en Éloïse, que j'apprécie beaucoup, même si elle m'a un peu déçu sur la fin, moi aussi.

Sans oublier Pyrame, qui devient très vite attachant, et dont l'évolution est notable !

On a droit à un found family très bien fait et réaliste, que j'ai beaucoup apprécié !



J'ai trouvé un petit côté Harry Potter, surtout dans les personnages principaux et plus particulièrement Evander et Thisbé. Tout en ayant cette ressemblance (selon moi), ils sont quand même très différents et suivent leur propre chemin.

Excellentes les blagues d'Evander sur le lapin et la châtaigne, soit dit en passant. Je ne les connaissais pas X)



L'objet-livre est magnifique ! La couverture est superbe, la mise en page, la carte du monde, tout est vraiment beau et donne envie de le lire, ou même ne serait-ce que de l'avoir dans sa bibliothèque !

Le récapitulatif des Dons en fin de livre est appréciable, j'aurais juste aimé qu'il y ait un glossaire également, pour pouvoir un peu mieux s'y retrouver avec tous ces nouveaux mots.



J'ai été triste de refermer ce premier tome, mais en même temps satisfait, car je l'ai trouvé complet, totalement abouti (et c'est rare, surtout pour un livre à suivre). En bref, ce livre frôle le coup de cœur !

J'ai hâte de retrouver tout ce petit monde dans le tome 2, qui sort en septembre 2023. C'est à la fois proche et loin pour moi, ça va être difficile d'attendre jusque-là ! Ils vont me manquer en attendant !



En tout cas je vous recommande ce livre ! Lisez-le ! "Pour votre bien" ;)
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Persona, tome 1 : La Capitale de lumière

Lorsque l'on m'a proposé la masse critique pour Persona, j'ai sauté sur l'occasion : un roman avec un univers magique sur fond antique ? Grand oui !



Si j’avais été conquise dès les premières pages par l’univers, qui est une fantasy sur fond antique (mon cœur de Lettres Classiques ne pouvait que fondre), par la religion et la magie du monde, par le personnage d’Andrea, j’ai malheureusement bien vite déchanté.

Persona a été une lecture sympathique, certes, mais pas vraiment à la hauteur de mes attentes. De nombreux points dans ce roman sont intéressants, comme le rapport de force entre les différentes classes sociales ou la construction de la religion officielle. Il y a de réelles bonnes idées comme baser la monnaie sur la Lumière, créer un élément météorologique lié à elle, ou imposer une limite d’utilisation de la magie avant qu’elle ne vous consume.

Cependant, j’ai trouvé que l’autrice n’avait pas assez exploré, pas assez creuser ces ressorts. Tout reste malheureusement un peu trop en surface et manque de complexité ; il ne suffit presque que d’une remarque d’Andrea à Thisbé pour que celle-ci se rende compte des biais qu’elle a envers la classe sociale la plus méprisée du royaume, les Eluminati.



De même, si Andrea est, comme le montre si bien son prénom, à la fois gender fluid et non-binaire, tout et rien à la fois, de par son Don de Lumière lui permettant de changer de genre, d’apparence, de caractère, de masque à volonté, j’ai trouvé dommage que cela ne se retrouve pas plus à la narration. Pourquoi ne pas totalement genrer Andrea au féminin lorsque le personnage incarne une femme, puisqu’elle est alors une femme ? Pourquoi ne pas utiliser un pronom neutre lorsqu’il s’agit de parler de l’Andrea sans masque, l’Andrea de tous les jours ?

L’autrice s’appuie beaucoup sur sa narration pour transmettre des informations, des idées ; sa plume est ainsi très directe et ne prend pas de détours. Je regrette un peu cette trop grande efficacité, mais il ne s’agit là que d’un avis subjectif ; elle trouvera son public.



De même, elle essaie d’établir un jeu avec son lectorat, ce qui est tout à son honneur ; de petits indices nous sont laissés ici et là afin de monter nos propres hypothèses. En revanche, ils sont un peu mal répartis, à mon avis ; impossible pour le lecteur de formuler une hypothèse correcte sur le pouvoir d’Isidore, par exemple, puisqu’on ne connait pas ce pouvoir en particulier. C’est fort dommage, parce que, à mon sens, toute la saveur de ce genre de roman est de s’essayer à mettre en place les pièces du puzzle, de remuer nos méninges et de confronter nos théories au fil du récit.

Les personnages sont globalement bien exécutés, même si leur écriture a quelques faiblesses, notamment une trop grande naïveté de manière générale, qui peut vite en devenir agaçant en fonction de la situation. Certains se livrent aussi de manière trop rapide alors qu’il est expliqué dès le début qu’ils gardent des souvenirs douloureux, enfouis, qu’ils ne partagent à personne.



Ce roman a donc de bonnes idées, qui ne sont pas assez explorées, quelques faiblesses, certes, mais rien qui rende la lecture trop difficile. Si ce n’est un point qui m’a particulièrement crispée. J’ai conscience qu’il s’agisse ici d’un point de détails, très technique ; il n’engage que moi. Mais non seulement la narration est bien trop étouffée, surtout au début, par une abondance de termes latins qui n’apportent pas grand-chose à l’univers et qui finalement rendent la lecture assez complexe (et pourtant je suis en Lettres Classiques, je ne suis donc pas la plus dérangée par les incursions intempestives de cette langue, m’enfin j’ai un peu de mal à voir à quoi sert d’utiliser le terme latin pour les tuiles) mais en plus le ton des notes est bien trop docte. D’autant plus que certaines sont, au mieux, aux fraises, au pire, complètement à côté de la plaque.

Il n’y a aucun monde dans lequel princeps signifie professeur, et l’écrire avec un tel d’aplomb dans les notes est tout simplement faux. Les réinterprétations sont toujours les bienvenues mais pas lorsqu’elles prétendent reprendre exactement ce dont elles s’inspirent.

De même, instructor n’est pas un instructeur en latin, il s’agit d’un calque sur le mot français, certes fort pratique pour le lecteur afin de comprendre de quoi il en retourne, mais encore une fois, pourquoi ne pas faire une note en accord avec cela ? Je pense que personne n’en aurait voulu à l’autrice si elle avait fait une petite note expliquant qu’elle s’inspirait du latin et se réservait donc le droit de le réinterpréter à sa sauce, bien au contraire.

Et reste toute l’affaire de lucem afferre. C’est, encore une fois, du détail, c’est certain, que j’aurai complètement ignoré si les notes ne se faisaient pas si catégoriques. Ce n’est pas une locution latine, ni une expression, c’est une citation tronquée de Cicéron, prise hors contexte, où lucem prend le sens de salut. De même, cela ne se traduit pas par « que la lumière vous guide », tout simplement parce que, premièrement, afferre ne signifie pas… guider. Apporter, oui, guider, non. Tout à fait littéralement, cette phrase signifie « apporter la lumière », que l’on pourrait traduire, en faisant quelques pirouettes culturelles via l’univers du roman, comme « Que [vous] soit apporté la lumière », ce qui fonctionnerait ! Mais là encore, pourquoi faire une affirmation fausse plutôt que de dire que l’autrice a ici fait une réinterprétation ? S’essayer à la transposition d’une langue sur un univers de fantasy est absolument passionnant, et est toujours tout à l’honneur de l’auteur ou de l’autrice qui s’y lance. Même en ayant fait des études sur le domaine, il est possible de faire des erreurs, c’est normal, ce n’est pas grave.

En revanche, afficher une confiance mal placée me laisse beaucoup plus perplexe, et a franchement ruiné ma lecture. C’est d’autant plus dommageable qu’Ielenna semble avoir fait un vrai travail de recherches derrière…

Loin d’être une lecture horrible, puisque ce roman reste tout de même assez sympathique, il ne m’a cependant pas donné envie de continuer l’aventure…
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Persona, tome 1 : La Capitale de lumière

J’ai beaucoup aimé cette histoire, et surtout les personnages, très différents de ceux qu’on a l’habitude de lire. Si la trame de l’histoire reste classique, elle n’en reste pas moins intrigante et plaisante à suivre. La force de ce roman réside vraiment dans les personnages ♥, mais aussi dans tous les messages - de tolérance, d’amour, d’amitié - transmis par l’auteur à travers eux.



&#xNaN Je vous recommande donc vivement la lecture du T1 de Personna et j’ai hâte de lire la suite !



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Persona, tome 1 : La Capitale de lumière

Encore une excellente lecture !



Cela devient difficile de critiquer l'autrice quand on trouve autant de points positif à un livre 😂



Déjà on peut noter à quel pount c'est rafraîchissant d'avoir une histoire qui se passe dans une fantasy antique et pas médiévale. Cela change beaucoup de chose et en plus on sent que l'autrice à prit le temps de s'informer sur les modes de vies puisqu'il y a beaucoup de vocabulaire latin (oui l'amoureuse des langues en moi adore) ❤



Ensuite j'ai adoré chaque personnages. Ils ont tous leur spécificités et elles sont d'un richesse incroyables : handicap, Don, morphologie, origines sociales, origines culturelles... Et leur spécificité ne se contente pas d'être posée juste pour faire de la visibilité, elle est vraiment développée ce qui permet une vraie diversité 😍



Le roman prends son temps pour bien poser le monde sans pour autant délaisser l'action. Ielenna a fait le choix de montrer que l'action ce n'est pas que des batailles ou des choses qui vont vite, mais aussi des personnages qui évoluent et des découvertes x ou y sur la réalité de l'univers. Ainsi donc on a un livre qui se passe sur très peu de temps, mais qui pose extrêmement bien les bases de Lux et qui pousse à la curiosité 😂



La seule raison pour laquelle ce n'est pas un coup de cœur, c'est parce que j'aurais adoré plus voir le personnage de Pax. J'ai évidemment mes théories sur elle et sur ce qu'elle va représenter au fur et à mesure de l'aventure, mais elle est tellement mignonne que je voulais la voir à tous les chapitres 🥹



J'ai hâte de voir la suite et de continuer à dévorer cet univer !
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Persona, tome 1 : La Capitale de lumière

Un roman que j’ai dévoré en même pas 24h.



Ici le récit nous plonge dans un décor de Rome Antique et c’est ce qui m’a charmé en premier lieu. Avec ceci s’accompagne un vocabulaire riche et une plume fluide nous permettant de nous immerger complètement dans l’histoire.



Ensuite je suis une personne friande des jeux de pouvoirs et des manœuvres politiques dans les romans de manière générale… alors comment dire que j’étais ravie d’y être confrontée ! En plus de ça avec la touche d’imaginaire : j’ai été conquise. Je trouve que ça été super bien mené ! Tout comme la création de l’univers et de sa magie.



Les personnages sont super attachants et j’ai été particulièrement sensible à la diversité de ce roman.

On aborde aussi des sujets tels que l’asexualité, la dyslexie…



Pour finir : j’ai adoré découvrir ce livre et me lancer dans cette aventure ! J’ai hâte de voir ce qu’annonce la suite !



(Je remercie Babelio pour l’envoi du roman).
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Persona, tome 1 : La Capitale de lumière

Bonjour les amis,

J'ai lu PERSONA, LA CAPITALE DE LUMIÈRE, le premier tome de la trilogie fantastique de Ielenna aux éditions Hachette Romans

Dans la ville lumière de Faos, ceux qui possèdent des dons sont enfermés dans des Officia où l'on exploite leur magie jusqu'à 18 ans. Ils ont alors deux choix, abandonner leur don en se mariant ou rejoindre le culte de la lumière. Andrea refuse ces options, elle qui possède le PERSONA qui peut l faire changer d'apparence grâce à un masque.

Dales une écriture fluide et légère, abordable aux adolescents, l'autrice nous entraîne dans un univers fait de machinations, de conspirations et de magie. Le monde de Faos, dans lequel elle nous entraîne est peuplé de pouvoirs , de merveilleux et de lumières. Véritable ode à la jeune génération. Les dons innombrables sonnent comme un rappel de ce qui existe en chacun de nous et restaure la capacité de croire en ses rêves et vouloir échapper au conformisme du monde adulte. Une lecture légère et plaisante, simple plutôt que simpliste. Un premier tome qui éveille la curiosité et donne envie de découvrir la fin de cette histoire .

Merci à Babelio.com pour ce roman entraînant
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Les chroniques des fleurs d'opale, tome 2.1..

Bon, maintenant vous savez que je porte un amour pour la plume de Ielenna et encore plus pour sa saga qui devient de plus en plus virale (quoi, c'est vrai, non ?). Alors, avoir l'honneur de découvrir en avant-première la partie 2, c'est tellement cool. Et si le tome 1 était plus une introduction à l'univers, ce tome 2 entre directement dans l'action ! Et j'ai sur kiffé !



Si dans le premier tome nous suivions les traces de Diphtil, ici, nous somme plusieurs décennies plus tard, sur les pas de ses enfants, surtout Isophine. Suite à une malédiction, sa petite sœur, Saada, est soumise à résidence et commence à être de plus en plus mal. Décidée à trouver une solution pour sauver sa sœur, Isophine décide de partir avec son frère et son cousin, sur la trace d'un objet qui pourrait supprimer cette malédiction.



Il faut dire ce qui est : ce tome 2 commence sur les chapeaux de roue ! Si dans le premier tome, l'auteure prenait son temps pour introduire tranquillement son univers, ici, elle a passé la seconde, voire même la cinquième ! Tout s'enchaîne à un rythme effréné et le lecteur n'a pas le temps de souffler ! D'ailleurs, il en veut toujours plus.



Alors, c'est vrai, moi j'étais dans une optique "corrections" ce qui fait que je n'étais pas en mode "lectrice impulsive" mais il n'empêche qu'à chaque fin de chapitre, je voulais toujours en savoir plus. Et je pense que c'est ce qui fait l'une des forces de ce tome 2 : l'action perpétuelle, le suspense constant et l'envie de toujours vouloir en savoir plus.



Et je ne vous cache pas que la seconde force de ce roman, c'est bel et bien Isophine. Dire que j'ai eu un coup de cœur pour elle est un euphémisme. Dès ses premiers mots, j'ai su qu'elle allait devenir l'un de mes personnages préférés. Elle est badass, forte, fière, sait d'où elle vient et ne se laisse pas marcher dessus. Mais elle a aussi ce côté inconscient, qui la rend plus humaine, plus réaliste. Elle a des dons, des pouvoirs qu'elle ne connaît pas encore complètement. Alors elle se trompe, elle fait des erreurs plus ou moins graves, mais elle réussit à rebondir, à voir le meilleur là où elle pourrait voir le pire.



Elle est aussi très bien entourée. Par son cousin, sa jumeau et d'autres personnages qui prennent une importance capitale tout le long du roman. Ils sont sa bouée de sauvetage, cette épaule sur laquelle elle peut se poser quelques minutes, se relâcher et respirer. Avec ce tome 2, Ielenna montre encore son talent pour parler de la famille, de l'amour, de l'amitié. Mais aussi des doutes, des trahisons, des colères, des combats. De tout ce qu'une personne peut vivre dans sa vie. Au-delà d'un roman de fantasy, l'auteure fait passer de vrais messages importants, à travers sa plume enchanteresse et poétique.​



​En résumé, une partie 1 du second tome qui m'a convenue du début à la fin. Isophine est un personnage pour lequel on ne peut que s'attacher. Alors oui, à des moments, elle peut agacer, mais elle reste un être humain avec ses forces et ses faiblesses. Elle n'est pas toute blanche ni toute noire, mais ce mélange de gris qu'il est intéressant de découvrir dans un roman et que les lecteurs attendent toujours de voir. À présent, il me tarde de découvrir la partie 2, et je pense que nous ne sommes pas au bout de nos surprises...
Lien : http://lire-une-passion.weeb..
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Les chroniques des fleurs d'opale, tome 1.2..

J'ai enchainer directement après la partie 1 car quel fin , je pouvais pas rester la dessus , il me fallait le fin mot de l'histoire et j'ai vraiment pas était déçue. J'ai boucler cette partie en 4 jours, faut dire que j'avais du mal à lâcher le livre et que des instants magique que j'ai vécu , je suis passer par tout les sentiments , un grand merci pour ce superbe moment que j'ai passer avec les fleurs d'opale, un véritable coup de coeur et j'ai juste une chose à dire vivement la suite ....
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Les chroniques des fleurs d'opale, tome 1.1..

Les Chroniques des fleurs d'opale, La candeur de la rose. Cette merveille. Ce bijou. Enfin, après 7 ans d'attente, je tiens ce livre entre mes mains, et quelle joie ! Ielenna fait de très belles choses, parce qu'elles sont faites avec le coeur. La couverture, la plume, l'histoire, tout est sublime.



Diphtil est une jeune fille Neltiade, peuple vénérant la Déesse de l'air. Elle mène une enfance paisible avec son frère Naid, et sa mère, jusqu'au jour où tout bascule. La guerre qui oppose le peuple de la Terre, les humains, au sien a refait surface, et son village proche de la frontière essuie les conséquences de cette querelle : Le village est ravagé par les humains, Diphtil se retrouve séparée de sa mère et de son frère dans l'incendie et trouve refuge dans un monastère du village de Myrtis, de l'autre côté de la frontière. Élevée depuis comme la cinquième déesse, envoyée sur Terre pour apaiser les conflits, son voyage ne fait que commencer le jour où une silhouette familière s'introduit dans sa chambre pour la délivrer…



Comment pourai-je faire une chronique objectif sur ce chef d'oeuvre ? Ielenna manie les mots à la perfection, cette épopée qui m'avait envoûté il y a plusieurs années m'a une nouvelle fois conquise. Et je retomberai amoureuse de cette histoire chaque fois que je la lirai, c'est certain ! J'avais 14 ans lorsque j'ai déniché l'univers de Diphtil, sept ans plus tard c'est avec une immense joie que je l'ai redécouvert. La plume de l'auteur est envoûtante, poétique sans être trop chargée, aucun mot ne pourrait être remplacé par un autre. Ielenna est la seule personne à avoir réussit à me décrocher une larme dans sa Fanfiction Ludo Mentis Aciem, mais c'est en pleurs que j'ai terminé cette partie 1, et pourtant je l'avais déjà lu plusieurs années auparavant. J'ai rit avec les personnages, j'ai craint pour leur vie, j'ai admiré Yasalyn exercer sa magie, J'ai rougit avec Diphtil devant les propos indécents de ses compagnons, j'ai vraiment voyagé avec eux depuis Myrtis jusqu'à Naralir.



Les fleurs d'opale entrent parfaitement dans le genre de la fantasy. Un voyage à cheval, de la magie, des peuples descendant de différents dieux, amoureux de la fantasy, foncez. Et pour ceux qui ne sont pas convaincu par le genre : foncez aussi. Ielenna aura sûrement le pouvoir de vous faire changer d'avis ! L'objet livre en lui-même est tout aussi magnifique que son contenu. Une illustration par Anna Dittman, une typographie par Tiphs, c'est un trio gagnant qui a pris place sur mes étagères et qui devrait se trouver dans chaque bibliothèque digne de ce nom. J'ai beau chercher des points négatifs, je n'en trouve pas… Ah si ! Le tome 1 est un énorme pavé (tellement gros qu'il a dû être divisé en deux livres de 460 et 600 pages!), J'ai peur pour la suite ! Si on ajoute que l'auteur est une véritable sadique et que ses personnages vont encore en voir de toutes les couleurs… ça promet !



Quant aux personnages ! Laissez-moi épouser Naid, l'homme de mes rêves, et on développe ensuite les autres. Yasalyn est insupportable, mais tout aussi attachiante, Diphtil est tellement naïve qu'elle en devient agaçante, Astiran attire la méfiance par rapport à ses aventures d'un soir, et Sarïn, je ne souhaiterai le rencontrer pour rien au monde. Vous l'aurez deviné, mon coup de coeur intersidéral de tous les temps va à Naid avec ses yeux améthystes et ses cheveux noir de jais qui se place définitivement à la première place de mes chouchous, tout livres confondus. De l'autre côté, j'ai adoré me méfier d'Amalia, et du couple royal de Naralir. Je ne les déteste pas, mais je ne leur accorde pas ma confiance pour autant. Mais il faut découvrir par vous-même les personnages de cette histoire, vous aurez l'impression de pouvoir les croiser à chaque coin de rue.



En définitive, l'attente valait le coup ! Je ne regrette pas d'avoir tant espérer l'édition des fleurs pendant toutes ces années, d'avoir participé à la campagne Ulule, et d'être allé chercher mon exemplaire en personne à Paris. Merci Ielenna de nous ouvrir les portes de ton univers merveilleux, même si j'ai peur pour la suite, connaissant ton caractère très sadique…



Un dosage parfait de chaque élément, une plume extraordinaire, un livre exceptionnel.



ϟ ❤ ❣ Un diamant brut ! ❣ ❤ ϟ
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Persona, tome 2 : La Citadelle Sainte

Pour rappel, ce roman se déroule dans un monde où les personnes touchées par la Lumière développent des pouvoirs spéciaux. L'intrigue suit Andrea, un personnage gender fluid qui a la particularité de changer d’apparence à l’aide de masques. Avec ses amis, il se retrouve engagé pour saboter le mariage princier, ce qui ne sera évidemment pas sans conséquence…



Dans ce second tome, nous retrouvons Andrea et ses compagnons engagés dans une quête ardente pour retrouver Pax - la petite fille qu’Andrea a pris sous sa protection - après le chaos du mariage royal. Leur voyage les conduit à la Citadelle Sainte, un lieu mystérieux au cœur des complots politiques et spirituels. Un séjour qui ne va pas être sans danger…



Que vous dire si ce n’est que ce tome 2 est aussi bon que le premier et que clairement cette saga vaut de s’attarder dessus. Ielenna continue de briller par sa capacité à créer un monde riche et détaillé autour d’une intrigue complexe, avec un développement des personnages des plus touchant.



On retrouve des thématiques déjà présentes dans le premier tome autour de la question du pouvoir, des tensions et des craintes autour de l’utilisation de la forme de magie accordée par la Lumière, mais aussi de l’amitié et de la liberté à disposer de soi.



Les nouveaux éléments introduits dans cette suite, les révélations, le développement des liens entre les personnages… promettent un dernier tome des plus prenant. J'attends désormais avec impatience la conclusion de cette saga.

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Persona, tome 1 : La Capitale de lumière

Un univers original, une plume soignée, de quoi satisfaire mon attrait pour l'univers gréco-romain ET pour la fantasy en même temps - la fantasy antique, c'est rare mais c'est tellement chouette - que demander de plus ?

J'ai suivi avec enthousiasme les aventures surprenantes d'Andrea, Pax, Thisbé, Evander et les autres, dans leur univers si différent et pourtant si semblable au nôtre. Un vrai coup de coeur !
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Persona, tome 1 : La Capitale de lumière

Il y a déjà de nombreuses critiques, je n'ajouterai donc pas un énième résumé. Je voudrais par contre vraiment souligner à quel point la présence de certains de ces personnages m'a touché. Alors que ça coulerait de source, la fantasy n'est pas toujours le genre le plus inclusif, celui où l'on retrouve les personnages les plus diversifiés. Ici on décèle au détour d'un chapitre quelques traits autistiques, là un questionnement sincère sur l'identité de genre (et l'identité tout court), et encore ici on croise un semblant de dys... Cela ne semble pas forcé, ces personnages ne sont pas qu'en arrière plan, et je dois dire que ça fait plaisir.



Mais sinon oui, en plus l'histoire est chouette, le monde bien construit et si l'action ne sera peut-être pas assez trépidante pour les avides de "pageturner", il y a bien quelques enjeux dans l'air. De quoi passer quelques belles heures de lecture.
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Persona, tome 2 : La Citadelle Sainte

Un pur bonheur de lecture.

J'ai eu la chance de lire ce livre quelques temps avant sa sortie. J'en ai donc profité pour le découvrir comme je n'en ai pas l'habitude : par petits bouts.

Eh oui : cette suite peut se lie d'une traite, comme petit à petit. Chaque phrase, chaque mot mérite d'être savouré à sa juste valeur. Leur impact émotionnel n'en est que plus grand : ils résonnent dans l'âme comme une chatoyante plus de couleurs.

J'ai ri, j'ai pleuré, j'ai hurlé, de peine comme de joie. J'ai serré ma tablette contre mon coeur, j'ai eu envie de l'envoyer valser par-delà la falaise de Pyxis mais, toujours, toujours, le phare de l'île infernale, de la caverne aux merveilles m'a guidée de sa lueur dans l'obscurité.

J'ai les doigts qui tremblent à l'idée de parler des personnages. Iels sont réels. Iels sont humains. On veut les câliner, les secouer, les laisser se reposer un instant sur nos épaules tant ce qu'ils traversent est parfois douloureux. Je les aime si fort. Merci à elleux d'exister (oui, je suis complètement délulu)

En fait, non. Je ne suis pas délulu. Car cette histoire a beau se passer dans un fabuleux monde de fantasy, son actualité, ses thématiques sont plus qu'actuelles. Et les réactions de ses personnages plus qu'inspirantes.

Voilà. Que dire d'autre à part : lisez ?
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