Janry

Je pourrais ajouter une critique à tous les tomes de cette série très drôle et à l'imagination sans limite (tous les personnages célèbres, toutes les causes de mort) et aux jeux de mots (chaque dessin en est un en soi) débiles (comme le titre d'ailleurs) mais comme c'est léger et positif, c'est très drôle.

Il y avait déjà le GRAND SPIROU.

Désormais, il y aura le PETIT SPIROU.



Comprenons-nous:

Même si le PETIT est plus petit que le GRAND (qui est le plus grand)

...Le PETIT SPIROU,

c'est tout simplement le GRAND quand il était petit.



Mais attention :

En simplifiant, on pourrais penser que le GRAND est pour les grands lecteurs et le PETIT pour les petits...



Ce serait trop simple.

Le PETIT SPIROU est aussi bien pour les petits et grands que le GRAND... (qui a déjà conquis tant de grands et petits).

Vous suivez ?



Non ?



Alors le mieux, c'est encore que petits ou grands, vous tourniez la page et découvriez vous-même :

"LES AVENTURES DU PETIT SPIROU"...

Je peux admettre qu'un héros évolue. Qu'il ne soit pas durant plus de 40 épisodes le même qu'à ses débuts. Heureusement, d'ailleurs.



Avec Spirou, on est bien forcé de l'admettre, car chaque auteur a mis sa patte, ses envies, ses préoccupations dans le dessin et les scénarios. Adolescent je n'aimais pas Fournier, que je ne comprenais pas, alors qu'adulte je l'adore au vu des implications politico-environnementalistes de ses BD.



Ici, je n'ai rien retrouvé de Spirou et Fantasio. On a un récit d'aventure, improbable et échevelé, sans la dose d'humour que j'aime chez le groom et ses amis.



Dessin et propos sont inutilement sérieux, sombres et (en ce qui me concerne) gênants. Bien sûr on retrouve Zantafio et de telles retrouvailles ne peuvent que se dérouler dans un climat sombre. Le frère est revenu pour devenir l'héritier des Romanov. On aurait quand même pu imaginer mieux sur un tel (maigre) scénario. Entre cliché et caricature, le lecteur est malmené. J'ai eu davantage l'impression de lire un épisode de Ruby ou de Soda à Moscou... Reste un rythme très soutenu qui tient en haleine, et qui aide à faire passer le tout.

e suis un adepte des album de ces deux auteurs qui à mon sens ont dessiné et mis en histoire les meilleures aventures de nos deux héros.



Le trait est fidèle à celui des albums précédent, très dynamique et l'ambiance très sympa.



voici donc Spirou recruté par la pègre italo-américaine sous les traits d'un Marlon Brando de pacotille et de sa très belle fille. Spirou est l'arme fatale pour damer le pion des triades chinoises et découvrir le secret de leur philtre d'amour qui a provoqué la perte de tant de fines gâchettes du clan... Embarqué dans des aventures rocambolesques, nos héros finissent par s'en sortir, comme d'habitude.

Le petit Spirou, vous connaissez? Voici la bande dessinée du film où l'on suit les aventures du Petit Spirou pour le plus grand plaisir des grands comme des petits. Nous avons une BD un peu spéciale car elle mêle en alternance BD sous formes de courtes histoires (quelques pages) illustrées par le dessinateur Janry et interviews où l'on fait connaissance avec les acteurs du films qui incarnent les personnages mythiques de Spirou et ceux qui ont rendu le film possible.



Pour les interviews, nous avons:



-Mademoiselle Chiffre incarnée par Gwendolyn Gourvenec.



-Grand Papy incarné par Pierre Richard.



-Monsieur Mégot incarné par François Damien.



-Le Petit Spirou incarné par Sacha Pinault.



-Langélusse incarné par Philippe Katerine.



-Maman incarnée par Natache Régnier.



Les personnages du film ont vraiment été parfaitement trouvés et je trouve que par leur physionomie ressemble beaucoup aux personnages de la BD.



Nous en savons aussi beaucoup plus grâce au réalisateur Nicolas Barry et au scénariste Philippe Tome.



En ce qui concerne la BD même, c'est toujours aussi drôle. Le Petit Spirou n'a pas fini ses gags et c'est un plaisir de le retrouver ainsi que les autres personnages. Les illustrations sont parfaites, caricaturales à souhait. À noter que l'affiche du film est identique à la couverture de ce livre et c'est un beau clin d'oeil. Bref, c'est un très bel ouvrage validé par mon fils de 8 ans et moi.
Lien : http://auchapitre.canalblog...

sympathique et plutôt amusant.

Superbes dessins, superbes textes, un poussin qui philosophe avec le poulailler au complet. Loufoque déjanté, drôle et très sérieux en même temps!

Le ver de terre qui se moque du poussin en lui faisant croire qu'il est un bébé renard tout ça pour ne pas être mangé... :D

A lire!!

Ce deuxième album est dans la même lignée que le premier et je le conseille donc pour tous ceux qui veulent passer vingt bonnes minutes plaisantes.

Le Petit Spirou et ses amis (Vertignasse, Boule-de-gras, Masseur et les autres) accumulent les bêtises à leur détriment ou à celui des adultes (l'abbé Langelusse, le prof de sports M. Megot...). Leur autre préoccupation est d'essayer de voir des filles nues (dont Suzette).

Malheureusement pour eux, un nouveau personnage apparaît : M. Nairdebeux, le préfet de discipline (le surgé pour les nostalgiques) parce qu'il faut se souvenir que le Petit Spirou va à l'école à l'époque des châtiments corporels !

Autre nouveauté, des gags mettant en scène le Petit Spirou mais âgé d'une dizaine de mois, puisqu'il se déplace à quatre pattes et sait également marcher, généralement vêtu d'un simple tee-shirt et les fesses et le zizi à l'air. Ces gags où ce bébé Spirou échappe de peu à la catastrophe sont racontées par le Petit Spirou à ses amis autour d'un feu de camp de nuit et en pleine nature renforçant l'idée d'anecdotes narrées à des vétérans durs à cuire revenus de tout.

Même critique que pour Mademoiselle Chiffre, c'est loin d'être un bon album. Un peu de Mr Mégot par ci par là dans un album normal ça passe, même très bien dans la majorité des cas, mais là c'est trop. Vraiment beaucoup trop.

Nouveau terrain d'action pour Eric-Emanuel Schmitt qui signe avec Janry une BD pleine d'humour où un jeune poussin s'interroge et sème la pagaille dans la basse-cour.

C'est philosophiquement drôle et gentiment loufoque.

Une BD délire agréable à lire au premier comme au second degré.
Lien : http://bibliobleu.blogspot.fr

Il y a trente ans exactement, la série Spirou et Fantasio amorce un virage crucial de son existence. Après trois albums décriés signés Nic et Cauvin, ce sont deux nouveaux auteurs encore peu connus, Tome et Janry, qui reprennent le flambeau avec Virus. L’expérience rencontre un certain succès car ils sortiront jusqu’en 1998 quatorze albums consacrés aux deux reporters et créeront même la série dérivée Le Petit Spirou.



Mais de quel genre de virus s’agit-il ? Du genre qu’on rencontre aux alentours d’un bateau en quarantaine, tel un Fantasio à la recherche du scoop tombant par hasard sur un personnage verdâtre à moitié mourant. Surprise ! Cette épave humaine, c’est John Héléna dit La Murène, truand notoire qui croisa naguère le fer avec Spirou et Fantasio. Peu menaçant, il affirme s’être échappé du bateau, et surtout être porteur d’une maladie contagieuse contractée dans une base en Antarctique suite à un grave accident. Appelé à la rescousse, Spirou conduit tout ce beau monde à Champignac où le comte, jamais à court d’idées, affirme avoir la possibilité de sauver les malades à condition d’organiser une expédition sur place. Voilà comment Spirou, Fantasio et leur ancien ennemi se retrouvent au pôle sud, non sans faire escale dans une base russe. Evidemment, tout cela serait serait trop facile si un mystérieux groupe armé n’avait pas intérêt à faire capoter la mission de sauvetage.



Dès les premières pages, le ton est donné. En effet, on est directement mis en présence d’une potentielle épidémie au beau milieu d’un port investi par l’armée, puis d’une base polaire isolée : une situation potentiellement pesante que les facéties de Fantasio et les commentaires de Spip viennent efficacement désamorcer (avec la participation d’un phoque enthousiaste). L’album marque aussi le retour de personnages secondaires que les malheureux Nic et Cauvin n’avaient pu utiliser : l’indispensable comte de Champignac, dont le rôle est ici majeur (au cas où cette couverture, probablement dessinée sous acide, ne vous en aurait pas convaincu), et une Murène bien moins mordante que précédemment.



En fait, tout ce qui fera le succès des albums de Tome et Janry est présent dans Virus : le dessin à la fois coloré, classique et expressif, l’humour qui peut surgir tant d’un coin de case que d’un dialogue, des personnages convaincants, une trame dense qui exploite chaque page à son maximum, et bien sûr des thèmes qui collent à l’époque (en 1984, le monde découvre à peine l’épidémie de sida) tout en conservant la naïveté propre à la série. Plus qu’un simple démarrage pour de nouveaux auteurs, ce trente-troisième album est surtout une vraie réussite et un nouveau départ pour la série… même si le meilleur est encore à venir.
Lien : http://nonivuniconnu.be/?p=2..

A peine né, Poussin est interpellé par les animaux de la basse-cour : "Qui es-tu toi ?" Sur un malentendu, il pense être une crotte de lapin. Sa réponse provoque bien évidemment l'hilarité générale ! Pour Poussin, c'est le début d'une quête existentielle : qui est-il ? d'où vient-il ? Ces questions le conduisent de quiproquos en situations plus cocasses les unes que les autres. Et si son ami, la souris philosophe qui dévore des livres, le met parfois sur la voie, ce n'est pas forcément la bonne !



En voilà une bédé pour le moins originale, née de l'association de deux grands : Janry, dessinateur et scénariste de bandes dessinées belge (Spirou et Fantasio, Le Petit Spirou), et Eric-Emmanuel Schmitt qu'on ne présente plus. Une manière bien peu académique mais ô combien humoristique d'aborder le baba de la philosophie.



Ce mignon petit poussin qui n'a pas sa langue dans sa poche met, en moins de temps qu'il ne faut pour le dire, toute la basse-cour en émoi. Par ses questions existentielles, toujours justes, et ses réponses, souvent fausses, il fait tourner le monde en bourrique ! Il se fait même peur à lui-même lorsqu'il pousse le raisonnement "Je pense donc je suis" de Descartes à l'extrême :

"Je pense donc je suis. Je pense tant que je suis. Je suis tant que je pense. Je pense donc... Mais si je dors, je vais cesser de penser... Donc cesser D'EXISTER !"

Le dessin rend les situations encore plus comiques. On rit, on s'émeut devant les mimiques et les questionnements de ce petit poussin sympathique. On s'interroge aussi car, finalement, les questions qu'il se pose, on se les pose tous ! A commencer par celle-ci : "Qui est le premier de l’œuf ou de la poule ?"



Avec son copain, la souris philosophe, il forme un duo tragi-comique qui refait le monde. Au final, Poussin croit avoir trouvé la solution à son problème identitaire. Bien à tort, comme le découvre le lecteur. Cette chute ouvre la porte aux tomes 2 et 3... Hâte de découvrir la tête de Poussin lorsqu'il découvrira son erreur !



En bref, un album intergénérationnel qui offre plusieurs niveaux de lecture et fait passer un excellent moment.



Et puis, ne trouvez-vous pas qu'Eric-Emmanuel Schmitt a un petit air de Poussin et vice versa ?
Lien : http://lacoupeetleslevres.bl..

Dommage, mais, ayant lu cette BD dans le cadre du Roaarrr Challenge, je n'ai pas du tout aimé. Je devais presque lire en diagonale... Oui,oui, même si c'est une BD! Et dire que ce tome a remporté le prix Fauve Alph-Art jeunesse en 1992. Ils ont bien tenté de me faire rire, mais c'est trop stupide! Alors, moi, je n'aurais malheureusement pas donné ce prix! Peut-être est-ce que l'absence de Fantasio m'a déplu, mais je trouve que Le petit Spirou est très loin du grand!
Lien : http://paysdecoeuretpassions..

Quand le Petit Spirou a fait son entrée dans le monde de la BD, je me souviens que je prenais un grand plaisir à le lire.



Dans ce nouveau tome, on retrouve les mêmes recettes : des histoires plus courtes, parfois sans paroles, pas toujours très "fines", et d'autres plus longues, traitant de sujets d'actualité (fake news, réseaux sociaux, réchauffement climatique, véganisme) et parfois graves (maladie d'Alzheimer). On y retrouve également de la tendresse avec des histoires de famille, d'amitié, d'amour...



Certains gags font sourire. J'ai trouvé quelques dialogues bien pensés. Mais mon plaisir de lecture fut tout de même assez modéré.

Preuve que les intégrales Dupuis sont bien fournies en informations, c'est qu'elles répondent à des questions que les lecteurs se posent depuis longtemps. Alors que Spirou fête tout juste ses 50 ans, une nouvelle aventure est publiée dans le journal du 27 avril 1988. Elle porte le titre d'Angoisse à Touboutt-Chan. Titre qui changera pour la parution de l'album et deviendra La frousse aux trousses. Une page complète est consacrée à cette intrigue. 



Cet album constitue un diptyque avec l'excellent La vallée des bannis. Une aventure qui marque un virage notoire dans l'histoire de la collection. En effet, Spirou et Fantasio vont être en opposition dans un huis clos oppressant dans lequel les dangers rôdent. Un album épique ! 



S'ensuit également un reportage dans lequel on voit Tome et Janry sur les "lieux" de leur prochain album Spirou à Moscou. À l'occasion de cette sortie, un coffret était offert dans lequel se trouvait un exemplaire factice de "La Pradva". Une copie est à retrouver dans cette intégrale. 



Enfin le dernier récit est basé sur un autre voyage et des illustrations peintes par Stuf. En effet, ce dernier aidait déjà les auteurs sur le Petit Spirou et leur sera d'une grande aide. Vito la déveine est un album offrant une colorisation éblouissante notamment lors des planches sous-marines. 



Cette 15e intégrale est de grande qualité tant avec les divers interviews et reportages qu'avec les diverses illustrations publiées. 

Ce dernier intégral consacré au Spirou de Tome & Janry clôt pour les deux auteurs une immersion de 17 années dans l'univers de Champignac. Cela représente 14 albums et plus de six cent planches. Tout comme Franquin, ils vont ressentir une lassitude, celle de ne pas pouvoir s'exprimer au maximum avec un personnage qui ne leur appartient pas. Pour Franquin, Gaston a été sa bouée de sauvetage. En revanche, pour le duo il s'agira du Petit Spirou. 





Le présent album contient les histoires suivantes : Le rayon noir, Luna Fatale, Machine qui rêve et Les premières planches de Spirou à Cuba. Les deux premières vont être l'occasion pour Tome & Janry d'évoquer des thèmes jamais explorés dans les aventures du groom. Tout d'abord en contournant le cahier des charges imposé par l'éditeur. En effet, dans la convention signée par le duo il était indiqué qu'il fallait éviter toute allusion au racisme. Un jour, ils se rendent chez Dupuis totalement grimé en africains. Personne ne les reconnaîtra alors à la rédaction, pas même le directeur Philippe Vandooren ! Une fois la supercherie éventrée, ils expliquent qu'ils peuvent traiter d'un sujet tabou en rigolant mais aussi en amenant un minimum de réflexion. Le rayon noir était né! 



Pour l'album suivant, Luna Fatale, s'ensuit une réflexion. Pendant presque 60 ans, Spirou n'avait presque jamais rencontré de femme. Il y avait bien Seccotine ou Ororéa mais cela se résumait à de la camaraderie et rien de plus ! Durant cette aventure, les auteurs ont décidé que Spirou serait le maillon faible face au charme féminin. Habituellement, c'est un rôle réservé à Fantasio. Le dossier fourni à la presse avant la sortie dans les bacs de l'album était révélateur au plus haut point. Des pages dans le plus grand style des magazines people vont montrer que l'aventurier peut succomber aux charmes des femmes, notamment d'une magnifique brune. Celle-ci n'est autre que la fille d'un célèbre parrain de la pègre New-Yorkaise. La rumeur et l'aventure étaient lancées. 



Le thème viendra à nouveau avec "Machine qui rêve"., album décrié par les anciens lecteurs. Pourtant, à mon sens, cet album aurait dû être l'avenir, la direction qu'aurait dû prendre la série. Tome & Janry vont totalement moderniser le tout. Le fond des pages devient noir pour mieux signifier la rupture de tons et évoquer les salles obscures. Le style graphique est plus réaliste, il y a très peu d'humour, les émotions et la psychologie des personnages vont être développées. Des changements de taille pour former un grand thriller. Malheureusement, ce Spirou nouvelle formule fait couler beaucoup d'encre dans la presse et au sein de la direction qui les soutenait de moins en moins. L'éditeur Philippe Van Dooren qui avait soutenu tout leur projet est décédé entre-temps.. Bref, une véritable tragédie. Ils se sont trouvés face à la direction générale sans aucun soutien. Spirou serait subitement devenu non prioritaire. 



Dans ce contexte, les quelques planches de Spirou à Cuba ne sont publiées que dans le journal du magazine et ne verront jamais la suite. En effet, Tome et Janry laissent tomber l'aventure pour se consacrer uniquement aux gags du Petit Spirou. Les planches précitées sont à nouveau publiées dans cet intégral comme bon nombre d'illustrations pour le mag, d'études de mise en pages, de lettres jamais publiées ou encore de photos dans le studio où évoluent quelques auteurs bien connus. 



Cet intégral est une mine d'informations sur l'une des meilleures périodes du célèbre groom. 

Des gags en une page ou quelques histoires plus longues. De l'humour presque grivois parfois alternant avec des moments de poésie et de tendresse. Des personnages bien rodés (les grands parents, les copains, la copine et parfois les parents), bien croqués. Pas beaucoup de nouveauté mais cela reste d'un bon niveau. Classique et bien fait.

Un quatorzième album de gags du petit Spirou avec la majorité des personnages charismatiques de la série : M. Mégot, Melle Chiffre, Suzette, Vertignasse, le chien Vessie, un peu de Grand'Papy et de Grand'Mamie.

Un nouveau fait son apparition dans les dernières planches : le chaton blanc de la couverture prénommé "Bien fait pour toi" et qui est de bien meilleure composition que le chien Vessie.



Le petit Spirou continue ses bêtises, souvent involontairement au détriment de son prof de gym M. Mégot. Et quand Suzette le rejette pour "un grand avec des poils" il décide de se marier avec sa prof de calcul Melle Chiffre.



Bon, c'est vrai que maintenant la grande majorité des gags ne me font plus que sourire et que seuls deux m'ont fait vraiment rire (Grand'Mamie en string et M. Mégot aspiré par la cuvette des toilettes). On est loin des premiers albums dont toutes les planches étaient vraiment hilarantes... à moins que j'ai trop vieilli et que j'ai perdu mon humour !

La suite des aventures de Spirou et Fantasio à New-York !



Nous allons retrouver ce poissard de Vito qui a un "plan"...



L'humour est toujours aussi présent mais un peu moins foutraque que dans le tome sur New-York. On a même une ambiance très "James Bond" et film d'espionnage.



Bref, encore une excellente histoire Si vous avez lu l'épisode à New-York !

Les histoires du petit Spirou sont pour moi excellentes et Les gags sont drôles. On y découvre Spirou avec ses copains toujours prêt à faire des bétises en tout genre et on ne s'en lasse pas. Une bd indémodable et qui peut être lu par toute la famille de 7 à 77 ans.