AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet

4.25/5 (sur 16 notes)

Nationalité : Nigeria
Né(e) à : Port Harcourt , le 26/03/1979
Biographie :

Adrian Igoni Barrett est un écrivain nigérian.

Il est né d'une mère nigériane et d'un père jamaïcain, le romancier et poète Lindsay Barrett (1941).

En 2005 une de ses nouvelles remporte le concours "BBC World Service short story competition".

En 2005, il publie un recueil de nouvelles intitulé "From Caves of Rotten Teeth", suivi en 2013 de "Love is Power, ou quelque chose comme ça" (Love Is Power, or Something Like That).

En 2015, il signe son premier roman "Blackass".

Igoni Barrett est considéré comme un des nouveaux auteurs marquants de la littérature africaine anglophone.


Ajouter des informations
Bibliographie de A. Igoni Barrett   (1)Voir plus

étiquettes
Videos et interviews (1) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de

Nigerian Writer A. Igoni Barrett


Citations et extraits (9) Ajouter une citation
Two men in a dead car in a rainstorm in a sleeping town, chatting long into the night, until we grew drowsy from the sound of our voices, until I climbed into the backseat and curled up in sleep, and woke up the next morning to find a bright new sun staring at me through the rain-washed windshield, and Babasegun gone.
TROPHY
Commenter  J’apprécie          110
The engine of Nairobi is fired by cash-crop farming, oiled by tourism, and steered by NGO money. Everywhere you turn in the city you find NGO people, camouflaged by straw hats and safari boots and the skin color of the tourist, white. In the supermarkets (Indian-run), the swanky restaurants (white Kenyan–run), the bus parks, souvenir bazaars, immigration offices (black Kenyan–run), luxurious hotels and safari lodges (British-run), AIDS patients’ wards and spoken-word poetry slams (American-funded), and, in small sightseeing groups, in Kibera, the largest zoo in Africa.
Commenter  J’apprécie          100
L’amour, c’est que tu me rends heureux jusqu’au moment où plus du tout
Commenter  J’apprécie          70
Tout le monde a sa vie à vivre, dit Maa Bille doucement. Je ne demande à personne de venir s’occuper de moi. Je ne demande à aucun d’entre vous de me donner à manger. Tout ce que je demande, c’est que tu m’accompagnes à l’hôpital demain pour mon opération.
Commenter  J’apprécie          30
Elle se creusait si fort les méninges pour trouver la bonne réponse qu'elle commençait à en avoir le tournis. Mais il n'y avait pas de bonne réponse, il n'y avait que la vérité. Elle avait baissé la garde. Elle s'était laissé distraire par ce moment d'amour avec lui, illusionné par ce mirage de normalité. Elle s'était laissé aller à perdre de vue cette apparition, cette chose en noir et vert militaire qui prenait le pas dès qu'il revêtait son uniforme -et plastronnait comme ça de long en large, ivre de pouvoir.
"Pardon Eghe." Ella baissa la tête. "J'ai cru que tu voulais porter autre chemise...
Eghomamien Adrawus expira un souffle au woosh si retentissant qu'il alla se fracasser contre les nerfs d'Estella comme un appel d'air aum oment d'une collision évitée de justesse. "C'est pourquoi même tu attends ici maintenant ? dit-il . Ou bien tu ne vas pas venir pour coudre ça ?" Il la regarda se précipiter vers la commode et s'affairer autour du meuble, cherchant frénétiquement son nécessaire de couture. Quand elle s'approcha de lui, l'aiguille à la main, il relâcha son poing serré et lui tendit le bouton." Fais vite ooo. Patrouille mobile c'est en train de venir déjà."
Elle tomba à genoux. Comme elle levait le bras pour positionner le bouton, le nœud de son pagne se défit et la pièce de tissu tomba au sol. Nue, elle se mit à coudre, et ses doigts remuaient comme les pattes d'un insecte.
Commenter  J’apprécie          10
Un jour tu comprendras que les seules choses importantes dans la vie sont nos souvenirs. Alors laisse moi tranquille avec les miens.
Commenter  J’apprécie          20
Alaba, sa troisième enfant, vivait dans la même ville qu’elle, Poteko, à quelques kilomètres de la maison maternelle. Elle avait épousé un Trinidadien à voix de tuba et au teint de houmous, Amos Stennnet, technicien chez Shell. Il passait plus de temps sur les plate-formes off-shore des gisements pétroliers de Bongo qu’avec sa famille. Chaque fois qu’il revenait à terre […] il rattrapait le temps perdu loin des siens en s’appliquant à féconder sa femme.
Commenter  J’apprécie          00
Sa tête, son cou, ses bras, ses pieds, tout en elle semblait avoir été modelé pour le subjuguer. Comme si elle avait été façonnée pour exister dans un monde plus parfait que le sien.
Commenter  J’apprécie          00
Le coup arriva comme sorti de la nuit.
Commenter  J’apprécie          00

Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Listes avec des livres de cet auteur
Lecteurs de A. Igoni Barrett (26)Voir plus

Quiz Voir plus

L'Ecole des Femmes, Quiz

En quelle année à été écrite L'Ecole des Femmes?

1660
1662
1670
1673

7 questions
289 lecteurs ont répondu
Thème : L'École des femmes de MolièreCréer un quiz sur cet auteur
¤¤

{* *}