Aimee Molloy

Ce thriller psychologique, cette course contre la montre pour retrouver un très jeune enfant enlevé un 4 juillet alors que sa mère sort sans lui pour la toute première fois, est glaçant. Les rebondissements incessants nous perturbent alors que certaines des protagonistes nous proposent des suspects possibles, qui en fin de compte ne sont que des « red herrings » (de fausses pistes).

Des personnages fouillés et attendrissants, en particulier le groupe des mamans, qui cependant, tour à tour, nous semblent elles aussi suspectes, au fur et à mesure que nous découvrons leur passé par bribes.

De nombreuses ellipses émaillent ce roman que l’on ne peut poser malgré des efforts surhumains !

Un thriller comme on les aime, prenant et bourré d’action !

Une fin inattendue et bouleversante : que demander de plus ?

Entre La mère parfaite et moi, ça a mal commencé. Page 31, je me pose déjà la question d'abandonner. Un style pauvre, une rencontre au parc entre mères avec des dialogues tout aussi pauvres et inintéressants.

Puis ça a mal continué. Beaucoup de points négatifs.

De nombreux passages et dialogues me donnent l'impression d'avoir été écrits par un collégien avec en plus des fautes de français à répétition (mais là ce n'est pas la faute de l'auteur). Et oui, je pinaille mais lire à plusieurs reprises que quelqu'un se rappelle de quelque chose, ça me fait mal aux yeux. Puis, ici une faute d'accord, là un mot qui manque. Où sont les correcteurs ?

Puis arrivent les coïncidences bienvenues et peu crédibles. Un dossier bien en évidence sur le bureau du maire. Deux fois en plus. En même temps, si ça fait gagner des pages et avancer la chose plus vite, je suis preneuse. L'enquête menée par ces mères est aussi peu crédible, de même que leur passé. Comme par hasard, trois d'entre elles ont un passé un peu particulier.

Ensuite, j'ai fait une overdose devant le rabâchage du quotidien difficile des mères de nouveaux-nés. Celles-ci sont devenues des souillons qui, à midi (voire le soir), ne sont toujours pas lavées, coiffées, épilées, sont encore vêtues d'un tee-shirt plein de vomi, ayant une montagne de linge sale débordant de la salle de bains jusque dans le couloir. C'est tellement présent que ça prend le pas sur l'histoire. Leurs problèmes d'allaitement, leur culpabilité de ne plus allaiter, leur honte de donner du lait en boîte, leur problèmes de kilos qui s'incrustent, ça va cinq minutes. Ajoutez à ça des conseils pour mamans au début de certains chapitres, sous forme de mails, conseils qui sont nunuches, culpabilisants et surtout inutiles à l'histoire. J'avais prévu de lire un thriller et pas un mauvais remake de « J'élève mon enfant » de Laurence Pernoud. le titre « Au bout de ma vie après une naissance » aurait été plus approprié que « La mère parfaite ».

Au tiers, je n'en peux plus et décide de lire en diagonale.

Quant à la fin, rien de neuf, ni de transcendant. Finalement, je n'ai ressenti aucune empathie ni pour le bébé, ni pour sa maman. Pas plus pour toutes ces femmes au bout du rouleau après une naissance.

Pour les points positifs, il y a … euh … euh … je réfléchis … Peut-être ce personnage qui intervient de temps en temps et dont on n'apprend l'identité qu'à la fin. Et c'est une surprise. Petite surprise.

Donc une déception à la hauteur de mon ennui. Je m'attendais vraiment à autre chose. J'avais lu qu'il s'agissait de mères de mai et bêtement, j'imaginais un lien avec les mères de la place de Mai en Argentine. J'avais lu aussi la dernière phrase de la 4ème de couverture. « Un thriller fascinant dont vous ne devinerez jamais la fin » selon Marie-Claire. Thriller, non. Fascinant, loin de là. Pour la fin, il faut déjà pouvoir y arriver. J'aurais dû me méfier parce que Marie-Claire ...

Elles se nomment les mères de mai. Leur point commun : elles ont toutes accouché au mois de mai et habitent Brooklyn à New-York. Elles ont fait connaissance mutuellement via un forum sur Internet durant la grossesse. Elles se partagent des conseils et se soutiennent dans leurs vies de jeunes mamans. Deux mois plus tard, elles s’autorisent à sortir une fois sans les bébés, seules entres copines. Papoter de tout (sauf de leur progéniture) en buvant un verre. Alors qu’il était gardé par une baby-sitter, le bébé de Winnie disparaît.



Winnie est mère célibataire et ce sont les autres mamans du groupe qui lui avaient forcé la main pour qu’elle se joigne à elles à cette soirée. Comme l’enquête de police piétine, certaines d’entre elles décident de mener leurs propres investigations entre la fatigue, les nuits écourtées et les kilos de grossesse à perdre. Des petits ou grands arrangements avec la vérité, des secrets voient le jour.

Le déroulement de l'intrigue est selon moi tiré par les cheveux et je n’ai pas été ferrée ou captivée (avec un taux d’adrénaline en augmentation comme il se doit à la lecture d’un polar). De plus, à chaque début de chapitre, des conseils en matière d’éducation d’enfants sont prodigués (en matière d’éveil, de nourriture ...) et j’ai fini par les lire en diagonale. Par contre, les différentes pressions sociétales envers les mères sont évoquées.

Impossible de dire que j'ai apprécié cette lecture, c'est une déception. Dommage.


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Je dois dire avant tout que j’ai lu ce roman en 2 fois; parce que j’ai fait une longue pause le temps d’achever un autre roman. Je pense que la coupure dans ma lecture m’a un peu perturbée, déjà que j’avais eu du mal à entrer dans le roman et à en identifier tous les personnages, j’étais un peu perdue quand j’ai repris la lecture.



J’ai toujours plaisir à lire des thrillers en duo avec Lunatic parce qu’on peut échanger sur nos hypothèses. Et, avouons-le, je suis très très nulle et ne devine jamais rien. Cette fois, j’avais dit à Lunatic « si ça se trouve (…) » en lui disant que ce serait quand même un peu « facile » comme final. Mais, j’avais deviné ! Et du coup oui c’est assez simpliste. En fait, je crois que ce qu’a créé l’auteure, c’est un sac de nœuds volontaire. Ou comment perdre le lecteur dans un maximum de pistes, multiplier le nombre de personnages, leurs secrets, etc. Et en effet, toutes les mères du groupe ont leur secrets, leur passé et toutes ont intérêt à ne pas tout dire d’elle. Mais au cours de l’enquête, tous les masques vont tomber !



Je n’ai pas spécialement accroché néanmoins, beaucoup de personnages, beaucoup de choses qui partaient dans tous les sens et au final, je n’ai pas tellement accroché à l’histoire centrale de Midas et Winnie et le sort du petit garçon ne m’a pas spécialement émue. Dommage !
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Je ressors un peu déçue de ma lecture. Je ne dis pas que je deteste mais je n’en garderais pas un souvenir mémorable. Oui j’ai été surprise à certains moments mais on sait comment ça va finir.... bref je m’attendais à beaucoup mieux.

Sam et Annie quittent New York pour s’´installer dans une petite ville où est la mère de Sam qui est malade. Ce dernier ouvre un cabinet de psychologue . Ce qu’il ne sait pas c’est qu’un conduit d’aération permet de tout entendre d’en haut à l’étage. Un ouragan va changer le cours des choses. Sam va disparaître... la vie d’Annie va s’écrouler

Pour le coup, je suis assez mitigée.



Malheureusement, certaines révélations m’ont semblé un peu trop prévisibles. Après le "retournement de situation ", je trouve que le récit s’étire un peu en longueur et perd de son intérêt en ce qui concerne certains changements de points de vue.



Par contre, je trouve intéressant la thérapie qui est mise en place entre le psychologue et une tierce personne (pour ne pas en dire de trop), dans la seconde partie. J’aime bien quand on essaye de comprendre pourquoi certaines personnes ont été poussées à commettre certains faits.



Globalement, ça reste un bon livre ! Je pense que l’histoire a réellement du potentiel malgré tout. En ce qui concerne la plume de l’auteur, elle est très agréable et fluide. De plus, j’ai apprécié les différents clins d’œil à "Misery" de Stephen King.

J’avais beaucoup apprécié La Mère parfaite, premier roman d’Aimee Molloy. Bonne nuit mon ange est un thriller domestique, lui aussi, dont j’ai particulièrement aimé l’ambiance. La première moitié de l’histoire m’a totalement séduite. Une charmante petite ville de l’état de New York, une grande bâtisse de caractère retirée, des séances de psy dont des oreilles indiscrètes sont les témoins, des secrets dévoilés au compte goutte au moment où on s’y attend le moins, bien sûr. Le décor est planté et bien planté. Tout est parfait à mes yeux.



Puis, place à la seconde moitié et à l’intrigue. Une intrigue que le lecteur amateur de thriller psychologique aura tout le temps de savourer. Dans Bonne nuit mon ange il ne s’agit pas de découvrir qui est le coupable. La révélation finale en toute dernière page pour laquelle on se retient de respirer depuis plus de trois chapitres. Cette histoire n’est pas de ce type. Même si le suspense ne manque pas, il ne se décline pas de cette façon. Le déroulé prend du temps. Le passé refait surface et se répercute immanquablement sur le présent. Peu à peu, les pièces du puzzle prennent forme. Lentement, les visages se dessinent. Et comme toujours, l’importance de l’enfance remonte à la surface.



Une lecture globalement agréable dont j’ai, en somme, davantage apprécié l’atmosphère que l’histoire.



Avis aux amateurs du genre !
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La mère parfaite est un roman que j’ai découvert il y a quelques mois et qui m’a tout de suite intéressée par son résumé intrigant. Je lis peu de thrillers donc j’étais contente de plonger dans celui-ci. L’intrigue m’a plu dans l’ensemble mais certains points m’ont un peu dérangée.



Plusieurs femmes se sont rencontrées sur un forum, « Les Mères de Mai ». Tout au long de leur grossesse, elles ont échangé et sont devenues amies, leur relation passant du virtuel au réel. Maintenant qu’elles ont toutes accouché, leur emploi du temps ne leur permet plus de se retrouver comme avant. C’est donc pour passer un bon moment entre filles et sans enfants qu’elles décident de se retrouver le soir du 4 juillet, dans un bar. Mais cette soirée tourne au cauchemar lorsque en rentrant chez elle, Winnie découvre que son fils Midas a disparu. Ses amies vont alors tout faire pour retrouver Midas.



Dans ce roman, nous découvrons le quotidien de plusieurs femmes, toutes réunies par la maternité et leur envie de retrouver le petit Midas. Nell, Colette et Francie m’ont impressionnée par leur courage : elles n’hésitent pas à se mettre en danger pour aider leur amie. Au-delà de ce trait de caractère partagé par les trois femmes, je ne me suis pas particulièrement attachée à elles, ni à Winnie. Je pense que c’est à cause de la multiplicité des points des vue : dès que j’en apprenais un peu plus sur l’une d’entre elles, j’étais coupée dans mon élan car la narration passait à une autre femme.



Toutefois, l’autrice nous dépeint bien le quotidien difficile d’une jeune mère, où toute la société semble avoir les yeux braqués sur elle, prête à la juger. « Les Mères de Mai » ont d’ailleurs été très critiquées pour leur sortie dans le bar. J’ai beaucoup aimé que l’autrice pointe du doigt tous ces diktats sur la « mère parfaite ». Sinon, l’intrigue est bien menée, j’ai vraiment été surprise du dénouement final. Le suspense est constamment présent et Aimee Molloy s’amuse à nous mettre sur de nombreuses fausses pistes. Néanmoins, la résolution de l’enquête m’a laissée un peu dubitative.



La mère parfaite est donc un thriller intéressant, notamment pour l’étude qu’il fait des attentes toujours plus fortes sur les jeunes mamans.
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RETOURNEMENT DE CERVEAU ! 🤯



Annie et Sam, mariés depuis peu viennent de quitter New York pour s'installer dans la petite ville natale de Sam. Thérapeute, il installe son cabinet au rez de chaussée de la maison. Mais ce qu'il ignore, c'est qu'un petit conduit d'aération dans le plafond permet d'entendre tout ce qui se dit depuis la chambre du dessus. Comment résister à l'envie d'écouter ces conversations?

Un jour, Sam disparaît alors que personne ne comprend ce qui a pu lui arriver et Annie s'effondre, totalement désemparée . Que s'est t-il réellement passé?



Un thriller psychologique complètement addictif qui vous fera tourner en bourrique ! Les apparences sont parfois trompeuses et le couple que forme Annie et Sam va vous en faire voir de toutes les couleurs... La construction de l'histoire est parfaitement maîtrisée, l'auteure prend plaisir à malmener son lecteur et les quelques twists sont aussi géniaux qu'inattendus! 🤯



Ce qui est génial c'est que notre cerveau (grâce a la plume de l'auteure évidemment) tient pour acquis des choses qui finalement n'ont jamais été énoncées !

La psychologie des personnages tient un rôle clé dans l'intrigue, ils sont très fouillés et c'est très intéressant.

Je ne peux pas vous en dire beaucoup plus au risque de vous spoiler...

En tout cas, l'auteure se joue des codes, renverse les clichés et s'amuse à manipuler son lecteur comme une marionnette ! 🤪



Et les fans de Stephen King sauront apprécier les quelques références à Misery... 😉



Amateurs de thrillers psychologiques, je vous recommande grandement cette lecture qui ne pourra que vous plaire !

Un thriller psychologique comme on rêve d’en lire plus souvent. Un jeune couple de marié Sam et Annie, retourne s’installer dans le village natal de Sam. Aujourd’hui psychologue, Sam trouve un endroit superbe pour monter son cabinet, Lawrence House sans savoir que toutes ses séances peuvent être écoutées. Annie quand à elle passe ses journées à ne rien faire. Nous savons tous que les choses sont rarement ce qu’elles semblent être, aussi lorsque Sam est porté disparu après une tempête on entre dans un suspense infernal et l’intrigue nous ballade comme jamais. J’ai bien cru que je devrais relire quelques passages pour ne pas être perdue définitivement tant l’auteure a un talent pour nous prendre au dépourvu et nous faire douter. On navigue entre une folle histoire d’obsession et de disparition mystérieuse mais surtout on reste surpris par les nombreux rebondissements. J’ai fait confiance à la narratrice et je n’aurais peut-être pas du, ce point particulier du récit est une réussite du genre. L’auteure est une manipulatrice de première main, elle nous donne juste ce qu’il faut pour combler les trous et faire nos propres constructions pour finalement nous rouler dans la farine. J’ai dévoré ce livre tant les événements s’enchainent rapidement et nous laissent scotchés. Un des personnages prend une ampleur phénoménale à la moitié du livre, il reste complètement intriguant et indéchiffrable. L’aspect psychologique est amplement traité, les traumatismes liés à l’enfance sont une source inépuisable de récits plus horrible les uns que les autres. Le parallèle sous forme d’hommage au titre de Misery de Stephen King, reste la cerise sur ce beau gâteau. Ma seule réserve porte sur la fin que j’ai trouvée un peu rapide et décousue, j’aurai certainement souhaité surfer encore un peu sur le côté sombre du roman. Bonne lecture.
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Aimee Molloy, avec ce premier roman, livre un thriller psychologique fascinant.



Les "Mères de mai" forment un groupe de jeunes mamans new-yorkaises très hétéroclite. Ces femmes se sont connues par l'intermédiaire d'un site internet et se retrouvent assez régulièrement dans un parc pour causer maternité.

Un jour, elles décident d'organiser une soirée sans enfants, afin de souffler un peu, d'apprendre à mieux se connaître.

Mais un incident tragique va bouleverser cet événement tant attendu. Midas, le bébé de Winnie va disparaître, alors qu'il est gardé par sa nourrice Alma.

Une enquête s'ouvre pour retrouver le nourrisson et les soupçons se portent assez rapidement sur la mère du bébé, ancienne actrice de série à succès, mère célibataire mystérieuse.

En parallèle de l'enquête policière, trois mères vont essayer de comprendre ce qu'il s'est passé ce soir-là.



Les quatre personnages principaux, Winnie, Colette, Francie et Nell, sont des femmes très différentes. Par l'intermédiaire de chapitres donnant successivement la voix aux différents protagonistes, l'auteure nous dévoile le passé de ces femmes et leurs conditions de vie.

Ce procédé narratif fait du roman un page-turner efficace, sert l'intrigue policière en mettant le lecteur sur des pistes variées et offre l'opportunité à Aimee Molloy de décrire avec réalisme la maternité.

Les républicains, conservateurs, critiquent ces femmes qui osent revendiquer un droit à la légèreté malgré leur statut de mère. L'auteure dénonce le machisme et l'archaïsme d'un pan de la société américaine en mettant en avant la violence de tels jugements de valeur.



Un thriller engagé, aux personnages féminins attachants, qui offre au lecteur une fin à la hauteur.

Alors là les amis, accrochez-vous parce que ce thriller va complètement vous étourdir et anéantir au passage toutes vos certitudes sur le déroulement de cette histoire, sur ses protagonistes ainsi que sur leurs motivations. Oui oui, vous ressortirez de cette lecture avec la sensation que votre cerveau est passé par le mode essorage de votre machine à laver 🤯.

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Vous vous interrogerez dans tous les sens et serez pris au piège de cette intrigue tortueuse et diabolique 😈.

Quel thriller ! Cela faisait quelque temps que je n’avais pas été malmenée de la sorte par une lecture. Les apparences sont si souvent trompeuses... Je vous garantis que le petit couple que forme Annie et Sam va vous en faire voir de toutes les couleurs !

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La construction est tout à fait palpitante et brillante puisqu’elle perd le lecteur pour mieux l’éblouir avec, à chaque fois, un twist inattendu, intelligemment préparé et percutant à l’arrivée. L’humour qui a aussi sa place, enveloppe le lecteur dans une bulle rassurante pour encore mieux le piéger. Brillant je vous dis !

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Allez-y sans hésitation, c’est une lecture absolument géniale !
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l'effet addictif a été présent. J'ai vraiment bien aimé l'intrigue. Je me suis fais complètement berner du début à la fin.

Ayant trois enfants, j'ai vécu ces grossesses à me demander si j'allais être une bonne maman. J'ai vécu ces années o^ù je me suis demandée comment ces mamans s'y prenaient pour que leurs enfants aient toujours les cheveux des enfants bien coiffés, les vêtements bien propres, et moi juste l'envie de mettre ma tête dans un sac poubelle tellement j'ai honte.

Ce livre raconte l'histoire d'une jeune maman qui fait partie d'un groupe de mamans ayant accouchées toutes en mai. Elles organisent des rencontres avec les bébés. Deux mois après les naissances, elles organisent leur première sortie sans les bébés. Mais cette soirée se termine en cauchemar. le bébé de Winnie, se fait enlever dan son propre lit. Tout le monde va être accusé. le narrateur omniscient nous fait découvrir les vies pas si parfaites des autres mamans du groupe. Des vies rendues compliquées par la venue d'un bébé, le manque de nuits complètes, les problèmes de libido, les problèmes pour avoir un bébé, des secrets...

Cet auteur m'a beaucoup surpris. Je me suis amusée, je me suis laissée berner et j'ai été addict.

Brooklyn, Colette, Nell, Francie, Winnie et Scarlet ect.. font partis d'un groupe de jeûnes mères qui viennent d'accoucher appelé" Mère de Mai" .

Ce groupe consiste à se rencontrer régulièrement dans un parc afin d'échanger sur leur expériences de et se prodiguer des conseils de mère parfaite.

Un soir elles décident de sortir boire un verre et s'octroyer un moment pour elles "sans bébés".

Mais cette unique soirée va se révéler être le point de départ de l'intigue.



Une intigue qui m'as énormément déçu au fil des pages jusqu'à la fin.

Ça trainait en longueur le premier tiers du livre, je me suis accrochée, accrochée … A raison !



Nell, Francie, Colette et Winnie font partie d’un groupe de mères de Brooklyn qui ont toutes accouché en mai : « Les mères de mai ». On leur dresse le portrait de la mère « parfaite » : entre le cododo, l’allaitement, la caféine à proscrire, l’alcool à bannir, … et de nombreux conseils tout aussi culpabilisants les uns que les autres.

Pour une fois elles décident de se réunir dans un bar afin de profiter - et non pas au parc avec les bébés.

Winnie, en tant que mère célibataire, est obligée de confier son petit Midas à une baby sitter dont elle ne sait rien.

Lorsqu’elle s’aperçoit que Midas a disparu, la soirée vire au cauchemar.

La police ne comprend pas pour quelle raison Winnie n’implore pas qu’on lui rende son fils.

Elle doit culpabiliser, c’était la première fois qu’elle sortait seule en laissant son bébé.

Sacrée coïncidence tout de même.

Quelqu’un savait.

Et si elle était observée?

Qui est le père de Midas, et pourquoi ne sait-on rien de lui?



Pour les enquêteurs, quand un bébé disparait, que l’on n’a aucune trace d’effraction au domicile, pas de mobile, on doit commencer par chercher là où on a pas forcément envie de le faire … 
C’est tout bonnement ce que la presse met en oeuvre : elle s’en mêle et se fait un malin plaisir à décortiquer la vie de chacune d’entre elles - en apparence si parfaite, mais avec tellement de secrets à garder et de choses à cacher!



Entre les jalousies opérant en silence au sein du groupe, tout n’est pas si rose dans ce cercle amical…

Le commentaire de Lynda :



Ce sont, de jeunes mères, Nell, Francie, Colette, Winnie et d’autres. Elles se sont rencontrées virtuellement sur un forum pour nouvelles mamans ‘’Mères de mai’’. On y discute de tout en ce qui concerne les bébés.

Quelques-unes d’entre elles, vivant à proximité l’une de l’autre décident de se rencontrer, 2 fois par semaine, au parc, tout près de chez elles pour se voir, voir les bébés et échanger sur différentes choses. Elles deviennent amies, jusqu’à un certain point.

Lors du 4 juillet, les filles essaient de convaincre Winnie de les accompagner dans un bar, une soirée de liberté sans les bébés. Winnie, est la seule qui n’a pas de conjoint, elle est mère célibataire, qu’à cela ne tienne, l’une d’entre elles lui trouve même une gardienne, si elle accepte de se joindre à elles. Winnie décide donc d’accepter et de faire garder le petit Midas.

Mais c’est le drame, sans que la gardienne s’en aperçoive le bébé, est enlevé, directement dans son petit lit.

L’enquête piétine, les policiers n’ont pas d’indice. Les mères décident donc, de s’en mêler et se disent qu’elles vont retrouver le bébé, réussiront-elles ? Et bien ça, je ne vous le dirai pas.

Un thriller, qui nous tient en haleine, l’auteure nous accroche, par contre j’ai trouvé qu’il y avait beaucoup sur les bébés, et qu’à certains moments, un peu long, ce qui m’a amené à décrocher pendant un petit moment, et puis on repart avec l’enquête et le suspense remonte. Malgré ce petit point, j'ai adoré ma lecture, et je n'hésiterai pas à la recommander!

Chacun des chapitres est consacré à une des mères, ce qu’elle pense, ce qu’elle croit, ses secrets, etc. Une formule que j’ai beaucoup aimé et qui nous permet de se faire notre propre idée sur ce qui a pu se passer... La fin m’a surprise, disons que je ne m’y attendais pas du tout, et c’est ce qui est bien dans un thriller, quand on ne peut pas deviner. Alors je dis mission accomplie pour l’auteure, qui a su me garder dans le noir jusqu’à la toute fin. Une écriture accrochante, un scénario original et bien construit. Une histoire que l'on pourrait facilement voir se passer dans la vraie vie. Tous les éléments sont en place pour vous procurer quelques petits frissons et une bonne lecture !
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Dès le départ, ce livre avait tout pour me plaire.

Tout d’abord, l’histoire se déroule à New York. Des détails dans l’histoire, nous permettent de humer la ville. Je ne dirais pas que dans ce livre New York est un personnage à part entière, non il ne s’agit pas de ce type de roman. Néanmoins, on est plongé, absorbé au cœur The Big Apple. Le métro, les parcs, les logements exigus, les cafés et muffins à emporter… Vous voyez le tableau Un tableau que personnellement j’adore.

Au delà de cet aspect, ce sont les mamans qui sont au centre de l’histoire. Une fois de plus, c’est en plein dans le mille pour moi ! J’aime les bouquins qui traitent du quotidien des mères, des difficultés qu’elles rencontrent, de la complexité de gérer leur vie de maman et d’épouse tout en essayant d’avoir une vie professionnelle épanouie. On entre ici au cœur des foyers et cette intrusion sociologique me fascine. A mes yeux, c’est très loin d’être ennuyeux. Bien au contraire !!! Le plausible me plait énormément en littérature.

Et à ces deux éléments, on ajoute une dose de suspense !!! De très bons ingrédients pour une recette succulente même si au début de ma lecture, j’ai buté sur certains aspects. En effet, j’ai eu un peu de mal à comprendre qui était qui étant donné le nombre conséquent de personnages puis, tout est rentré dans l’ordre Je n’ai même pas eu besoin d’un carnet et d’un crayon pour prendre des notes L’ écriture est agréable, le style également et j’ai pris plaisir à rencontrer ces mamans ( et papa! ) qui ont cherché à obtenir du réconfort en se réunissant. Les apparences peuvent être fort trompeuses lorsqu’on observe son nombril de trop près. Heureusement, certaines personnes font naturellement preuve d’altruisme dans l’adversité : cela pourrait être la morale de cette histoire… Une lecture qui m’a fait passé un très bon moment.

Prenez une pincée de Desperate Housewives, ajoutez une écriture à la Gillian Flynn, transférez le tout à New York, et vous obtenez La Mère Parfaite.



Entre faux-semblants et vrais secrets, la vie de ces mamans, en apparence « parfaites », va prendre des allures de cauchemar éveillé.



Qui, comment, et surtout pourquoi, a-t-on enlevé le petit Midas ?

Que cache Winnie, sa mère aussi mystérieuse qu'apathique ?



C'est ce que Colette, Nell et Francie vont tenter de découvrir.



Mais elles-mêmes ont des secrets à protéger. Des secrets qui pourraient bien quelque peu altérer leur vision de la vérité.



Et lorsque des ambitions politiques viennent s'emmêler au travail des enquêteurs, et que les médias mettent en lumière des choses que chacun aurait préféré garder dans l'ombre, l'affaire du petit Midas prend rapidement des allures de chasse aux sorcières.



Alliant mystère, humour, tension psychologie et rythme soutenu, la plume d'Aimée Molloy nous entraîne dans cette histoire plus compliquée qu'il n'y parait.

Et l'intrigue aussi bien que le style nous captivent jusqu'à la fin.



Une fin très réussie d'ailleurs, ce qui n'est pas toujours évident avec les thrillers sur ce thème, souvent utilisé, mais rarement aussi bien maîtrisé.



C'est donc en quelques heures que l'on dévore les 375 pages de ce roman, sans aucune envie de le reposer avant de l'avoir terminé.



De suppositions en nouvelles conjonctures, et de révélations en nouveaux secrets, les chapitres nous amènent à douter de tout et de tout le monde.

Et pourtant, même après avoir passé tous les protagonistes sous le microscope, la fin reste une réelle surprise.



Un thriller addictif et sans temps mort donc, avec une juste dose de tous les ingrédients nécessaires à ce genre d'exercice.



Un petit régal de lecture, au rythme enlevé et aux personnages soignés, qui nous embarque sans jamais nous ennuyer.



Aimée Molloy signe là son premier roman, et grâce à la qualité de celui-ci s'assure déjà un lectorat qui attendra le prochain avec impatience.



Un thriller psychologique parfaitement maîtrisé, addictif et très plaisant..
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J'ai passé un excellent moment de lecture avec cette auteure que je ne connaissais pas encore. Le rythme est très fluide, très intense et prenant à souhait !



On va découvrir l'histoire d'Annie et de Sam qui somme toute peut, au premier abord, sembler tout à fait banale. Mais détrompez-vous, au fur et à mesure, l'auteur immisce le lecteur pour que l'on soit au cœur de cette histoire.



Vers le premier tiers du livre, il y a un déclic et un retournement de situation qui m'a bluffé et laisser sans voix qui nous montre l'histoire sous un tout nouvel angle.



J'ai beaucoup aimé le personnage d'Annie, les personnages sont très bien ancrés, très bien définis et avec des caractéristiques différentes et très marquées.



La course folle ne s'arrêtera qu'à la fin du dernier chapitre, ceux-là même sont courts et les pages se tournent très vite, c'est tellement addictif ! 😱.



J'ai "la mère parfaite" à lire de cette auteure, j'ai hâte de voir si c'est à la hauteur comme bonne nuit mon ange.

Sam est thérapeute, Annie prof à l'université. Depuis quelques temps, ils ont déménagé pour être au plus proche de la mère de Sam qui est malade. Alors que Sam commence à se créer sa petite patientèle, Annie semble se morfondre dans leur maison, là même où au rez-de-chaussée Sam a installé son cabinet. La maison appartenait à une riche héritière et pour tuer le temps Annie fouille les affaires de l'ancienne propriétaire qui sont restées sur place. Jusqu'au jour où elle découvre que par l'intermédiaire d'un conduit, elle peut espionner les séances de Sam avec ses patients. Bien qu'elle sache que ce n'est pas bien, c'est plus fort qu'elle. Sam de son côté est empêtré dans des dettes qu'il n'ose pas avouer à sa femme. Un jour de tempête, Sam, disparait. La police part à sa recherche, en vain....



Un bon petit thriller sans prétention. Une idée originale, mais j'ai trouvé que cela s'essouffle un peu vite. Dommage. On ne reste pas accroché aux pages sans pouvoir s'arrêter. Bien, sans plus, je ne sais pas pourquoi je n'ai pas pu m'attacher aux personnages plus que ça.