Tout simplement excellent!
Aucun lecteur digne de ce nom ne contredira l'auteur^^, encore moins la libraire que je suis...
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Un petit mélange savant de comptines qui jouent avec les mots et les sons. « Pull en boule Boule de laine » , « une poule sur l’Azur qui picotait des voitures » ou bien « Baluchon Capuchon », une salade de mots douceurs, de mots rigolos pour savourer quelques premières poésies. Les illustrations un peu vieillottes de Marie-Christine Exbrayat apportent une note de fraîcheur supplémentaire et on se délecte de ces textes touchants et rigolos.
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Un livre sur les droits de l'enfant qui va droit au but, entre le documentaire et l'album. Le texte est sans ambiguïté et se décline à plusieurs niveaux de lecture entre humour et poésie avec un vocabulaire à la portée de tous.
Coïncidant avec les 20 ans de la convention des droits de l'enfant, les éditions Rue du monde ont su avec cet ouvrage trouver les mots justes pour tous les âges, particulièrement pour les plus jeunes.
L'univers coloré d'Aurélia Fronty donne une belle énergie à ce magnifique « doc-album ».
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un album court et coloré sur le plaisir de la lecture, à faire découvrir à ses parents!
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Sympathiques petits poèmes reflétant des états de vie... ^^
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Lecture jeune, n°123 - Cet album grand format nous émeut au plus haut point. Nous y découvrons le génie précoce de Picasso, sa finesse, son œil et son âme de peintre dès la préadolescence : couleurs éclatantes de vie et d’espoir dans les premières pages. Puis le lecteur bascule dans un univers gris et brutal : la ville de Guernica est touchée dans sa chair. Toute la virtuosité de Pablo s’exprime ici. Pendant 35 jours et 35 nuits, il dit avec son pinceau ce que lui inspirent la guerre, la mort et l’injustice. La composition du tableau, sa dynamique tragique et apocalyptique résonnent des bruits de la mort et du sang. Après cette plongée dans l’inadmissible, le peintre ose la couleur à nouveau. « C’est vous qui avez fait cela ? », lui demandera un officier allemand, pointant du doigt sa peinture, lors de l’exposition. « Non c’est vous ! », lui répondra sèchement le peintre. La fin de l’ouvrage donne à voir des couleurs plus éclatantes que jamais :« Le plus sûr moyen de crier contre la barbarie n’est-il pas de laisser chanter les couleurs de la vie ? ». Nous reconnaissons bien là le propos humaniste et citoyen d’Alain Serres. Michelle Charbonnier
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