Alejandro Palomas

J'ai adoré se roman très bouleversant la fin de ce livre se dit un coup de théâtre on ne sait pas trop quoi pensé J'adore une aventure merveilleuse à explorer...Les personnages qui parlent chacun leurs tours pour les chapitres...!Grand salut à POPINS

"supercalifragilisticexpialidocious"

J'ai essayé de la dire cette formule magique de Mary Popins mais lui Guille y arrive car cette formule magique l'aide, aide son papa.

Guille est un petit garçon sensible avec pour seule amie Nazia une petite Pakistanaise.

Une psychologue impliquée qui grâce à sa patience va nous amener fil par fil au dénouement.

Il est difficile de résumer ce roman sans dévoiler l'histoire entre Guille et son papa.

C'est un roman empreint de beaucoup de sensibilité, d'émotion.

Dans les plus : une écriture touchante et poétique quand Guille parle de sa mère, des gens qui l'entourent ou lorsqu'il échange avec son amie pakistanaise. Dans les moins : on devine ce que Guille cache, bien avant la psychologue, qui n'en finit pourtant pas d'avoir des éclairs de compréhension, tout en ne comprenant pas grand chose....La fin est complètement ratée de mon point du vue, avec un père dont le comportement change a 180 degrés en quelques minutes, et une scène au spectacle de l'école qui manque totalement de subtilité et de crédibilité. Une lecture de vacances vite lue, vite oubliée.

Comme beaucoup d’autres, ça faisait un moment qu’il était dans ma bibliothèque. Je suis contente de l’avoir mis dans ma PAL du challenge #petitmoispetiteslectures pour enfin le lire !



Je ne savais pas du tout à quoi m’attendre en lisant le résumé, et le titre ne me donnait pas plus d’information. C’était assez mystérieux. Alors je me suis lancée et j’ai tellement bien fait ! Il m’a beaucoup plu.



C’est un roman choral où l’on suit l’histoire de Guillermo, 9 ans, de son point de vue à lui mais également du point de vue de sa maîtresse d’école, de la conseillère d’orientation et de son père. Dès le début, on comprend que le petit garçon n’est pas comme les autres enfants de son âge. Qu’il est toujours dans son monde, croit à la magie et est surtout plus sensible que la moyenne.



L’intrigue prend une tout autre tournure lorsqu’il est à l’école et que la maitresse demande à ses élèves ce qu’ils veulent faire plus tard. Alors que ses camarades disent “footballer”, “influenceuse”, “hôtesse de l’air”…Guillermo lui, répond qu’il veut être Mary Poppins. La maitresse se questionne, informe la psychologue de l’école de cette réponse étrange qu’à formulé Guille, et de là démarre une enquête fastidieuse pour découvrir ce qu’elle cache.



Je n’ai pas mis longtemps à comprendre ce qui se cachait derrière cette histoire, mais le récit me donnait quand même envie de continuer, d’une part pour en avoir le coeur net, et d’autre part pour voir comment les choses s’étaient déroulé.



À un moment, j’ai commencé à pleurer et puis ça ne s’est pas arrêté jusqu’à ce que je referme le livre une fois terminé. J’ai été très émue par cette lecture. L’histoire est triste mais se termine d’une jolie façon, qui met un peu de baume au coeur après des chapitres difficiles.

C'est l'histoire de Guille, un petit garçon à l'imagination débordante, plein de vie, qui rêve d'être Mary Poppins quand il sera grand parce qu'elle est magique et qu'elle habite dans les nuages. C'est l'histoire de son père, qui attend que sa femme hôtesse de l'air rentre de Dubaï. C'est l'histoire de Nazia, la meilleure amie de Guille, qui n'a pas très envie de se marier avec un homme de trente ans même s'il y a une grande usine. C'est l'histoire de l'institutrice, qui trouve que Guille est un petit garçon toujours très joyeux, toujours très rêveur... Trop, peut-être ? Et si ça cachait autre chose ??



J'ai trouvé ce roman chorale magnifique. On passe facilement de l'un à l'autre des personnages, chacun avec leur voix distincte. On plonge d'un point de vue à l'autre avec une facilité déconcertante !



L'écriture est d'une grande sensibilité, à la fois naturelle et ciselée, à la manière des petits papillons qui virevoltent sur la couverture. Bref, un très beau roman sur l'enfance, sur les chocs, sur la vie...

Guillermo est un petit garçon solitaire de 9 ans, très sensible. Sa seule amie est sa voisine Nazia, petite fille pakistanaise. Un jour, en classe, à la question "quand je serai grand, je veux être...", Guille affirme "Moi, je voudrais être... Mary Poppins". L'institutrice tente de savoir pourquoi un tel choix. Elle sent qu'il a besoin d'aide et cache un secret. Elle sait qu'il vit seul avec son père, sa mère étant partie. S'ensuit une rencontre avec la psychologue scolaire, Maria. Qu'est ce que Guille, cet enfant fragile essaie de cacher sous une apparence tranquille et enjouée? Pourquoi a-t-il tant besoin de ce pouvoir de Mary Poppins ?





👍On est sur un petit livre, qui se lit vite et bien, assez poétique, touchant. L'histoire est assez originale et tout en sensibilité. On ne peut que s'attacher à Guille, cet enfant fragile et tendre qui se réfugie dans l'imaginaire.



Chaque chapitre correspond au point de vue d'un personnage: tour à tour Guille, l'institutrice, la psychologue, le papa. C'est bien construit et permet de comprendre le ressenti de chacun. Et ça donne un rythme très agréable à la lecture.





👎J'aurai aimé que le personnage du père soit plus fouillé





En bref, un livre désarmant et émouvant. Qu'une seule chose à dire: Supercalifragilisticexpialidocious!

L'institutrice de Guille, un petit garçon de 9 ans, trouve curieux que l'enfant veuille s'identifier à Mary Poppins. S'il a bien compris qu'il s'agissait d'un personnage de fiction, pourquoi cette nécessité de recourir aux rêves ? Et pourquoi ne parle-t-il jamais de sa mère, partie pour des raisons professionnelles à Dubaï, elle dont l'absence doit lui manquer ? C'est la psychologue Maria qui va répondre petit à petit à ces questions et convaincre le papa d'affronter la réalité avec son fils. Guille aimerait bien aussi que la formule magique de Mary Poppins aide son amie Nazia, une petite pakistanaise, à échapper au mariage forcé voulu par sa famille et le Coran.

Belle histoire sur l'enfance qui, face à la cruauté du monde, se réfugie dans l'imaginaire. Le roman choral permet d'alterner les points de vue des adultes et de Guille et de montrer la finesse d'observation des enfants.

Un très beau roman sur la famille. J'ai été attirée par la couverture et aussi par la comparaison avec le cinéma d'Almodovar.



Un 31 décembre, on suit les membres d'une même famille, Fer, sa maman Amalia, ses sœurs Silvia et Emma, la compagne de cette dernière, Olga, et un oncle fantasque. Le récit alterne entre le réveillon, de l'arrivée des convives au lendemain matin, et le passé des différents personnages.



Il s'agit certes d'une comédie mais avec beaucoup de profondeur et d'intelligence. C'est l'illustration parfaite du "rire pour ne pas pleurer."

Il y a des passages extrêmement touchants (oui, j'ai versé ma petite larme) sur des drames qu'ont vécu les personnages et d'autres moments où l'on rit de bon cœur. Il n'est pas rare qu'un livre me fasse sourire mais rire vraiment, cela ne m'est pas arrivé souvent.



Ce roman est donc une réussite sur tous les plans, il contient toute une palette d'émotions et, bien que certains aspects des personnages puissent parfois être assez caricaturaux, cela n'enlève rien au charme de ce livre.

Dans un bar de Barcelone, Fer attend des nouvelles de R. Un moment de solitude que sa mère interrompt de façon inattendue. Par un heureux hasard, elle a aperçu son fils et est naturellement venue le rejoindre. Mais Fer ne veut surtout pas lui parler de l’accident de R. et, si Amalia évite un temps de noter son absence, le sujet finit par être abordé…

Alors, la septuagénaire convoque discrètement le reste de la famille et Fer se retrouve entouré de ses sœurs, Emma et Silvia.

Entre attente d’un message du vétérinaire et retour sur les failles de leurs relations, ces quatre-là n’ont pas fini de remuer le passé, de décortiquer le présent, de s’aimer fort sans toujours se le dire.



Retour de la famille la plus névrosée de Barcelone ! Après le réjouissant ‘’Une mère’’, Alejandro Palomas nous livre une suite malheureusement moins réussie.

Il ne se passe finalement rien dans ce roman où les personnages semblent s’ennuyer autant que le lecteur. Les traits d’humour qui faisaient le sel de son prédécesseur se font ici très rares et on se retrouve plongé dans les problèmes sans fin de la fratrie. Amalia, à force de jouer les vieilles ingénues têtes en l’air, devient plus pathétique que drôle. Silvia est psychorigide, Emma inconsistante et Fer…Fer a perdu Max et vit désormais avec R. auquel il a si peur de s’attacher qu’il ne lui a même pas cherché un nom. Le pauvre chien, abandonné près d’une benne à ordures par son premier maître, tente d’apprivoiser un Fer aux sentiments contradictoires.

On a envie de secouer tout ce beau monde enferré dans un nombrilisme insupportable. Leur apprendre la résilience et l’espoir…

Finalement, la joie de retrouver des personnages qu’on avait adorés se noie dans une histoire banale qui tourne en rond. Totalement dispensable.

J’avais déjà lu deux livres d’Alejandro Palomas, et je m’attendais à retrouver la même écriture, ce qui n’était pas le cas, en fait j’étais plutôt déçue, notamment par le style, toujours les mêmes gestes, les mêmes mots, jusqu’à l’orage qui reflète les tourments intérieurs. Mais commençons par le début, car tout n’est pas mauvais dans ce roman, loin de là.

Dans une résidence de luxe pour séniors fortunés, deux personnes entrent le même jour, de plus une jeune Hongroise, Ilona, commence son service ce jour-là et s’occupera des deux nouveaux pensionnaires. Ces trois personnages se dévoileront peu à peu au contact chacun en tête à tête avec les deux autres. J’ai bien apprécié ce côté du roman tout comme l’histoire qui y est racontée. L’idée de base est magnifique, mais pour moi les personnages sont un peu comme des acteurs qui jouent un rôle: il y a l’humble optimiste, la colérique entêtée mais sensible aux autres, et la mélancolique pessimiste. Il me manque ces facettes différentes qui font de nous des êtres humains certes cohérents mais vivants. C’est ce pourquoi je n’aime guère les « feel-good », et ce livre s’en approche dangereusement.

C'est un livre que j'ai lu très rapidement, je me suis directement attachée au personnage de Guille, petit garçon vivant dans son monde, avec Marry Poppins.



Très beau message passé ici sur l'amour inconditionnel d'un enfant et surtout de sa force.



Roman très intéressant également sur l'approche de la psychologie envers l'enfant.



Je recommande

Mon autre coup de cœur de l été 2023



Livre démarré sur les conseils d’une amie mais sans conviction. Je m’attendais à un roman fantaisie ce qui n est pas mon truc. En fait pas du tout c est un roman choral qui traite avec beaucoup de finesse, d’élégance et de sensibilité les difficultés de l enfance rapport à la communication et l’absence d un parent . C est très joliment écrit, c est à la fois dur et tendre. A lire absolument !

Il m'a fallu moins de 24h pour terminer ce roman. Tel un paquet de biscuits a la confiture, on entame la premiere page et on termine le livre sans s'etre rendu compte du temps qui passe. Quel chef d'œuvre. Le roman oscille entre 3 personnages, qui ont tous leur caractère et rien qu'en lisant on peut savoir quel personnage est concerné.

Au tout début, on ne comprend pas bien pourquoi tant d'inquiétude concernant l'avenir d'un enfant qui souhaite être Mary Poppins alors que d'autres voudraient être Batman. Et puis on comprend l'enjeu. Alors telle une pédopsychiatre diplômée, je me suis mise dans l'ambiance pour tenter de comprendre ce que cachait la partie immergée de l'iceberg. Ce roman n'offre pas d'artifices, il est simple et authentique. C'est précisément ce qui fait tout son charme.

Je ne pleure pas très souvent en lisant des livres, mais je n'ai pu retenir mes larmes à un certain moment. Une soirée, le nouvel an, un lieu, l'appartement de la mère, une poignée de protagonistes, la famille de la mère. En l'espace de cette soirée du nouvel an et via des incursions dans le passé pour comprendre les enjeux et pourquoi les relations entre les personnages sont ce qu'elles sont, au sera emporté dans des montagnes russes d'émotions. J'ai absolument adoré les personnages, leur description, leur absurdité, j'ai beaucoup ri et souri, un pur bonheur ! Définitivement une lecture qui restera avec moi et une pépite à partager !

Tous les livres d'Alejandro Palomas ne sont pas traduits en français… C'est un auteur que j'apprécie beaucoup et avec qui j'ai parfois échangé sur les réseaux. L'espagnol étant la seule langue étrangère que je lis presque couramment, plusieurs de ses romans en VO sont dans ma PAL. Je vous parle aujourd'hui de El Alma del Mundo.



L'âme dont il s'agit ici est celle du violoncelle, ce petit morceau de bois cylindrique placé dans l'intérieur de l'instrument, qui sert à soutenir la table sous la pression des cordes et à mettre en communication de vibrations toutes les parties.

Dans une autre vie, Ilona a été luthière. Aujourd'hui, elle travaille à Barcelone, dans une résidence pour personnes âgées aisées. C'est une jeune femme un peu cabossée par la vie, ancienne gymnaste hongroise, qui a vécu la dictature soviétique, la mort de sa mère, la perte d'un amour… Pendant quelques mois, elle devient l'accompagnatrice privée de deux anciens qui intègrent l'établissement le même jour, Clea Ross et Otto Stephens.

Clea était musicienne ; elle a dû cesser sa carrière pour privilégier celle de son mari, un brillant chef d'orchestre. C'est une vieille dame étonnante, au franc parler, provocatrice, qui fume beaucoup, observatrice, exigeante…

Otto a gardé son charisme de grand séducteur…

Rocio dirige la résidence. Sous des dehors formels, elle aussi cache des blessures.



Une narration polyphonique autour des moments partagés par Ilona avec chacun des deux pensionnaires : des récits enchâssés, des confidences.

Clea et Otto entament une étrange relation, une amitié codifiée.

Au fil de la lecture, nous apprenons à connaître les différents personnages, tous attachants à des degrés divers.



L'écriture d'Alejandro Palomas est captivante, entre émotions, autodérision, humour et mystère. Il excelle dans le rendu du langage des corps, blessés, douloureux, vieillissants et des expressions, notamment les regards.

L'économie de personnages donne un côté théâtral au récit ; tous les dialogues sont d'ailleurs savoureux. Il y a aussi une certaine unité de lieu et de temps, sur un été.

Beaucoup de thèmes sont abordés autour de famille, la parentalité, l'usure des couples, la fidélité, la maladie, la mort, les choix… le passé d'Ilona donne lieu à une évocation de la vie dans les Pays de l'Est avant la chute du mur de Berlin.

La résidence pour personnes âgées, avec tous ses services hauts de gamme, sert de décor principal et donne un côté décalé à l'ensemble. La météo estivale aussi est de la partie entre canicule, orages, pluie, odeurs…

Et le violoncelle dans tout cela me direz-vous ? Disons que c'est l'élément déclencheur et fédérateur…



J'avoue avoir été surprise par le dénouement, pas du tout annoncé.



Une belle histoire d'amitié et d'amour. Une superbe ambiance…


Lien : https://www.facebook.com/pir..

Guille est un petit garçon sensible, rêveur, qui garde le sourire et la joie de vivre malgré une situation familiale assez complexe. De plus, il voue une fascination sans borne à Mary Poppins, ce qui finit par interpeller sa nouvelle institutrice et la psychologue de l’école.



Mais, que se cache-t-il derrière cette apparente légèreté, derrière cette passion sans faille ? Quel secret “bien gardé” plane sur cette famille ? Derrière toute cette imagination débordante et ces beaux sourires ?



J’ai été happée par cette histoire. Il fallait que j’en découvre le fin mot… Et ce n’est pas tant la révélation de ce “secret” qui importe (ce dernier étant assez “simple” à deviner), mais plutôt la manière d’y parvenir. Le chemin qui nous est conté et les thèmes qui sont abordés en route. C’est donc une jolie histoire, mélancolique et émouvante, mais tout en douceur et en nuances. Un de ces récits où les émotions et les personnages ont leur importance, où tout n’est pas tout blanc ou tout noir. Où des sourires et des airs renfrognés servent seulement à masquer une immense tristesse.



C’est un roman choral, qui donne tour à tour la parole aux différents protagonistes, et l’on suit ainsi l’histoire en fonction de leur point de vue. Les chapitres sont assez courts et la lecture fluide et rythmée. Difficile donc de reposer ce roman sans enchaîner sur le chapitre suivant, et ainsi de suite…



Petit bémol, jusqu’à ce que je lise que Guille est un enfant de 9 ans, je pensais qu’il était plus jeune, peut-être 6 ou 7 ans, aux vues de sa manière de s’exprimer et de penser…



Challenge Multi-Défis 2023

Guille est un petit garçon doux et rêveur. Il ne joue pas au foot et a pour seule amie Nazia, une petite fille pakistanaise qui vient d’aménager. Un matin alors que la maîtresse lui demande ce qu’il voudrait être plus tard et qu’il répond “Mary Poppins” cette dernière s’interroge. Qu’est ce qui se cache derrière ses sourires ?



Un roman sur l’enfance et ses difficultés qui saura vous émouvoir.

Une histoire très touchante que cette histoire d'amour d'un fils et son père. Guille n'est pas certes pas un petit garçon comme les autres, c'est un "crack". Loin d'être gnan gnan, ce roman est simple et beau, vous serez surpris de la vitesse à laquelle vous le lirez, les chapitres s'enchaînent très bien, d'une voix à l'autre.

Un joli texte découvert au hasard d'un joli titre. J'ai hâte de lire Alejandro Palomas à nouveau.

Guille est un jeune garçon sensible, tellement sensible que son institutrice sent que quelque chose ne tourne pas rond... Il veut devenir Mary Poppins quand d'autres rêvent de devenir pompiers ou policiers. Qu'est ce qui ne va pas? Il enchaine les séances chez la conseillère d'orientation, et se livre peu à peu. On apprend des bribes de sa vie, de son quotidien. On comprend assez vite que l'absence de la maman y est pour quelque chose, mais qu'y a-t'il vraiment? Porté par son amie Nazia et par son papa, Guille va évoluer, se livrer et faire émerger la face cachée de l'iceberg!

Un roman polyphonique, une tranche de vie difficile, un papa dépassé, un spectacle de fin d'année, une amitié au delà des origines...

C'est un joli livre que ce roman d'Alejandro Palomas. Sous le prisme de plusieurs personnages (et surtout de Guille et Maria), on découvre une histoire touchante sur les repères familiaux, les préjugés et sur la psychanalyse. J'ai bien aimé la façon de mettre en scène la relation entre Guille et Maria, qui, chacun a leur façon, avance l'un vers l'autre.



J'ai toutefois regretté de ne pas avoir davantage de chapitres rédigés depuis d'autres points de vue, d'autant plus qu'en tout début de roman on nous en introduit deux autres qu'il aurait été intéressant de suivre de manière aussi rapprochée. J'imagine que l'auteur voulait garder un format assez court.