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Citations de Alexandra Bracken (502)


Ma mère avait dit un jour que l'éducation était un privilège dont tout le monde ne bénéficiait pas, mais elle se trompait... Ce n'était pas un privilège. C'était notre droit. Nous avions droit à notre avenir.
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- Le désir de vivre ta vie…, ajouta-t-il, ne fait pas de toi une mauvaise personne.
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La plume tombée d’une aile n’est pas perdue, mais libre.
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- Tu ne valais rien en sport, dit Cole, mais je reconnais que tu as de bons réflexes.
- Ça veut sans doute dire merci dans une langue que je ne parle pas, soupira Liam.
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Le noir est la couleur qui n’est pas une couleur. Le noir est la couleur d’une chambre d’enfant vide et silencieuse. De l’heure la plus pesante de la nuit… celle où, sur sa couchette, on est réveillé par un cauchemar. C’est un uniforme sur les larges épaules d’un jeune homme en colère. Le noir, c’est la boue, l’œil sans paupière d’une caméra, le bourdonnement de la clôture qui monte jusqu’au ciel. C’est une route. Une nuit oubliée parsemée d’étoiles ternes. C’est le canon d’un pistolet braqué sur ton cœur.
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Nous étions, Sam et moi, réalistes. Nous savions que nous ne sortirions pas. Les rêveries entraînaient la déception, et la déception plongeait dans une déprime dont il n’était pas facile de sortir. La grisaille était préférable aux ténèbres.
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Cet optimisme me parut aussi forcé que celui de mon institutrice du cours élémentaire le jour où elle avait affirmé que la mort de nos camarades était un avantage parce que nous pourrions utiliser plus souvent la balançoire de la cour.
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Elle pouvait se défendre contre n'importe qui - ou n'importe quoi. Les monstres avaient des dents, mais c'était bien pour ça que les lionnes avaient reçu des griffes. (Page 269)
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- Tu es sûre que ce n'est pas un cauchemar ? souffla-t-il. Et qu'on ne va pas se réveiller ?
[...]
- Certaine, répondis-je quelques instants plus tard.
Parce que les rêveurs se réveillent et laissent leurs monstres derrière eux.
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- Aujourd’hui, les gens ont vite fait de te réduire à quelques infos et à te télécharger dans le système, tu vois ? Et je crois qu’on ne peut connaître les autres que si on fait vraiment attention.
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Lore l'enviait presque en cet instant, elle qui n'avait qu'un espace vide là où les mortels mettaient leur humanité.
[...]
- Pardon, murmura Lore.
Sa vie ne lui appartenait pas complètement cette semaine là.
- Il n'y a pas de pardon dans l'Agôn, répondit Athéna. Seulement la survie, et ce qui doit être fait.
Page 322
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- Tu sais, certaines personnes ont tellement pris l’habitude de contempler leur vie depuis le bord de leur cage qu’elles ne voient même plus les barreaux, lui dit-il. Mais je n’ai jamais oublié qu’ils sont là. J’ai juste appris à vivre dans cette cage selon mes propres conditions.
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- J'avais envie d'être seul, protesta-t-il sur un ton bourru. Je voulais... J'avais besoin de m'éclaircir les idées. Loin d'eux. Loin de toi.
-Écoute, dis-je, je comprends. Tu ne m'apprécie pas, mais...
- Je ne t'apprécie pas ?
Il a un rire grave, puis un autre, horrible, qui ne lui ressemblait pas du tout. Il me tourna le dos et secoua la tête. Sa respiration était si précipitée que j'eus l'impression qu'il sanglotait.
- Je ne t'apprécie pas ? répéta-il.
- Liam... dis-je inquiète.
- Je ne peux pas... je suis incapable de penser à quelqu'un d'autre. Quand tu es là, je ne peux pas réfléchir. Je ne peux pas dormir. J'ai l'impression de ne pas pouvoir respirer.
- Liam, s'il te plait, suppliai-je. Tu es fatigué, tu n'es pas complètement rétabli. On... on devrait rejoindre les autres.
- Je t'aime, souffla-t-il en se tourna vers moi, la même expression triste sur le visage. Je t'aime, je ne comprends pas pourquoi, et je ne peux pas m'en empêcher...
Il semblait tellement souffrir et sa douleur me cloua sur place.
- Je sais que je ne devrais pas, poursuivit-il, je le sens, jusqu'au plus profond de moi même. Et j'ai l'impression' d'être cinglé. Je m'efforce d'être bon, mais je ne peux pas. J'y arrive plus.
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- La vie n'est pas juste. J'ai mis un moment à le comprendre. Elle s'arrange toujours pour te décevoir. Tu as des projets et elle te pousse dans une autre direction. Tu aimes des gens et elle te les enlève, même si tu te bats de toutes tes forces pour les garder. Tu espères quelque chose et tu ne l'obtiens pas. Il ne faut pas essayer de donner un sens à tout ça. Il faut seulement accepter qu'on ne contrôle pas tout et prendre soin de toi. C'est ça ton boulot.
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- Tu sais comment je suis quand j’ai décidé quelque chose.
- Tu prends un air un peu flippant et généralement tu finis par taper sur quelqu’un, répondit Miles.
- Il y a un peu de ça, dit Lore en riant.
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- Pourquoi en fais-tu toute une histoire ? demandai-je. Elle t’appelle Judith depuis des mois !
Chubs rit, mais cessa quand il vit mon regard.
- Ouais, bon, marmonna Jude, les genoux contre la poitrine. Je ne vois pas ce qu’un prénom de fille peut avoir d’insultant. Les vôtres ne vous empêchent pas de vous en prendre à moi ni de me traiter comme un gamin de cinq ans.
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Il recula, prononça mon nom d'une voix inquiète, mais je ne lâchai pas prise. Je m'effaçai de son esprit, jour après jour, morceau par morceau, souvenir par souvenir et, bientôt, Ruby eut complètement disparu. Il fut libre, plus rien ne le liait à moi. Ce fut une étrange sensation de déconstruction, que je n'avais jamais éprouvée, ou dont je n'avais pas pris conscience avant cet instant.
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Le FSP [*] qui nous avait conduites jusqu’à notre nouveau logement s’était montré clair : interdiction de parler après l’extinction des feux, interdiction de sortir, interdiction d’utiliser nos « pouvoirs monstrueux »... intentionnellement ou accidentellement.
C’était la première fois qu’on employait « pouvoirs monstrueux » devant moi, pour qualifier ce dont nous étions capables, et pas le terme poli de « symptômes ».


([*] FSP : Forces Spéciales PSI)
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Je savais depuis longtemps qu'on peut être si épuisé qu'il est impossible de dormir.
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Ruby avait l’habitude de dire que nous méritions nos souvenirs, mais que nous n’avions pas d’autre dette envers eux que de les conserver.
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