Citations de Alexandra Bracken (511)
Si un coeur peut-être brisé une fois, il ne devrait plus être capable de l'être une autre fois.
- Ho ! intervint Vida d'une voix aiguë, à l'intérieur de la tente. Vous ne pouvez pas la fermer et revenir vous coucher ? On a déjà entendu cette dispute cent fois et il n'est pas cinq heures du matin !
Jude tenta de la faire taire, mais c'était trop tard.
- Tu... tu... je ne peux pas, bredouilla Chubs, trop furieux pour construire une phrase. Viens ici. Tout de suite !
- Viens me chercher mon grand , répondit-elle. Je sais que je n'ai pas ce qu'il faut la où il faut, mais on pourra s'arranger.
- Un cerveau en état de marche, par exemple ? cria-t-il.
- Fermez-la et embrassez-vous, marmonna Vida. J'essaie de dormir.
- Miss Vida, dit Liam, t'a-t-on déjà dit que tu es la chantilly sur la glace à la vanille de la vie ?
- On t'a déjà dit que tu avais la tête en forme de crayon ?
Je l'ai regardé, mon esprit vidé par la confusion.
-C'est terrifiant-TERRIFIANT- de rencontrer une inconnue et de ressentir quelque chose pour elle, quelque chose de si intense que ça fait arrêter les battements de ton cœur et que tu n'as AUCUNE bases sur ça. Aucun contexte. Les sentiments sont là, et c'est comme s'ils te lacéraient la poitrine, comme s'ils avaient besoin de sortir.
Même maintenant, même quand je ne fais que te REGARDER, je me sens comme s'ils me broyaient, comme s'ils me broyaient par la puissance de mon désir, de mon besoin d'être avec toi, de l'intensité de l'amour que j'éprouve pour toi. Mais tu n'est même pas désolée; Tu t'attendais juste à ce que je sois d'accord avec le fait que tu m'as arraché ta vie et l'as jeté loin de la mienne.
Liam s'assit sur le lit . Il tendit une main et souffla :
-Approche .
Je vacillai un peu en avançant entre ses bras , les yeux fixés sur son sourire . Pendant tout ce temps , depuis l'instant de notre rencontre , il avant attendu que je comprenne qu'il me connaissait et il n'avait jamais voulu que je change .
- Celle que tu étais , celle que tu es , celle que tu seras , murmura-t-il comme s'il avait lu mes pensées. Je t'aime. De tout mon cœur. Et ça ne changera jamais .
Sa voix était rauque . le soulagement , la certitude , l'immense reconnaissance que j'éprouvais , parce que le destin me l'avait donné , brûlaient mes yeux et me privaient de la parole. Alors je l'embrassais et le lui dis de cette façon ,inlassablement alors qu'il glissait sur moi ,en moi...puis il n'y eut plus que nous et la promesse de l'éternité .
Tu t'appelles Liam Stewart. Tu as dix-huit ans. T'es parents sont Harry et Grace Stewart. Ton frère s'appelle Cole et ta soeur s'appelait Claire. Tu étais dans un camp, Caledonia, mais tu t'es évadé. East River a brûlé. Tu es à Lodi parce que tu l'as décidé, pour rester avec Chubs, Zu et Ruby. Tu veux les protéger. Ne pars pas, même s'ils te disent de le faire . NE PARS PAS. Ruby peut effacer tes souvenirs, mais ce que tu ressens est la vérité. Tu l'aimes, tu l'aimes, tu l'aimes. "
C'était une note à lui même. Un lui même futur qui serait inévitablement victime de mon aptitude. C'était une antisèche. Une sécurité. Parce que ma parole ne suffisait pas. Je pouvais promettre cent fois de ne plus toucher son esprit , ça ne signifiait rien. Je l'avais fait. Nous ne nous faisions plus confiance.
- Est-ce que quelqu'un est passé ? M'a rendu visite ?
Ma grand-mère eut un sourire entendu.
- Une charmante jeune femme aux lèvres capables de damner un marin ? Une gentille petite fille qui a apporté des fleurs ? Un jeune homme qui a harcelé les médecins et les infirmières pour obtenir des informations sur ton état ? Ou ce garçons du Sud très bien élevé ?
- Tous, soufflai-je.
Les lapins ont besoins de dignité et,par dessus tout,de la volonté d'accepter leur destin
J'avais appris, ces dernières semaines, qu'on s'attache inévitablement aux gens quand on les connaît bien. On ne se différencie plus nettement d'eux et la séparation est très douloureuse lorsqu'il faut les quitter.
Bon sang, est-ce qu'on peut la fermer juste cinq minutes et ne pas oublier qu'on est amis, qu'on s'apprécie et qu'on ne veut pas s'étrangler mutuellement?
Parfois tu te précipites, paniquée, tu n'es pas attentive, tu brises ce à quoi tu tiens. Et, de temps en temps, tu ne peux pas esquiver ce qui arrive. Ça te tombe dessus parce que tu dois prouver que tu as du cran.
On peut appuyer plusieurs fois sur le même bouton, pour obtenir ce qu'on veut, mais il arrive un moment où le doigt glisse et où on presse le mauvais.
Quand j'eus piqué la veine du doute, le reste coula à flots.
La mer, le feu et les femmes sont les trois grands maux.
La plume tombée d’une aile n’est pas perdue, mais libre.
"Les plus exceptionnels des mortels se retrouvent toujours seuls, car personne d'autre ne peut accomplir la tâche pour laquelle ils sont nés" - chapitre 40
Ce qui serait absolument adorable, si ce n'était pas aussi idiot !
C’est un homme ou un carlin à qui on a mis une moustache et un costume ? Demanda Miles.
Parfois, ce n'est pas la vérité qui nous survit, mais les histoires auxquelles on veut croire. Les légendes nous mentent. Elles gomment les aspérités pour raconter une belle histoire, nous expliquer comment nous comporter, ou offrir la gloire aux vainqueurs et couvrir de honte ceux qui ont faibli.
Il faut savoir oublier le passé si nous voulons avoir un futur