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Critiques de Ann Beattie (33)
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L'état où nous sommes

Cinq nouvelles assez courtes de ce recueil ont eu raison de ma patience. Elles ne sont pas porteuses de sujets intéressants, ne contiennent pas une once de sympathie pour des personnages qui s’agitent sans qu’on sachent bien pourquoi. L’écriture ne rattrape en rien le vide des textes. Les digressions sont aussi nombreuses qu’inintéressantes, les descriptions inexistantes ou réduites à des listes sans queue ni tête. Ces nouvelles sont un parfait exemple, semble-t-il, du style « réalisme sale », et j’espère de tout cœur qu’il en existe de meilleurs représentants.
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La maison qui brûle

J'avais trouvé ce livre chez un bouquiniste dans les années 90 et je relis régulièrement les nouvelles qu'il contient tant je suis sensible à l'univers de cette romancière , à l'atmosphère qu'elle apporte à ses récits touche par touche, comme un peintre ( elle vit d'ailleurs avec un artiste peintre). Je ne suis pas sure de bien comprendre les significations de ses textes mais ses constructions chronologiques déstabilisantes, ses personnages et leur non dits font que l'émotion est toujours là, omniprésente .
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Nouvelles du New Yorker

Ann Beattie est une "spécialiste" de la nouvelle.

Certains de ses textes ont été inclus dans un recueil édité par John Updike intitulé « Meilleures nouvelles américaines du siècle ».

En 2000, elle a reçu le prix PEN/Malamud, pour sa maîtrise du genre de la nouvelle, et le Rea Award for the Short Story en 2005.

Dans son recueil "Nouvelles du New Yorker", ses nouvelles sont toujours très bien construites.

Ma préférée: "Rêves de loups", dans cette nouvelle, l'auteur alterne fort harmonieusement les aspects humoristiques et les aspects plus dramatiques.

Nous suivons le parcours un peu chaotique de Cynthia, qui, après avoir épousé Pete et Lincoln, s'apprête à épouser Charlie.

Oui mais voilà, sa famille déteste ce Charlie et lui reproche son instabilité sentimentale.

Cynthia va essayer de perdre neuf kilos avant son mariage...

Et ce désir devient bientôt une obsession..

A tel point qu'elle va bientôt écrire une lettre à Jean Nidetch, la fondatrice des Weight Watchers.

Finalement sa famille lui met tellement "la pression" qu'elle va se poser des questions sur son futur mariage.

C'est alors que son voisin dans le train va l'aider à réfléchir..

Un petit bijou, un concentré d'humour, de dérision et d'humanité.

Une grande maîtrise de l'art de la nouvelle.
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Nouvelles du New Yorker

Des tranches de vie d'Américaines moyens dans une Amérique des années 70 à nos jours.

Des histoires qui en quelques lignes, quelques pages, nous disent tout, ou du moins le plus important, de ses personnages.



Tout commence toujours avec un couple : un gars, une fille. Une plongée dans la vie de couples qui au fil des pages se délite.



Les premières nouvelles nous plongent dans l'Amérique des années 70-80, son ambiance si particulière. On a beaucoup de plaisir à retrouver chaque nouvelle histoire.



En ce qui me concerne, j'ai moins aimé les nouvelles se déroulant dans les années 2000 (les dernières du recueil), bien plus sombres et sans issues que les autres.



Mais de manière générale, c'est un bon recueil de nouvelles, dont les phrases, le rythme la qualité des détails nous transporte dans ces quelques instants d'une vie qui changent tout.
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Nouvelles du New Yorker

16 nouvelles tournant toutes sur des tranches de vie d'américains plutôt aisés, de milieux universitaires mais tous désabusés, paumés, à la recherche de ce qu'ils ont été, de ce qu'ils sont et de ce qu'ils deviendront. .

New-york est un dénominateur commun mais comme lieu d'habitation présent ou lointain; les copains sont importants ; les chiens passent ou sont présents presque dans toutes les nouvelles.

Chaque tranche d'histoire font une vingtaine de pages et même si rien ne se passe réellement , on se laisse bercer par l'écriture et l'ambiance de ces 30 dernières années ( les années où se déroulent les actions sont mentionnées en fin de chaque chapitre entre 1974 et 2004).
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Nouvelles du New Yorker

Le rythme et la musicalité des phrases, tout comme la justesse des dialogues, sont remarquables. Beattie est bien connue aux États-Unis, mais c'est la première fois que ses nouvelles sont traduites en français. Une belle découverte!
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Nouvelles du New Yorker

J'aime les nouvelles et celles d'Ann Beattie m'ont ravies. En touches délicates, elle dépeint la vie d'américains de la "middle class" empêtrés dans leurs émotions, leurs hésitations, leurs désarrois. Ces nouvelles au goût doux amer publiées dans le "New Yorker" des années 70 à aujourd'hui nous rappellent, s'il n'en était besoin, à quel point il est difficile de vivre et d'aimer.
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Nouvelles du New Yorker

D'un récit à l'autre, Ann Beattie met en scène des couples qui se font et se défont, des amants de passage, des abandons, tout un carrousel d'amours et de désamours où se reflètent les errances d'une époque désemparée.
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Nouvelles du New Yorker

Dans un recueil de seize nouvelles, Ann Beattie décrit la vie intime de la classe moyenne américaine sans avoir l'air d'y toucher. Drôle et amer.
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Nouvelles du New Yorker

Bon, je vous ai déjà fait douze mille fois le coup de j’aime pas les nouvelles, je ne vais pas vous le faire une fois de plus, si ? (dans le public, on crie « siiii », preuve que vous êtes tous des masochistes en puissance parce que FRANCHEMENT m’entendre dire en permanence « j’aime pas les nouvelles, mais en fait si, mais en fait non, mais en fait ça dépend, franchement, à part si vous adorez le son de mon clavier… bref). Donc ben on va le refaire, hein … Donc, en temps normal, je n’aime pas les nouvelles. Pourquoi est-ce que je n’aime pas les nouvelles ? La métaphore aquatique me paraît la meilleure manière de m’expliquer, et en plus il me semble que je ne vous en ai pas encore parlé.



Quand on commence un texte, c’est comme si on plongeait dans une piscine. D’abord, avec la couverture, on enfile son maillot. Avec les premières pages, on met son bonnet, on rattrape les mèches qui tombent, on peste un peu, enfin, on finit par avoir l’air d’un playmobil. Avec un peu de chance, on ne craque pas le bonnet. Sinon, c’est qu’on lâche le bouquin. On continue à lire et en fait on marche le long de la piscine, et on s’avance vers le plongeoir. On grimpe dessus, on se dandine un peu, on prend sa respiration, on saute et on fend élégamment l’eau (ou on fait un plat, ça dépend, hein. Moi je suis élégante en toutes situations, une vraie Mary Poppins, mais je ne peux pas me prononcer pour les autres). Là, on reste quelques temps sous l’eau, pendant le milieu du roman, selon le temps d’apnée et enfin on ressort la tête de l’eau en tournant la dernière page du roman. Or, les nouvelles, on a bien toute la préparation, mais on a à peine fini de mettre son bonnet qu’il faut déjà ressortir la tête de l’eau. Pas le temps de rentrer dedans, ou alors trop peu de temps, mal calibré, mal fichu, bref, j’aime pas les nouvelles.



Les Nouvelles du New-Yorker, elles, elles n’ont rien à voir. Non pas qu’elles sont plus longues, mais en fait elles permettent de gérer son temps d’apnée différemment, je ne sais pas comment expliquer ça, mais on y entre et on en sort sereinement, sans sentiment de manque. Les histoires ne sont pas gaies, elles sont parfois cruelles, elles sont absolument réalistes et décrivent délicatement le fonctionnement des sentiments des hommes et des femmes.



Un plaisir, un bijou, un super recueil que je vous conseille absolument.
Lien : http://www.readingintherain...
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Nouvelles du New Yorker

Ann Beattie est l'une des nouvellistes les plus connues aux États Unis, contributrice régulière du New Yorker d'où sont issus les seize textes rassemblés dans ce recueil. Des tranches de vie capturées au cours de quatre décennies et livrées par ordre chronologique ce qui permet au lecteur, mine de rien, une progression spatio-temporelle logique.



C'est d'ailleurs l'un des talents de l'auteur, cette faculté à ancrer ses histoires dans leurs époques, par de petits détails, une mode vestimentaire, des chansons, des investissements fructueux dans une petite société en devenir nommée Microsoft. Un cadrage qui contribue à capter très vite le lecteur, autant que la proximité avec les personnages campés en deux coups de crayon, comme le ferait un caricaturiste en trouvant immédiatement les quelques traits qui font la spécificité de chacun.



J'ai beaucoup aimé la finesse et la légèreté avec lesquelles Ann Beattie regarde, dissèque les comportements de ses personnages, sans jamais les juger et en gardant toujours une forte dose de bienveillance et de sympathie à leur égard, même lorsqu'il est question de pointer leurs petits travers. Car forcément, il s'agit de mettre le doigt là où ça fait mal. Les renoncements, les mensonges que l'on se fait à soi-même, la complexité des relations de couple, de famille, d'amitié... Pas de gros sabots chez Ann Beattie. Tout est suggéré ou simplement révélé au détour d'une phrase, alors que le lecteur ne s'y attend pas forcément. Des impressions, des ressentis...
Lien : http://motspourmots.over-blo..
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Nouvelles du New Yorker

Amoureux(ses) de Raymond Carver, foncez! Les nouvelles d'Ann Beattie ont cette précision, cette profondeur et cette maîtrise indispensables aux nouvelles. Elle y raconte les vies d'américains moyens, hommes et femmes, dans des tableaux caustiques et drôles, instantanés de la société américaine des années 1970 à nos jours. J'aime beaucoup celle de Cynthia, s'apprêtant sans conviction à épouser un 3ème mari, qu'elle abandonne dans le train...Celle racontant la maladie d'Alzheimer d'une mère, obligeant un frère et une sœur à communiquer, ce qui n'est pas évident.

Un vrai plaisir de lecture, une découverte, qui m'ont convaincue de lire plus de cette auteure.

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Promenades avec les hommes

J'avoue que je n'ai pas compris grand chose à ce livre (quel était le but de la romancière ?). Je l'ai tout de même lu jusqu'au bout. Je l'ai de plus trouvé assez mal écrit (ou mal traduit ?). Bref, un livre que je déconseillerais !
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Promenades avec les hommes

Quelle déception !

Les critiques étaient élogieuses, le sujet attirant et pourtant le résultat, lui, est insipide.

J’attendais beaucoup de cette rencontre entre cette ambitieuse diplômée et cet écrivain d’âge mûr qui devait tout lui enseigner des faiblesses du comportement des hommes dans les relations amoureuses, à la manière peut-être d’un Philip Roth ou d’une Annie Ernaux…

Je n’ai pas trouvé l’ombre d’une petite référence à ces auteurs et pire que cela, je n’en ai rien retenu d’intéressant. Dès les premières pages, la relation s’enlise, le lecteur s’ennuie et se réjouit que le livre ne dépasse pas les 120 pages.

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Promenades avec les hommes

PROMENADES AVEC LES HOMMES de ANN BEATTIE

New York, 1980, Jane, tout juste diplômée d’ Harvard est interviewée par le New York Times et fait la connaissance de Neil, un prof dans la quarantaine, brillant et charmant. Elle tombe vite amoureuse et Neil lui propose de tout lui révéler sur les hommes et en échange elle devra taire leur relation. Elle abandonne son copain d’alors, Ben et quitte le Vermont pour vivre avec Neil. Il va progressivement la transformer dans tous ses goûts, elle va se laisser guider. On suit l’évolution de leur relation, les disparitions nocturnes de Neil pour écrire chez son copain vétérinaire, leur mariage, la mort de Ben l’ex copain et la découverte que Neil n’est peut-être pas ce qu’il a dit être.

En une grosse centaine de pages Ann BEATTIE nous entraîne dans un tourbillon amoureux bien complexe, on se demande comment Jane peut se laisser manipuler autant comment il est possible de tout lâcher pour un Neil inconnu et plein de mystères, mais après tout n’est-ce pas cela être amoureux ?

Intéressant sans être passionnant.
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Promenades avec les hommes

Pour faire court, je n'ai rien compris à ce livre. Qu'a voulu raconter la romancière ? Il y a une jeune femme brillante qui rencontre un homme plus âgé qui lui propose un marché qu'elle accepte.

Mais après, ça va dans tous les sens, c'est confus. Le récit est bref et c'est tant mieux.

Ce qui m'intrigue c'est que la romancière dirige une chaire d'écriture créative. Dans ce livre, rien de créatif que du flou et au finale le sentiment d'avoir perdu son temps.

Dommage.
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Promenades avec les hommes

Promenade avec les hommes reste une aventure sentimentale caustique, mais tendre, où la place de la femme est toujours à prendre, voire à affirmer, ou conquérir.
Lien : http://www.actualitte.com/cr..
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Promenades avec les hommes

Oups !! Lorsque j'ai vu en 4ème de couverture un commentaire de John Updike, j'ai commencé à me méfier (oui lui et moi sommes rarement en accord, même si nous nous ne connaissons pas).



Pas vraiment un roman mais une longue nouvelle, pourquoi pas puisque le résumé m'avait intrigué et que je n'avais pas prêté attention à l'épaisseur du volume.



Verdict : une déception ! Je n'ai pas du tout adhéré au style de la narration, au jeu de la reprise des propos comme au reste. Si les personnages sont peu sympathiques, même Goodness n'est pas parvenu à éveiller de l'intérêt ou à défaut un peu de compassion, si l'histoire m'avait un tant soit peu accroché, j'aurais aimé les détester. Mais, rien ! Leur nombrilisme m'indiffère. Me plonger dans les états d'âmes d'une jeune femme et de son "pygmalion" m'ont laisser froides.



Que dire sur cette relation ? Rien ou si peu. Car si le sujet du roman semble bien être les relations de Jane avec cet homme, elle ne nous apporte guère plus que des clichés.



Le reste est constitué de brefs passages de son existence au coeur de cette relation, un peu d'avant et d'après. Mais rien qui me permette de voir en quoi cette relation, cet "apprentissage" lui aura appris quelque chose. La manipulation me direz-vous ? Et bien je trouve que cette centaine de pages et leur contenu la montre mais s'emmêle avant tout dans la petite vie de cette femme, sans réellement parler de son existence. Les regrets sont sans doute bien mieux mis en avant. Mais notre existence n'est-elle pas faite de regrets ? De là à en faire ce livre, je reste sceptique.



Un dernier point, encore une fois négatif, : les références à des personnes, des talk shows sont soit trop datés, ou trop marqués Etats-Unis pour que cela me parle.


Lien : http://uncoindeblog.over-blo..
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Promenades avec les hommes

New York, 1980. Jane, 22 ans, a quitté le Vermont et son ami Ben pour s’installer avec Neil, un journaliste deux fois plus âgé qu’elle. Fascinée par cet homme séduisant, la jeune diplômée de Harvard va pourtant vite déchanter. Non seulement Neil est un manipulateur et un coureur mais en plus il est déjà marié. Sa femme va demander le divorce, Jane l’épousera, ils passeront leur temps à se disputer et à se rabibocher avant qu’il ne disparaisse sans donner d’explications. A part ça ? Et bien pas grand-chose en fait.



A peine 110 pages et je me suis fait ch... comme c’est pas permis. A croire que Wharton a fait des petits. Jane raconte son histoire et on s’en tamponne royalement. Une jeune femme rêveuse qui se retrouve prise dans les filets d’un vieux beau et qui va finir par le regretter, ce n’est pas super rigolo mais il y avait matière à plus de légèreté. Si au moins elle avait résumé les choses avec détachement et humour. Là, où bien elle se jette des fleurs (je réalise un documentaire, il remporte un oscar, j’écris un livre, il devient un best seller…) ou bien elle plombe son récit avec des détails sans aucun intérêt. Exemple, son contrat de mariage qu’elle nous impose dans les moindres détails : « Chaque année où il ne me tromperait pas, et inversement, et où je n’aurais aucune raison de demander le divorce pour ce motif, je recevrais 40 000 dollars le 30 décembre, en plus du règlement de toutes nos dépenses courantes. Si je divorçais pour incompatibilité, ce qu’il acceptait de ne pas contester (clause imposée par mon avocat), que je l’aie trompé ou pas, je n’aurais droit à aucune pension, mais je conserverais tout mes biens, y compris les voitures, bijoux et autres cadeaux et, je toucherais une somme unique de 50 000 dollars. S’il me trompait j’aurais les mêmes voitures, bijoux et autres cadeaux et, en seul versement, 50% de sa valeur nette, dont il paierait les impôts (clause imposée par mon avocat) ». Franchement, qu’est-ce qu’on en a à cirer ? Même l’ambiance des années 80 à New York n’est que survolée. Beaucoup de drogue, une communauté gay omniprésente, un maximum de superficialité… Certes, et après ? Rien à sauver donc, ni l’écriture, ni l’histoire, et encore moins les personnages, tous plus barbants les uns que les autres.



Un livre boulet, de ceux que l’on se traîne pendant des jours, voire des semaines, avant d’en voir le bout. La lecture pénible par excellence !
Lien : http://litterature-a-blog.bl..
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Promenades avec les hommes

Sans intérêt !
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