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Citations de Audrey Pleynet (47)


J'avais honte, parfois, de n'éprouver aucune certitude, d'échapper à tout engagement.
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Enceinte, on m'avait parlé de la naissance comme d'une rencontre.
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Il regarda la base déserte sous un ciel de la couleur d'un caramel pâle.
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l'absence de regard m'engloutissait dans un noir profond.
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Les Humanias, ou du moins ceux qui en ont un grand pourcentage,ne sont pas télépathes. Mais nos pensées existent, et elles ne sont pas sans effet ...
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L'air change, tout change, de cette façon si magistrale qui fait le propre de la station.
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Tu es seule en toi ?Dans ton esprit ?Tu as éclot ici ?
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Alors ils décidèrent de transférer toutes les mémoires aux plus jeunes.
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Je sus alors qu'aussi loin qu'il me serait donné d'aller dans le temps et dans l'espace, je garderais en moi ce moment présent, appartenant pourtant déjà à un passé révolu. Il était porté par des paroles qui recelaient en elles, je le ressentais du plus profond de mon cœur, une part d'éternité.

Étoile noire, une nouvelle de Philippe Aurèle Leroux
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Certaines minutes de l'existence ont la densité des trous noirs : on en réchappe sans y croire ou y plonge par abandon.

Le Retour, nouvelle de Guillaume Casabianca
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Son tonton Robert gardait des graines pour le futur, car "la graine se souvient de l'arbre qu'elle va devenir" aimait-il dire en lui ébouriffant les cheveux. Elle trouvait cette idée très jolie. Alors elle profitait des vacances à la campagne pour préparer un paquet vers l'avenir.

No Future, nouvelle de Danü Danquigny
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Dans nos groupes, chacun affrontait son propre enfer d'addictions. Mais j'avais remarqué sa frénésie à consommer, à se perdre dans ses ondulations, tout en refusant de voir les yeux de Lou'Ny'Ha se teinter de tristesse – les ombres qui les recouvraient à travers l'or brumeux. Naïvement, parce que j'étais son amie, j'avais cru pouvoir comprendre une 'Ha.
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Almentryon et son progrès avaient cherché à m'anéantir en vain. Mon peuple et moi, nous allions continuer de survivre, envers et contre tout. L'avenir n'était pas fait pour nous. C'était le passé qui nous maintenait à la surface du monde et qui nous ramenait au Désert, à la terre de nos ancêtres.

Le Silence du Hâl, une nouvelle de Clémentine Charles
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Un matin, un ouvrier est absent lors de l'appel. Le voisin de droite d'Estelle explique juste qu'il a été considéré comme "obsolète", comme cette technologie qui faisait plus de mal que de bien, car elle offrait trop d'options, trop de matière à réflexion.

Quelques gouttes de thé, une nouvelle de Audrey Pleynet
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Les portes du wagon s'ouvrent, je descends de la rame pour rejoindre le chantier de la voie ferrée. Les gens qui travaillent dans cet endroit l'ont appelé "Terres grises", un nom bien trouvé, mais qui manque d'originalité : tout est terne ici, et le décor est uniformément tapissé d'une poudre fine qui ressemble à de la cendre ou de la poussière. Ni arbres, ni animaux, ni bâtiments, il n'y a strictement rien, juste des collines, des vallons et quelques plateaux. Même le ciel fait penser à la palette d'un peintre avant-gardiste dépressif et adepte du monochrome, sans soleil visible bien que la lumière diffuse d'une fin de journée perpétuelle baigne les lieux.

Terres Grises, une nouvelle de Philippe Deniel
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Tais-toi ! Quand on tape du pied pour être écouté, c'est que nos arguments sont pauvres.
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" Je donnerai bien toute ma cave,
sa fraîcheur, ses tonneaux et ses oubliettes,
pour jeter un œil dans mon futur,
en revenir hurlant et délirant de peur,
histoire de me satisfaire enfin du présent."

Taluc le grand buveur. Ode à jour d'hui

Le poissonnier du Hoc, une nouvelle de Thierry Marc
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Leur planète d’origine était un immense désert de roches et de falaises ponctué d’oasis luxuriants, mais où les habitants ne s’attardaient pas. Les ’Ha prisaient les étendues de cailloux et de sable, les rayons des soleils qui grillaient leurs écailles. Fins, intelligents, civilisés, terriblement empathiques et bienveillants, ils aimaient leur planète et en prenaient soin. Ils vivaient de peu.
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On dit que la nature a horreur du vide, le temps aussi, l'un comme l'autre s'adaptant aux circonstances quoiqu'il arrive.

Katastrophic Tour, une nouvelle de Lionel Pasquier
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Les poissons ne puent que lorsqu'ils sont hors de l'eau !

Le poissonnier du Hoc, une nouvelle de Thierry Marc
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