Ben Mazué

Grand Corps Malade & Ben Mazue sont de vrais hommes de lettres, de vrais chanteurs à texte. De là à devenir auteurs il y a un pas. Certes ils nous partagent ici, non pas un roman mais un échange épistolaire. Pourtant, il m'a manqué de la sincérité, de l'authenticité. S'écrire en vue de publier un livre par la suite, ça m'a assez vite dérangé. Où est l'intérêt ? Pour moi tout ça est pipé. Leurs échanges ne sont pas intimes et on le comprend, mais si c'était spontané, s'écriraient-ils les choses ainsi ? Je ne le crois pas non. J'ai souri, parfois mais sans plus et je n'y ai rien puisé de très intéressant. Je me contenterai donc de continuer à m'évader avec plaisir sur les airs de Ben Mazue et d'écouter les textes de Grand corps malade. En cela ils excellent clairement !

Une lecture que j'ai savouré, en parallèle de l'album "éphémère" de Grand corps malade, Ben Mazué et Gaël Faye.

À chaque fois qu'on lit un courrier, on pourrait se dire qu'il nous est presque adressé car Fabien et Ben parlent de leur quotidien, de la vie, de la scène, avec tendresse et souvent beaucoup de nostalgie chez Fabien et beaucoup de fragilité chez Ben.

J'ai vraiment adoré leurs délires sur le bowling, la bagarre et l'Australie... Au départ, c'est une idée qui paraît tellement farfelue, et au final, cela pourrait vraiment être un succès... J'adore !

J'ai été un peu déstabilisée au début car les lettres ne se répondent pas forcément, surtout au début. J'ai souvent été emportée et hapée par les mots de Fabien, avec son écrit slamant, qui fait rythmer les mots. J'ai souvent été émue par les mots bien choisis de Ben lorsqu'il décrit ses failles ou qu'il essaie de panser les blessures du monde.

J'ai passé un très beau début d'année ! Merci à vous Ben et Fabien !

Je les aime tellement, ces deux-là. Alors, forcément, lire leur correspondance, c'est comme avoir des nouvelles de proches qu'on aime beaucoup : on sourit, on est content, on a l'impression d'entendre leurs voix à chaque lettre. Ben Mazué est tel qu'on l'imagine, un peu torturé, un peu angoissé, un peu nostalgique. Et Fabien aussi : solaire, solide, "remonteur de moral". Leur correspondance matche. Un vrai bol d'air pur, même si j'aurais souhaité des thèmes plus personnels, des confidences, des choses plus intimes : ce format épistolaire le laissait présager.

Quand deux magiciens des mots s’écrivent et nous livrent leurs lettres, cela ne pouvait que me plaire.

J’aime particulièrement les textes, la poésie, le phrasé de Ben Mazué. Tout comme pour Grand Corps Malade. Les deux savent émouvoir, nous raconter le quotidien avec les bons mots. Les émotions sont transcrites à merveille.

Alors que vais-je bien pouvoir écrire sur leur livre « Les correspondants », leur recueil de leurs échanges épistolaires ? Vous dire que c’était magique de les lire. Vous dire que je me suis régalée. Que chaque phrase était douce. Que les lire se raconter, leur musique, leur tournée, leurs amis, c’est faire partie de leur clan le temps de ma lecture.



Les mots ont un réel pouvoir et savoir les manier est un don. Ben Mazué et Grand Corps Malade ont ce don et c’est un petit bonheur d’avoir pu lire leurs échanges.

Lire « Les correspondants » a été un moment suspendu où c’est réellement agréable.

On suit les échanges de ces 2 artistes, dans leur relation personnelle.

On apprend à les découvrir, à les connaître…

On suit une partie de leur quotidien personnel et professionnel.

On partage leur réflexion sur les sujets qui les traversent, et qui nous traversent également en lien avec l’actualité ou les questionnements du moment.



Un livre de correspondance intéressant, facile à lire et qui nous fait voyager…

Quel projet ! En 2021-2022, les deux chanteurs Ben Mazué et Grand Corps Malade se sont envoyés une cinquantaine de lettres, et ont publié ces échanges.

Pandémie, famille, inspiration, musique, concert, tournée ... ils évoquent leur quotidien, les choses qui les animent, leurs souvenirs aussi ... Si on aime la plume de ces deux auteurs, c'est un plaisir de les découvrir autrement que dans leur chansons. C'est simple et beau.

Ça fait un peu plus d’un an que les éditions JC Lattès m’ont envoyé ce livre. Il était temps que je le lise et d’ailleurs, si j’avais su que j’allais autant apprécier ma lecture, je l’aurais lu plus tôt. Quel plaisir de retrouver Grands Corps Malade et Ben Mazué dans ce format assez particulier de correspondance. Tout en sachant qu’ils allaient publier ce livre par la suite, rien ne les a empêcher de se confier, de faire part de quelques histoires et de moments de vie. J’ai trouvé ces échanges passionnants et j’ai adoré les lires. J’avais le sentiment d’être une petite souris dans ces lettres mais ça ne m’a pas dérangé, au contraire. On retrouve l’admiration qu’ils ont pour chacun d’eux mais aussi la passion qu’ils ont pour le métier. C’est à la fois passionnant et très plaisant à lire 😊

Est-il encore nécessaire de présenter Grand Corps Malade, slameur, ACI et réalisateur, Ben Mazué, musicien, ACI aussi et Gael Faye, rappeur, ACI too et écrivain ? M'est avis que non tellement nos 3 gaillards ont eu des succès incroyables et tous couronnes de prix.

Après un EP de 7 titres, Éphémère (très réussi !) ainsi qu'une BD, ce livre - prefacé par Gael Faye - Grand Corps Malade et Ben Mazué nous propose leurs correspondances.

Qui encore s'envoie des lettres manuscrites et reste dans l'attente douce d'une réponse (ou pas) ? Qui prends encore le temps, de laisser le stylo glisser sur un papier et mettre en mots ses pensées, donner ses nouvelles à l'autre ?

Si l'exercice peut paraître totalement désuet à certains, pour ces deux là c'en est tout autre.

Sans fioriture ni pause publique, ils s'écrivent et se racontent. J'ai pu franchement rire à certains endroits et souvent j'ai réalisé à quel point leurs personnalités ressortaient dans leurs missives.

La sensibilité, l'humour et l'admiration sans faille de Ben envers Fabien.

Fabien, rassurant et protecteur, une force tranquille. Mais tous deux avec leurs doutes, leurs souvenirs, quelques projections aussi de ce qui pourrait être leurs vies si tout s'arrête.

J'avoue avoir aimé lire ces quelques lettres, j'aurais même voulue qu'il y en ai plus, lire aussi un échange (s'il existe) avec Gael Faye.



*ACI : auteur compositeur interprète

Argh... Première critique de ce livre que j'attendais tant, quelle pression !



Ben Mazué et Grand Corps Malade.

Ces deux-là, je les adore, j'adore les textes qu'ils posent sur leur musique.

La virtuosité de Grand Corps Malade, le rythme de ses phrases. Sa façon d'amener de l'émotion avec une jolie pudeur. La chanson "Dimanche soir" qui me mouille toujours un peu les yeux tellement chaque fois elle me fait prendre conscience de la chance que j'ai moi aussi de ne plus avoir peur du dimanche soir.

La sensibilité de Ben Mazué. Sa façon de jouer avec les sonorités. De conter des histoires, de croquer des portraits, de dévoiler ses doutes. La chanson Divin exil, qui me donne envie de mettre les voiles ou J'écris qui exulte de tout ce que Ben met dans ses chansons.



Oui, vraiment, je les adore.

Alors quand ils décident, de façon un peu vintage, de s'écrire des lettres, tous les deux, franchement, les attentes sont très très hautes !



J'avoue, je m'attendais à des textes hyper travaillés genre textes de chansons. Mais non. Les deux potes se sont écrit de manière assez spontanée je pense, sans chichis, en toute humilité, en toute sincérité.



J'ai retrouvé un Ben qui observe le monde qui l'entoure et se pose des questions sur la façon dont il s'insère dans ce monde là. Un Ben qui se met à nu, se livre à son pote. Avec parfois la touche d'autodérision qui va bien. Et en le lisant, j'avais presque l'impression de l'entendre dire son texte, comme pendant ses concerts.



J'ai trouvé un Fabien solide, ancré dans ses valeurs et sûr de qui il est mais pas du tout pétri de certitudes. Un mec rassurant et positif qui sait à tout moment faire un pas de côté et se rappeler pourquoi il est là. Et en le lisant, j'avais presque l'impression d'entendre sa voix enveloppante et chaude. Sa "médicavoix".



Ce qui jaillit de manière évidente de cet échange épistolaire, c'est la vraie belle admiration que ces artistes ont l'un pour l'autre mais aussi pour les hommes qu'ils sont. J'ai trouvé une complicité non feinte et une amitié en rien superficielle.



Je n'ai pas trouvé ce à quoi je m'attendais.

Mais le plaisir que ces deux-là ont pris à s'écrire a tout simplement transpiré dans leurs échanges et s'est transformé en un grand plaisir pour moi de les lire. Tout simplement, très humblement et sincèrement.

C'était grisant de me retrouver, telle une petite souris, à profiter tranquillement des échanges, des réflexions, des états d'âme de ces 2 artistes français que j'apprécie beaucoup au travers de ces lettres rédigées entre février 2021 et juin 2022.



En vrac, forcément, ils ont échangé sur l’actualité du moment, notamment sur le Covid-19 (oui, moi aussi, Fabien, je dis LE Covid 😉), sur la guerre en Ukraine, les élections présidentielles et l’abstentionnisme, le système scolaire en France aujourd'hui… Comme on le fait tous, en fait…

Evidemment, ils évoquent leurs parcours musicaux, des débuts hasardeux dans des caves ou des petites salles, résultants de changements de trajectoire et d’adaptation aux aléas de la vie, à leur actualité leurs tournées respectives qui ont enfin pu reprendre… Leurs projets, leurs idées, leur passion pour l'écriture et le partage de soi dans leurs textes, les Victoires de la Musique, leurs potes et leurs « bureaux »…



« 2 séductrices » tiennent une grand place dans leurs lettres : la scène et la route. Le public et les fans ne sont pas en reste non plus : les 2 artistes sont à l’unisson concernant le sentiment d’énergie et d’amour reçus lors des concerts, qui sont leurs moments préférés. Des émotions fortes, « orgasmiques », mais sans nier la fatigue que procure une tournée dense de Zéniths, les Bercy, les festivals. Bref, très conscients des bons côtés de leur métier, ils ne cachent pas non plus ses aspects moins sympas.



Grand Corps Malade et Ben Mazué, même s’ils n’ont pas tout à fait le même placement de taquets de l’intime et du personnel, même s’ils ne sont pas forcément d’accord sur les limites à ce qu’il faut livrer d’eux dans leurs textes, partagent évidemment une part d’eux dans leurs lettres : ils racontent des passages de leur vie, les problèmes d'ego ou au contraire de confiance en soi, évoquent leurs parents ou leurs fils respectifs, leurs principes d’éducation et leur façon d’aborder la paternité, les semaines A/ les semaines B, ils débattent littérature et des 7 actes de la vie d’un homme à la suite d’une tirade de Shakespeare…



Ils se soufflent des sources d’inspiration comme Ray LaMontagne (que justement j'ai moi-même découvert il y a quelques mois dans la BO de L’Ascension), ou des sources d’admiration, pour les pères comme pour leurs fils, envers les génies dans leur domaine que sont Michael Jackson, Michael Jordan, Mbappé…



En vrac, encore, seront également cités la Réunion, le sport, les réseaux sociaux, les métavers, le milieu hospitalier qu'ils ont chacun côtoyé, l’un comme soignant, l'autre comme soigné (d'ailleurs, ça m'a rappelé que je n'ai toujours pas vu « Patients », il va falloir que je remédie à ça !), les histoires d'amour dingues de proches dignes des meilleurs films romantiques…



Enfin, le plaisir de découvrir les textes de nouvelles chansons… en plein délires créatifs ! Et des photos au coeur du livre.

Une pépite. Des lettres sans date. Un cher pour un rien. Des histoires émouvantes qu’on a envie de raconter. Dont on se souvient. Les groupes Whatsapp j’ai en aussi mais beaucoup moins. Des points communs. Mais il n’a pas dit le titre de la pièce de théâtre !! Je cherche sur Google et je l’achèterai. Si vous me lisez Ben et Fabien sachez que vous allez me manquer et que j’ai aimé lire vos échanges sans avoir à péta dans les boîtes aux lettres comme quand j’étais petite dans ma tour à Bobigny !

Je ne suis pas une très grande connaisseuse de Grand Corps Malade et de Ben Mazué. Si j'ai pu apprécier quelques unes de leurs paroles, je ne suis ni fan, ni vraiment attirée par le milieu musical. Quant à l'échange épistolaire, ce n'est pas trop ma tasse de thé. On se demande donc pourquoi je suis allée vers ce recueil de lettres que les artistes se sont échangées sur une période de quinze mois. Ma curiosité l'a emporté sur mes aprioris et j'ai picoré, par morceau, ces tranches de vie simples, drôles et parfois touchantes. Une agréable surprise.

J'ai une tendresse particulière pour ces livres qui n'ont pas de manière. Ces livres dont les auteurs prennent autant de plaisir à les écrire sans forcément penser à être édités. Ces livres dans lesquels ils se dévoilent (un peu), m'émeuvent (beaucoup), me donnent le sourire (souvent).



J'ai une tendresse particulière pour ces deux artistes qui jouent avec les mots avec une facilité déconcertante.



J'ai une tendresse particulière pour ces artistes qui se disent qu'à 2 ça peut être encore mieux. Sans vouloir écraser l'autre, juste dans le partage, pour que tout s'allume en quelques pages.



Ben et Fabien...

C'est 2 là je les suis depuis leurs débuts, quand ils commençaient à être dans les hit parades.

Mais c'est 2 là viennent de me faire vivre un moment livresque magnifique. J'ai retrouvé la plume de leurs chansons, j'avais presque envie de mettre en musique leurs lettres, et pour sublimer le tout ces lettres les dévoilent pudiquement.

Comme dans ses chansons, comme sur scène, Ben Mazué semble poétique, torturé, à fleur de peau, élégant, écorché, timide, inquiet et parfois très drôle...(j'adore cet artiste...je crois qu'il est dans mon top 5 des chanteurs français).

Face à lui, Grand Corps Malade est philosophe, optimiste, bienveillant, drôle, touchant, profondément humain et reconnaissant malgré les épreuves de la vie...(cela fait des années que je rêve de le découvrir sur scène et après la dernière page lue cette envie est encore plus présente).



J'ai adoré leur correspondance, leur plume sans la volonté de jouer, paraître ou de faire le buzz. J'ai lu des passages à haute voix après le petit-déjeuner (ça m'a d'ailleurs mise en retard au boulot) pour rendre leurs textes encore plus vivants, plus vibrants.



Aujourd'hui je veux leur rendre hommage en leur disant qu'il m'est dommage de ne le faire que sur insta ou Babelio.

Ce livre de correspondances paru aux Editions JC Lattès regroupe des lettres échangées entre Grand Corps Malade et Ben Mazué pendant plus d'un an.



Drôle et sincère, cette correspondance est à la fois intime et universelle... peut-être encore plus si l'on est parent.

Les sujets abordés dans ces 53 lettres sont nombreux : la parentalité, le quotidien d'artiste, les tournées, les réseaux sociaux, le confinement, le quotidien...



Une lecture touchante qui fait beaucoup de bien !

Humanité et bienveillance ❤



Ce livre, c’est l’occasion pour moi de vous parler de la plume de ces artistes, que l’on connaît si bien avec leurs chansons. Ce n’est plus à prouver, ils manient les mots à la perfection et sont capables de créer des textes poignants, poétiques et universels. 🖋



Même si Grand Corps Malade et Ben Mazué écrivent avant tout des bouts de leurs vies, on a cette impression que ce sont une partie des nôtres aussi.

C’est ce qui rend ce livre si particulier. Cette capacité à décrire ce que chacun de nous peut ressentir. Faire d’une histoire personnelle quelque chose d’universelle. C’est le point commun de tous leurs textes. Ils en sont persuadés, c’est dans le collectif que l’on puise notre force « parce que seul on va plus vite mais ensemble on va plus loin ».



Ce livre, c’est la concrétisation d’une idée lancée entre potes. Des artistes qui sont amis à la scène comme dans la vie. 🎶

« Les Correspondants », c’est l’occasion pour eux de se livrer sur leurs doutes, leurs familles, leurs tournées, tout ce qui rythme leurs vies.



Alternant à la fois humour mais aussi mélancolie, ils nous plongent dans un roman intimiste et touchant. Ils nous permettent, le temps de quelques instants, de découvrir ce lien qui les unit. On y retrouve l’humanité et la bienveillance qui les caractérise tant et que j’admire chez ces artistes.



*



« Après tout s’il avait fallu qu’on attende de savoir si nos idées aboutiraient avant de les initier, on n’aurait pas fait grand-chose »



« On n’est pas obligé de paraître différent pour être singulier. Il n’y a que ceux qui ont besoin d’être différents, qui essaient de le paraître tout le temps. Les gens vraiment différents ne font pas d’effort particulier, ils savent que c’est déjà assez chiant comme ça »



*

Mais quelle belle surprise que cet ouvrage ! !

Voilà 2 artistes que j'aime particulièrement, chacun pour leur style si affirmé.

Et leur échange épistolaire est à l'image de leurs chansons, vrai, simple et sincère.

Un vrai bonheur de les lire... et c'est assez drôle, on entend presque leurs voix....

Quand je suis entrée dans la médiathèque,en tête de gondole ce livre...

Grand corps malade...autant vous dire de suite que j'apprécie énormément ses textes et ce que l'homme dégage.

Pour être honnête,je ne connaissais pas du tout Ben Mazué 😅

Eh oh ça va,je suis allée écouter ses musiques et un ptit tour sur google pour savoir de qui on parle quand même.

Bon maintenant,"je sais" qui est Ben et pas mal je dois dire...

Quelle sensibilité la vache,il m a fais monter les larmes aux yeux plus d'une fois autant dans la correspondance qu'en l'écoutant.

Je le vois bien toujours dans la lune,un grand rêveur et idéaliste alors que Fabien je le vois plus au taquet,que ça bouge et que ça rigole.



Alors non ce n est pas le livre de l'année mais je pense que c'est à lire.



Perso,je ne trouve pas que ça soit un trip égocentré,j'ai aimé me retrouver assise sur un banc avec eux à savourer leurs échanges.

Ça se lit quasiment d'une traite,j'ai aimé leur façon d'écrire sans trop en faire,en étant eux mêmes.



J'ai été émue quand Fabien racontait à Ben ce qu'il ressentait sur scène,j'ai ri avec le passager du métro "Je vous ai reconnu,vous êtes Bénabar" 😂😂,j'ai ri aussi avec leurs expériences sur les réseaux sociaux et les noms de leur groupe WhatsApp (y'a du lourd quand même 😂)



Quand ça a commencé à parler pandémie,confinement,ça a réveillé de mauvais souvenirs et en même temps ils m'ont mis une petite tape sur la main du style "Ben oui,nous aussi on en a chier".

Leurs retrouvailles avec leur public,quand les salles ont enfin pu rouvrir,c'était magique à lire.



Bon je ne vais pas tout raconter non plus sinon il n y a plus d'intérêt à découvrir cette correspondance qui nous laisse apercevoir la vie de ceux que nous apprécions à travers nos écrans.

Fabien pour moi est un survivant,un battant,j'en suis très admirative comme je suis admirative de chaque personne ayant vécu quelque chose de dur,que ça soit la maladie,un handicap,une dépression,un deuil...etc et qui se relève encore plus fort et plus brillant. Mais les autres je ne les connais pas donc je parle de Fabien là et de Ben (sa maman,son divorce)...puisqu'eux je "les connais"...un peu.



Bref,à lire,c'est émouvant,drôle,instructif,motivant et j'en oublie.

Ah top les photos aussi (et en plus ils sont beaux! Mais que demande le peuple?!)

Le coup des selfies excellent aussi 😂😂😂

Et je me mets à leur place,ça doit être gonflant desfois même si on apprécie son public.

Bon je vais m'arrêter là quand même.



Veuillez accepter messieurs cette déclaration : "Merci" 🙏🥰😍

Je n'ai pas été très fan de ce livre. Cependant réaliser que personnes utilisant les réseaux sociaux comme outils de communications personnel et professionnel puissent redécouvrir le plaisir simple d'une correspondance m'a touché. Dans un monde sans cesse en recherche de progrès et de modernité, la quête de l'authenticité est toujours un exutoire.

Le livre est sympathique, les auteurs sont attachants. On y apprend quelques éléments intéressants sur la vie d'artiste moderne.

J'ai apprécié leurs échanges sur l'art, leurs parcours, leur vie.

Bref, un livre agréable à lire si vous aimez Ben et Fabien.

Quand j'ai lu la 4ème de couverture, ça m'a fait beaucoup rire. Ça commençait bien ! Ce livre s'est alors retrouvé dans ma PAL...

Les auteurs y ont contribué : Grand Corps Malade (des textes excellents), Gaël Faye pour la préface ("Petit pays", un roman poignant) mais Ben Mazué, je ne connais pas... (oh mais quelle erreur ! )

Si certains trouvent peut-être ce livre trop égocentrique, je l'ai lu comme un partage de morceaux de vie, une amitié partagée dans laquelle on nous fait une petite place.

Chacun a un parcours de vie particulier et c'est un plaisir de découvrir leur quotidien d'artiste, d'homme, de père, d'être humain tout simplement, avec les réflexions, les questionnements, les failles et les doutes que chacun porte en lui.

C'est intéressant, drôle et touchant.

Je termine cette correspondance et j'ai juste envie de poursuivre en plongeant dans leur univers musical et pourquoi pas d'être là à leur prochain concert !