Citations de Brian Jacques (26)
_"[...] Tu devras toujours te souvenir que ce n'est pas l'arme mais bel et bien celui qui la porte qui fait sa force. Une épée n'est utile qu'entre les pattes d'un guerrier honnête."
"...mieux vaut de faux espoirs que pas d'espoir du tout [...]."
"Ils m'ont retenu prisonnier dans une salle appelée infirmerie. Oh, bien sûr, ils ont prétendu qu'il s'agissait seulement de me soigner, mais je n'étais pas dupe. Quel que soit le nom de l'endroit où on l'enferme, un détenu est un détenu du moment qu'il est privé de sa liberté."
"Décidément, il n'y a pas de place pour un honnête voleur de nos jours !"
"tant de blessures doivent guérir...Ce sera l'oeuvre du temps [...]."
"A coeur vaillant, rien d'impossible [...]."
"Il n'existe pas plus grand fléau que le recours à la violence et à la tuerie. ¨Peu importe qu'on appelle cela la guerre ou la justice. La vie demeure précieuse pour tout le monde."
_"Seigneur Dracalu, je ne peux pas rester là sans rien faire, alors que mon ami court peut-être un grave danger.
[...]
_Je sais, je sais. Tu ne serais pas un véritable ami, sinon. Alors, viens avec moi. Nous allons le chercher ensemble."
_"Tu te défends bien en paroles [...] mais les mots n'ont jamais fait gagner les guerres !"
_"Ne vois pas tout ce que tu vois, Brocus. Tu portes une épée, mais ça ne fait pas de toi un soldat pour autant."
LA LÉGENDE DU HOLLANDAIS-VOLANT... Qui sait comment tout cela a commencé ? Durant des siècles, plus d'un matelot jura qu'il avait vu le vaisseau fantôme fendant les mers agitées par les tempêtes et poursuivant sa course interminable sur les grands fonds des vastes océans.
[...]
Le Hollandais-Volant !
[...]
Servi par un équipage de silencieux fantômes pour lesquels le temps et les éléments n'ont pas de fin. [...] Lié à l'océan pour l'éternité. Pour quel effroyable crime ? Quel loi tacite humaine, naturelle ou divine a-t-il violée ? Quelle affreuse Némésis les a condamnés, lui [le capitaine], son équipage et leur vaisseau ?
Qui sait comment tout cela a commencé ?
Les deux seuls survivants !
Je prends ma plume pour vous raconter cette histoire.
Cluny sauta au milieu de ses troupes en brandissant sa bannière à bout de bras. Dans un hurlement formidable, la horde se mit en marche vers l'abbaye de Rougemuraille. (p.126)
L' épée légendaire
Cluny le fléau , un rat sanguinaire, attaque l'abbaye de Rougemuraille peuplée de souris, d'écureuils et de blaireaux accueillis par l'abbé Théodore. Pendant ce temps ,Mathieu, un jeune souriceau, tente de retrouver l'épée de Martin le guerrier (qui fut jadis le fondateur de l'abbaye) pour la défendre de Cluny.Avec son ami Mathusalem, il devra résoudre de nombreuses énigmes et épreuves pour arriver à ses fins. Mais Cluny le fléau,rassemblant son armée dans la forêt, est diabolique et prépare une nouvelle attaque…
J'ai aimé ce livre car à chaque fin de chapitre, il y a du suspense , dans le chapitre d'après, l'action se passe autre part et le suspense est repoussé.Du coup, lecteur reste sur sa fin.
J'ai aimé les péripéties engendrées par Mathieu et Mathusalem pour retrouver l'épée comme la dangereuse escalade de Jeannette Escurol sur l'abbaye et les énigmes du texte de Martin le guerrier.
J'ai aimé le caractère de certains personnages comme Dame Blaireau car elle a plus de force qu'il n'y paraît ou Basile le-lièvre cerf pour sa tendance à la provocation.
Ce livre fait partie du monde fantastique car il y a des amimaux qui parlent.
« Mes portraits ne sont pas comme les autres. Quand je dessine quelqu'un, homme, femme ou enfant, la vérité est contenue dans mon dessin. Je ne peux pas faire autrement : bonté, méchanceté, tromperie, envie, amour, tendresse ou cruauté, toutes ces choses sont révélées par mon oeuvre... c'est comme si je pouvais voir dans le coeur et l'âme de ceux que je dessine. »
"Creuse-en-Chef se leva et s'approcha de la table. Il saisit les deux morceaux du bol en bois et le brandit :
_Comm' qui dirrait qu'on est un peu comme c'te rrécipient...Quand on est séparrés, ben on n'serrt pas à grand-chose. Mais quand on s'rrassemble, ben c'est là qu'on d'vient utiles, pardi !"
_"Il faut bien que la vie suive son cours. Un gîte, un bon feu, de quoi manger et une bonne nuit de sommeil, voilà tout ce qu'il nous faut."
"Quiconque voit par le toucher n'est pas aveugle."
_"Traitons chaque problème l'un après l'autre, conseilla Bella. Tout d'abord, il nous faut un bon espion qui nous tienne informés. Connaître l'ennemi, c'est connaître ses faiblesses."
_"Je pense que toutes vos idées sont bonnes et censées. Il faut les essayer. Mais on ne trouve pas la paix comme une poignée de noix ou une pomme qui vient de tomber de l'arbre."
"Le vieil abbé avait l'art de tout simplifier. Mais, après tout, les meilleures réponses ne sont-elles pas les plus simples ?"