Bryan Lee O`Malley

On me disait souvent que Scott Pilgrim c'était "trop bien". Alors j'ai lu ce premier tome. Le concept est sympa, les dessins sont expressifs et facilement lisibles. Ce n'est pas non plus un coup de cœur, mais puisque l'on me les prêtes, je vais lire la suite.

Un comics fantastique original, j'ai mis du temps à rentrer dans l'histoire mais une fois plongée dans l'intrigue, je n'arrivais plus à lâcher le livre. Le trait est efficace, j'ai apprécié le travail des couleurs. J'aime l'univers et les personnages de l'auteur que j'avais découvert avec Scott Pilgrim.

Un club de lecture que j’apprécie tout particulièrement, Comic Whales, avait fait un fantastique récap en juillet des bandes dessinées recommandées et lues jusque là, l’occasion pour moi d’allonger ma liste de futurs emprunts à la bibliothèque, Seconds faisait partie du lot ! Une très bonne occasion de découvrir le travail de Bryan Lee O’Malley puisque je n’ai jamais lu Scott Pilgrim.



J’aime beaucoup le petit format du livre, mais aussi le dessin « simple » (tout est relatif hein, mais ce sont plutôt des gros traits sans trop de détails) et expressif à la fois, qui permet aussi de se concentrer finalement sur les aspects importants. En plus, les couleurs sont pétillantes et permettent de faire passer beaucoup de choses !



L’idée du comics est assez « classique », le fait d’avoir la possibilité de changer le passé et de réparer une erreur nous a probablement traversé l’esprit à tou·te·s mais ici le traitement va jusqu’au bout des choses, avec en plus un grain de fantasy qui n’est pas malvenu !



L’héroïne que l’on suit est assez égoïste, très humaine finalement et va enchaîner les mauvaises décisions. Finalement, au lieu de se servir de sa deuxième chance à bon escient, elle en abuse jusqu’à un point critique. Mais ce qui est intéressant c’est qu’elle finit par se rendre compte de ses erreurs et elle les assume, afin de pouvoir faire son possible pour les réparer – sans artifice cette fois-ci. À la fin décide tout de même de faire tout son possible pour réparer ça. Histoire d’amour au milieu mais semblait pas sérieux en fait si, dommage, tenait plus du ressort comique donc ça sort un peu de nul part.



Tout en abordant des éléments de fantasy, que ce soit le mystère du début ou l’existence d’esprits qui ont des pouvoirs, Seconds aborde également des sujets très concrets et réels, tels que la difficulté de faire des choix qui semblent équivalents mais qui peuvent mener à des chemins drastiquement différents. Ou encore les méandres de l’entrepreneuriat et de tout ce que cela implique. La difficulté de maintenir une relation amoureuse dans le cadre du travail – même si je trouve par ailleurs que ladite relation n’est pas traitée au mieux et tient plus du ressort comique qu’autre chose.



Je ne savais pas à quoi m’attendre en commençant ce livre mais j’ai passé un très bon moment de lecture !
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Un tome qui passe encore entre moments du présent et flashbacks. Des souvenirs de Scott mais aussi de certains de ses amis (des ex pour la plupart) comme Kim, Ramona ou Envy. Et Scott est toujours le gentil garçon qui vit de musique et d’amour (en gros) et surtout de l’aide de son coloc. Car oui, Scott ne possède rien à part sa gratte (et même là, c’est pas vraiment la sienne).



Toujours pour pouvoir continuer à sortir avec Ramona, il doit se débarrasser des ex maléfiques de cette dernière. Dans cet épisode, il s’agit d’un beau gosse, bon guitariste, m’enfoutiste, et soi-disant végétalien ! Ce mec fait partie du groupe de la star du rock Envy qui revient pour donner des concerts. Envy est la grande ex de Scott. Grande, dans le sens, la pire des ruptures possibles du monde et de l'univers tout entier.

D’ailleurs, il va s’en prendre plein la poire notre Scott, et pas seulement physiquement. Quelques dialogues ou situations suffisent à lui saper le moral : genre revoir une ex dont la rupture a été difficile. Comme on peut s’en douter, Ramona ne va pas spécialement aimer voir son Scott le cœur en miettes. Et cela va être le clash fatal entre Ramona et Envy ! Une affiche qui déchire !



Un tome sympa ! Franchement ! C’est sarcastique, c’est drôle, c’est prenant, c’est énergique ! Pas de temps mort. Du blabla, mais du bon blabla. Comprenez par là que les piques fusent d’un personnage à un autre. Et puis ça part dans des délires qui font que ce comics est carrément meilleur que le film (ce dernier est bon, très bon même dans son genre) ! Le film va trop vite à l’essentiel (bon il faut condenser 6 comics en moins de 2 heures), là, ça explique tout le passé et les relations de Scott et même chose pour quelques autres personnages.

Bref c’est à lire (et dire que j’écris ça à partir du tome 3…).

Un tome qui pour moi fait épisode de (re)présentation. On a le droit à un bon flashback sur Scott (et Kim, batteuse de son groupe et ex par la même occasion). Il « arrive » à rompre avec sa lycéenne pour pouvoir sortir avec Ramona, dont il a toujours six ex maléfiques à battre (sur sept). Et il va d’ailleurs s’occuper d’un durant ce tome. Il s’agit d’un acteur, pro de skate, avec un gros ego. Et la résolution de l’affaire se fait assez facilement. Trop peut-être ! Cela reste fun à lire.

Scott est toujours sympathique par son côté à tombé amoureux au premier regard et aussi par ses maladresses et ses peurs, entre autres : savoir largué une fille, présenter sa nouvelle petite amie à ses amis, ses cheveux trop longs et l’histoire d’une de ses ex, Envy, chanteuse, qui revient avec son groupe en ville pour quelques dates de concert. Ce qui va démoraliser notre héros.

J’ai cependant trouvé que le récit s’essouffler légèrement avec le petit arc sur Knives (l’ex avant Ramona) qui vient se battre contre Ramona pour tenter de récupérer son Scott. Bon par contre, cela donne une jolie dose d’action. D’ailleurs, il faut reconnaître que les expressions faciales sont bien adorables. Voir Scott se prendre le chou pour un rien, c’est toujours sympa.

C’est un comics humoristique et pourtant on prend un malin plaisir à voir Scott devoir se dépatouiller de ses différentes situations plus ou moins dérangeantes ou fantasques. Certains dialogues sont aussi bien sympathiques. Pas mal d’humour assez bien tourné.



C’est avec ce tome que l’on se rend compte des différences qui existent avec le film. Dans ce dernier, pas de flashbacks, et on a l’impression que toute l’action se déroule en quelques jours alors qu’en fait, plusieurs peuvent se passer dans le même tome. Bon, en même temps, dans l’adaptation, c’est pour rendre le tout plus vif. Ce qui n’est pas mauvais non plus.

Comme probablement quelques (un tas de ?) lecteurs, j’ai découvert ce comics en ayant vu le film éponyme par Edgar Wright, enfin dans un premier temps, ce fut par l’entremise de l’émission Crossed de Karim Debbache (https://youtu.be/YmGNOqCFKLs) qui m’a juste donné envie de m’installer devant ce film ! Donc oui en regardant cette bonne vidéo je me suis pris des spoils mais ça en valait la peine. Car le film est bon, divertissant, plein d’entrain et que la lecture de ce premier tome m’a bien faire rire et sans être ennuyé de connaître déjà l’histoire !

Scott Pilgrim, c’est un jeune homme de 23 balais, sorti de l’adolescence, un peu perdu, qui « vit » de sa musique (entre deux jobs, soi-disant), qui sort aussi d’une rupture assez rude et qui après un long moment commence à sortir avec une lycéenne. Sous l’œil critique de ses amis musicos, de son coloc gay et de sa petite sœur un peu plus les pieds sur terre. Jusqu’au jour où il rencontre Ramona. Américaine, ayant de la répartie, venue travailler au Canada, faisant du roller même en hiver, au look accrocheur. Et avec un passé qui va s’interposer entre elle et Scott. Ce dernier va devoir se défaire des sept ex de la punkette si il veut continuer à sortir avec Ramona. Des combats vont avoir lieu comme dans certains jeux vidéo où à la fin le vainqueur gagne des pièces. Pourquoi combattre ainsi, on en saura rien mais c’est fun ! Voilà le thème de ce comics, fun humour, plaisir !

Donc à la fin de ce premier tome, il bat le premier des ex. Pas le plus difficile mais il pose quelques bases ! Du moins il met Scott face au fait qu’il aura encore six boss à mettre à terre s’il veut continuer son aventure avec Ramona. Mais cette dernière ne semble pas encore avoir dévoiler un gros secret (sa tête/son expression quand elle ment est assez impayable).



Ce premier tome met bien dans l’ambiance. On entre direct dans le sujet. Scott est sympathique à suivre. Ramona n’est pas mal non plus ! Les dessins sont bien en rondeurs pour les personnages, une approche bien manga dans un comics. En même temps, c’est une série humoristique alors pas besoin de détails précis. Et les visages restent bien expressifs. C’est « simple » mais ça marche Et puis ça se passe au Canada, donc il y a plein de neige et ça j’aime bien (oui il me faut pas grand-chose) !

Scott Pilgrim est un jeune adulte de 23 ans, bassiste dans un groupe de rock. Il est entre deux jobs, et cette période s’étire de plus en plus. Il est un peu paumé dans la vie, mais moins que moi, du coup ça me rassure. On va évoluer dans un univers post-adolescence, parsemé d’une bonne grosse couche de pop-culture, d’un bon milliard de références musicales et vidéoludiques.

Il sort depuis quelques jours avec Knives Chau, une lycéenne de 17 ans qu’il a rencontré dans le bus mais il va bientôt faire la connaissance d’une autre fille, qui porte des rollers aux pieds, des cheveux roses et le doux nom de Ramona Flowers et notre héros en tombe éperdument amoureux.

Tout se complique donc dans sa vie, étant donné qu’il sort avec deux filles en même temps, plus par flemme de larguer Knives que par goujaterie. Jusque-là, c’était une histoire d’amour simple, banale, barbante… mais la complication continue : Ramona est sortie avec des types peu fréquentables, qui se sont réunis en une ligue maléfique. Pour sortir avec Ramona, Scott va devoir les battre et le premier nous est présenté dans ce tome : Matthew Pattel, pirate de son état. Pendant un concert, Scott et Matthew vont donc se battre et Scott va le vaincre. Un sur sept. Et le tome se finira sur un baiser entre les deux tourtereaux.



Bref, ce tome est génial. Les personnages sont attachants : Scott, bien entendu, Ramona, mais aussi Wallace, le colloc gay de Scott aux apparitions aussi fugaces que drôles, la sœur de Scott et son groupe de rock. Le scénario n’est pas très compliqué, mais on ne lui demande pas d’être compliqué. Le dessin est dans un style manga, qui passe très bien : je trouve que les bizarreries passent mieux comme ça… Personne n’accorde de crédit à une autoroute subspatiale dessinée à l’occidentale. On aura même à la fin le plaisir de découvrir la genèse de l’œuvre, des personnages (souvent tiré des gens qui gravitent autour de l’auteur) et de quelques références qu’on avait pas décelées qui parsèment l’ouvrage, des photos des lieux de l’histoire…



On passe un très bon moment, on rigole et c’est tout ce qui compte.

Scott Pilgrim est l’archétype même du loser attendrissant. Il a vingt-trois ans, un groupe de rock pas franchement bon, pas de boulot – ou plutôt, il est « entre deux boulots » depuis bien trop longtemps – et il sort avec une lycéenne chinoise. Pas de quoi fouetter un chat quoi. C’est alors qu’arrive Ramona Flowers, la fille la plus cool de l’Univers. Américaine, livreuse pour Amazon et surtout, qui apparaît très mystérieusement dans ses rêves. Notre Scott va tomber sous son charme instantanément sauf que Ramona possède sept ex-petits-amis maléfiques qui ont bien l’intention de barrer le chemin du bonheur aux deux tourtereaux. Voilà comment commence la série la plus loufoque qui m’ait été donnée de lire cette année.

Ne cherchez pas à garder les pieds sur Terre avec Scott, parce que vous risquez de rester sur le carreau. Partant d’un univers qui ressemble au nôtre, l’auteur intègre des événements qui sortent du cadre de la réalité pour entrer dans celui d’un jeu vidéo. On oscille constamment entre le réel et le jeu, pour le grand bonheur du lecteur qui s’est laissé emporter par la dinguerie de cette histoire. Pourtant les moments de vie quotidienne entre chaque combat, les questionnements de Scott sur tous les aspects de sa vie permettent de ne jamais complètement quitter le monde réel. Les pages se tournent, sans que l’on sache par avance quelle sera la nouvelle étape de la quête d’amour de Scott pour Ramona.

pscottower-of-love1Bryan Lee O’Malley a créé son comics en y assimilant tous les ingrédients qui lui permettaient de rassembler autour de lui une génération entière. Chaque tome est rempli de références, à d’autres comics, à des mangas, à des jeux vidéos et à tout un univers dit de « geek ». Honte sur moi, j’ai plusieurs fois eu du mal à saisir les jeux de mots et autres blagues, n’ayant pas les références qu’il fallait pour cela (merci aux copains plus accro que moi pour les explications). Pourtant, ça ne m’a pas empêché d’en rire à en tomber de mon lit, parce que le comique de situation était déjà excellent en lui-même. Le scepticisme des personnages, qui se rendent compte qu’ils ne sont que des personnages et y font plusieurs fois références, permet aux lecteurs d’accepter que des choses improbables soient possibles dans le monde presque-réel de Scott.
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L'auteur de Scott Pilgrim, Bryan Lee O'Malley, nous offre ici, une superbe histoire avec les même dessins qui ont fait le charme de son grand succès (avec les couleurs, chose que j'apprécie beaucoup)

Histoire qui n'a l'air de rien d'extraordinaire et pourtant qui part sur un concept excellent. Nos fameux et si...

Et si j'avais continuer de sortir avec lui...

Et si je n'avais pas choisi cet endroit pour mon futur restaurant.

C'est un magnifique conte que nous livre l'auteur. J'aurais presque envie de moi aussi prendre soin de l'esprit de la maison pour que son petit chez soi reste un lieu où l'on s'y sent bien.

La conclusion est juste magique et la morale nous montre que ces choix, on n'a pas besoin de les rêver avec des si...

Un livre à mettre dans de nombreuses mains et à ne pas garder pour soi !

Je le conseille.

Après le surprenant premier volume, Scott Pilgrim revient dans un épisode qui laisse moins de place à la surprise mais qui est tout aussi efficace.

On retrouve le mélange singulier entre BD, comics et mangas ainsi que l’humour prédominant du premier opus. D’ailleurs, si vous ne l’avez pas lu, l’auteur n’hésite pas à vous demander de le faire au détour de certains dialogues (« comment vous vous êtes rencontrés ? » « Bah, t’as qu’à lire le livre à l’occase »). Dans cet opus, il doit trouver et battre le deuxième ex maléfique de Ramona. Il n’aura d’ailleurs pas grand mal à trouver ce Lucas Lee, ce qui donnera lieu à une scène hilarante qui casse le cou à pas mal de cliché.

Pas de grande surprise donc mais ça reste toujours aussi efficace et il me tarde de voir le troisième opus, qui sortira à la mi-septembre.
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Entre le film qui devrait sortir dans nos salles durant le mois de décembre (j’en reparlerais, la bande-annonce m’ayant laissé un sentiment mitigé), et le jeu PSN made in Ubisoft qui s’annonce pas mal du tout, on peut dire que Scott Pilgrim a le vent en poupe ces derniers temps. A l’origine de tout ça, une BD (j’avoue que j’ai longuement hésité avant de choisir le terme, on verra pourquoi) un brin déjanté décliné en 6 tomes, qui seront regroupé en 1 seul film. Voyons voir ce que vaut « Precious Little Life », le 1er tome de la BD.

L’histoire de Scott Pilgrim est déjà bien particulière : Il a 23 ans, sort avec une jeune lycéenne asiatique de 17 ans, habite dans un appart loué avec son collocataire (gay) et joue dans un groupe. Tout va bien jusqu’à ce qu’il rencontre, dans un rêve, une fille dont il va immédiatement tombé amoureux. Le lendemain, il la voit, cette fois-ci en réalité, à la bibliothèque du coin. Lors d’une fête, il apprend qu’elle s’appelle Ramona Flowers, qu’elle vient des US (l’histoire se passe au canada) et qu’elle travaille comme livreuse pour amazon.ca. Je vous passe les détails mais il va finir par apprendre que, pour avoir une chance avec elle, il va devoir combattre, et vaincre, ses 7 ex-petit ami maléfiques.

Vous en conviendrez, la base du scénario est déjà particuliérmeent décalé. Et si j’ai eu du mal à trouver comme qualifier l’œuvre, c’est parceque Bryan Lee O’Maley ne se formalise pas. Le dessin, en noir et blanc, fait très BD, notamment dans le design alors que la mise en scène des (enfin, plutôt « du » dans ce tom) combat et de quelques autres planches lorgne du côté du mangas alors même que certains aspects sont clairement inspiré des comics. Un mélange risque mais qui prend, sans soucis majeur. En toute logique, l’histoire est traité avec énormément d’humour et après le premier tome, on a qu’une envie : lire le second. Dommage que la France ait pris pas mal de retard pour la publication, le tome 3 ne devant sortir qu’en septembre et le premier ne nous ait arrivé que cette année alors même que le tome 1 est sorti en 2004 au canada !
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Résumé :



Scott est un jeune homme complètement à la masse depuis qu'il s'est fait larguer par sa copine. Il partage sa vie entre ses potes, son colocataire gay et son groupe de rock. Mais ça, c'était avant qu'il rencontre Ramona, une belle américaine dont il tombe immédiatement amoureux. Mais avant d'avoir le droit de déclaré qu'ils sortent officiellement ensemble, Scott doit accomplir une tache : éliminer tous les ex-petits amis maléfiques de Ramona.







Mon avis :

Dans un premier temps, je n'ai pas du tout accroché à ce manga / comics / BD américaine. L'histoire me semblait surréaliste et incompréhensible ! Et puis, je me suis rendu compte qu'il fallait que j'arrête de m'accrocher à mes références et que je me laisse porter par l'auteur.



Oui, l'histoire n'a ni queue ni tête ! Et alors ? Et puis, quand on y réfléchit, l'histoire est tout à fait logique si on vit dans un autre monde. Scott est un garçon comme les autres mais qui sait se battre, qui se prend un mur à forte vitesse sans aucune égratignure, qui récupère de l'expérence, des bonus et des items quand il explose un ennemi !



C'est drôle et sans prise de tête. En plus, le dessin est joli.







Par contre, je recommande un minimum de références en jeu vidéo pour comprendre tous les clins d'oeil !
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Comme d'habitude c'est trop cool!

On va faite court, ce que j'aime dans ce volume c'est le côté slice of life et conte d'été. J'ai jamais autant kiffé voir un couple et son évolution dans un livre.

Toujours des mises en pages incroyables et répliques incroyables bref. Si vous hésitez encore lisez Scott Pilgrim

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Un kiff que ce deuxième tome 2 le scénario est toujours glamour notre héroïne nous donne toujours le meilleur de elle même avec cette aventure passionnante et bourré d'humour a souhait on tourne les pages avec élégance et on se laisse charmé par tant de fantaisie

Un tome fait de strass de paillettes d'humour et de romantisme ce premier tome est vraiment excellent par sa beauté des dessins et son charme fou avec son héroïne pimpante et son histoire charismatique on attend presque la perfection exceptionnelle 👍

La conclusion d cette série drôle, originale et touchante... qui m'a moins touché que le reste. J'ai eu l'impression curieuse que le récit s'essoufflait, désormais étalé en grandes cases prenant toute la page, sur plusieurs pages de suite, avec peu ou pas de texte. OK pour l'effet graphique voulu grandiose, mais on obtenait le même effet en travaillant sur plusieurs cases sur la même page, en réservant la page entière pour quelques rares moments à mettre en exergue. Remplissage ? Sans doute pas consciemment, plutôt une volonté d'avoir un fin graphique, cinématographique, saint-seiya-esque, mais le résultat est là, à mes yeux du moins. La fin du film adapté en 2010 m'a parue plus maîtrisée. Comme on le dit, ce n'est que mon humble avis, lisez les autres et faites-vous le vôtre.

Le sixième et dernier volume d'une de mes bandes dessinées préférées, drôle et divertissante mais qui sait aussi émouvoir et parler de sujets sérieux sur un ton comique. L'adaptation cinématographique, avec mon chouchou Michael Cera, vaut également le coup d'oeil.

Le cinquième volume d'une de mes bandes dessinées préférées, drôle et divertissante mais qui sait aussi émouvoir et parler de sujets sérieux sur un ton comique. L'adaptation cinématographique, avec mon chouchou Michael Cera, vaut également le coup d'oeil.