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Critiques de Charles Exbrayat (478)
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Un bien bel homme

C'est un bon Exbrayat : suspens, description des situations, des personnages impeccable et cet humour so british pour un français. J'ai aimé ce roman !
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Un bien bel homme

On ne peut pas reprocher à Exbrayat d'écrire des romans policiers de gare, puisque c'est pour cela qu'on l'aime !

Mais il y en a des moins bons que les autres. C'est le cas de celui-ci.

Le cadre est un manoir bâti sur une île d'Irlande, avec une atmosphère de Cluedo.

Le héros principal est le majordome, très à cheval sur les grandes traditions. C'est lui le bien bel homme. Mais il est en même temps bête et arrogant .

Un petit roman policier humoristique, vite oublié.
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Un bien bel homme

Un Exbrayat léger à lire, lais ô combien agréable et divertissant. Vivement recommandé pour se détendre !
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Un coeur d'artichaut

Heureuse découverte. Comme il a été agréable de se faire embarquer dans une histoire dont on découvre la fin dès le début.

ça ne fait pas deux cent cinquante caractères ! Tant pis. Je ne vois pas pourquoi, en faire des tonnes. Mon plaisir se résume au fait d'avoir été passionnée par une histoire sans énigme, pour le lecteur, pas pour les personnages.
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Un coeur d'artichaut

La situation initiale : Un policier, Benito Piediluco, a fait de Nola Fernandino sa bête noire. Pourquoi ? Fernando est beau, et séduit de riches veuves, pour vivre à leurs crochets. Benito, lui, a vu sa femme le quitter pour un autre…



Un livre gai, truculent, qui ne se prend pas au sérieux. J’ai beaucoup aimé cette littérature qui s'amuse, et Exbrayat excelle dans ce domaine.

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Un coeur d'artichaut

En 1892, à Gênes, Don Fernandino Nola est à 30 ans un personnage un peu particulier. Ayant toujours vécu choyé par sa mère et par ses soeurs et étant fort plaisant de sa personne, il n'envisage sa vie que comme une longue suite de plaisirs en prenant bien soin de ne surtout jamais travailler. Pour ce faire, il n'a rien trouvé d'autre que de séduire des femmes d'âge mûr voire très mûr et de vivre à leurs crochets. Le commissaire Benito Piediluco lui, est un homme aigri et revanchard qui déteste les femmes depuis que son épouse l'a trompé avec un commis charcutier avant de l'abandonner. Il a entendu parler des frasques du séducteur génois et n'a qu'une envie, le coincer, car les procédés de Don Fernandino le dégoûtent particulièrement. Mais comme la plupart du temps, les victimes sont consentantes, sa tâche s'avère particulièrement difficile.

Bien que publié en son temps par la collection « Le Masque», ce roman reste aux confins du véritable roman policier. Il tient du roman picaresque ou social, de la fable ou du conte philosophique (on a même droit à une fin un peu cruelle, mais morale...) sur le thème de l'escroquerie au mariage, des gigolos, don juans et autres cougars dont on parle tant de nos jours. Cette histoire est amusante, pleine d'humour, de personnages pittoresques et de rebondissements. Il y a de l'arroseur arrosé dans cette affaire, du « tel est pris qui croyait prendre ». C'est très bien observé (le machisme italien en prend pour son grade), magnifiquement raconté dans une langue impeccable. Avec ce livre, le lecteur passe (comme toujours avec Exbrayat) un très agréable moment de divertissement.
Lien : http://www.etpourquoidonc.fr/
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Un joli petit coin pour mourir

Un petit polar qui se situe bien dans la veine des productions de Charles Exbrayat. Nous vivons ici un huis clos entre des personnages britanniques qui séjournent dans un petit hôtel du val de Loire, parmi lesquels se trouvent un assassin et plusieurs victimes. C'est divertissant, sans plus.
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Un joli petit coin pour mourir

L’histoire est moins drôle que dans la plupart des romans d’Exbrayat, mais elle est nettement plus consistante et intéressante… Et le côté comique n’est pas absent : suivez Malcom MacNamara, colosse écossais balourd, joueur de cornemuse, toujours dans les endroits où il ne devrait pas se trouver !!!

Vous pouvez d’ailleurs retrouver ce sympathique écossais dans un autre excellent roman d’Exbrayat : ‘’Le colonel est retourné chez lui’’
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Un joli petit coin pour mourir

2ème livre de cette série qui met en scène Mac NAMARA, personnage que j'aime beaucoup, mi-policier mi-espionnage, dans un huis-clos où se mêlent toutes sortes de personnages. On cherche, on fouille, les policiers français n'en sortent pas glorieux. J'avais soupçonné 2 identités secrètes mais sans avoir de certitude jusqu'à ce que l'auteur lève le voile. J'aurais malgré tout voulu une autre fin pour Phil Rothesay.
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Un joli petit coin pour mourir

quand je vois ce nom, Exbrayat, je lis. cette fois-ci, j'ai été un peu ... déçue? l'humour dont parle d'autres critiques ne m'a pas emballée, même si les réparties de l'Ecossais Malcolm pouvaient évoquer un sourire. La déprime de Phil est un peu répétitive, la réunion des Anglais, Ecossais, Galloise et de la veuve revenue au pays fait un peu cliché, quant à la caricature des gendarmes, elle a peut-être inspiré Les gendarmes à St Tropez??? Pour le côté MI5, ça manque pour moi d'un je-ne-sais-quoi qui 'aurait fait adhérer.

Désolée, Charles, à la prochaine fois?
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Un joli petit coin pour mourir

Un joli petit coin pour mourir.. Ou le bouquin qui était glissé entre deux Agatha Christie dans ma pile... Tiens donc ! Je l'ai lu celui-là ? ….



Pitch :



Phil Rothesay est au bout du rouleau... et même plus que ça... Il attend la mort, la souhaite, l'appelle de tous ses voeux. Pourtant, c'est pas dans ses habitudes la mort c'est plutôt lui qui la donnait... bin oui quand on est espion, agent du M.I.5, on a l'habitude de donner la mort... Mais voilà, alors qu'il était sur une mission, réussie d'ailleurs la mission, assassiner un assassin mais de l'autre bord, qui bosse pour les Russes, et bien comme qui dirait, y a eu retour de feu... dommage collatéral... retaliation de la part des Russes, et c'est sa femme, sa douce Laura qui s'est retrouvée avec un nouveau sourire au niveau de la gorge, alors qu'elle l'attendait bien sagement à Genève... Alors maintenant la vie Phil, il s'en fout.. Parce qu'une vie sans Laura n'a aucune espèce d'importance, ça ne vaut rien, plus rien... Il fait ses adieux au service, même s'il sait qu'on viendra lui faire la peau.. tant mieux qu'on vienne lui faire la peau, au contraire même. Il sait même qui, enfin il a son nom, un autre assassin, un autre espion, même si son visage est inconnu des services, un bon, très bon même Hazdurian. Même s'il sait aussi, que le M.I.5 va mettre quelqu'un en place, sans doute pas pour le protéger d'ailleurs, si ça les amuse, il s'en fout... il s'en fout de tout !

Il n'a qu'un souhait, l'endroit.. l'endroit où Hazdurian viendra le tuer.. un joli endroit, un joli coin de France entouré de campagne et de château, là où il avait passé de merveilleux moments avec Laura... il retournera même dans la pension de famille, chez madame Noyer, où ils avaient séjourné la première fois... La pension est pleine de monde, pleine de ses compatriotes, il se doute bien que dans le tas, Hazdurian est là... d'un côté il s'en fout, d'un autre il essai de le trouver, plus pour faire passer le temps qu'autre chose, les habitudes ont la vie dure...



Alors Cornemuse en plein pays de Loire, cornemuse et kilt... hum je suis pas certaine que je serais folle de joie si on me réveillait à 6 heures du mat à coup d'air de cornemuse...

Alors aussi, c'est très bizarre de se retrouver à lire du Exbrayat alors qu'on vient de s'enfiler pléthore d'Agatha Christie, m'enfin il était là, au milieu de ma pile...

Un style si différent... si complètement différent... et ce même si c'est du polar. Même si c'est du vieux polar, Exbrayat était un contemporain de la mère Agatha et ce polar a été édité en 1968. c'est juste pour replacer l'époque...

Nous sommes dans de l'humour pur et dur, même si au final le sujet est tragique. Vraiment tragique.

Et même s'il y a vraiment une enquête pour découvrir l'assassin, les espions infiltrés, ( ceux des deux bords)... en plus vu que l'Hazdurian peut être une femme aussi, même ça ils n'en sont pas sûrs alors ^^... ça laisse beaucoup de place à la spéculation...et vu les pensionnaires, tous plus différents les un que les autres, c'est amusant.

J'ai parfois eu l'impression de lire une comédie, par moment j'avais l'impression d'être dans du théâtre de boulevard, non pas que j'ai quelque chose contre le théâtre de boulevard, du tout...

Ils en font tous tellement des caisses... ^^



Et puis ce n'est pas vraiment surprenant, je dirais même que c'est assez facile de repérer qui sont les espions parmi tout ce petit monde, assez facile.. Mais ça c'est peut-être parce que j'ai plein d'Agatha à mon actif, et que la dame m'a fait travailler mes petites cellules grises comme dirait Poirot, mais je savais, et pour les deux bords...

Donc pas vraiment une surprise transcendante à la fin...



Mais malgré ça, c'était pas une lecture désagréable du tout, et ça m'a donné envie de découvrir plus cet auteur, je dois en avoir d'autres qui traînent par là... et sinon, ça doit pas être dur à trouver d'ocaz, je me le garde dans un coin de ma tête, pour le jour où nos routes se croiseront.. ^^
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Un joli petit coin pour mourir

J'ai adoré ce policier. Je me suis fait avoir de À à Z. Je n'ai donc pas trouvé le coupable. J'ai soupçonné pour ainsi dire tout le monde. Cependant, je n'avais pas trouvé le coupable avant le dénouement (celui ci n'est pas tiré par les cheveux, il est en fait assez logique).



De plus, l'ambiance de ce policier est très drôle, j'ai adoré les joutes verbales entre Malcolm McNamara et le brigadier Curtil. Je trouve le personnage de McNamara vraiment attachant et il apporte une touche d'humour en plus.



Enfin bref si vous avez l'occasion de le lire, allez-y n'hésitez plus!!!
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Un joli petit coin pour mourir

L’histoire est moins « rigolarde » que dans la majorité des Exbrayat. Le côté comique est tout de même assuré par les deux policiers, le chef et le gendarme Praroué.. (voir ma citation)

Le côté policier est bien. Le suspense est bien préservé, jusqu’à la fin.



Un bon Exbrayat, différent de ce que l’on connait de cet auteur. Je recommande.

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Un matin, elle s'en alla... .

Berthe attend le retour de son mari Barthélémy parti à la guerre. Pour l’aider à la ferme, elle embauche Mathieu un itinérant et en tombe amoureuse. Quand il repart dans ses montagnes, Berthe le suit. Quand Barthélémy revient de la guerre, il part à leur recherche.

J’aime beaucoup lire les romans policiers et cocasses de cet auteur prolixe mais ici c’est un tout autre registre auquel il s’est attelé. Il s’agit d’un roman d’amour avec beaucoup de références bibliques, un drame aussi.

L’histoire se passe en Ardèche et en Haute Loire en 1913 où la vie peut être rude dans ces montagnes et on suit l’errance et le désarroi de ces trois protagonistes. Un roman qui prend aux tripes face à l’intransigeance du temps montagneux et des habitants, leur bigoterie. Bref un roman qui ne m’a pas laissée indifférente, prenant et touchant.

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Un matin, elle s'en alla... .

Exbrayat mérite d’être (re)lu pour ses romans « classique » , un univers particulier et bien loin des romans policier qui ont fait sa gloire .

Dans ce roman l'histoire débute à la fin de la grande guerre Barthélemy rentre au pays , rêvant au retrouvaille avec sa jeune épouse mais retrouve une maison vide .Berthe sa femme l’ayant quitté pour Matthieu il décide de tout laisser et de partir à sa recherche. Commence alors une longue errance pour Barthélemy le menant à la folie tandis que Berthe au fil des jours se rend compte du vide de sa vie auprès d'un Matthieu englué dans son passé . C'est une histoire qui prend aux tripes et on vibre pour ces trois personnages qui vivent des moments difficiles mais sont tellement humains dans leurs blessures et fêlures . C'est également un superbe cri d'amour pour cette splendide région que sont les Cevennes.
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Une brune aux yeux bleus

Dans ce livre, Exbrayat choisit de nous narrer une histoire policière, avec meurtres et vol de bijoux, un peu à la façon d’Agatha Christie. Bien sûr, il y a une (belle) histoire d’amour !

Qui dit Exbrayat dit humour, et il est en effet de voir comment Deborah la belle huguenote traite les hommes qui lui manquent de respect !

J’ai lu énormément de romans de Charles Exbrayat, mais j’avoue que celui-ci a une place particulière, car , au-delà de l’histoire policière, il y a aussi une peinture sociétale, et t une réflexion sur la religion, et l’attachement à sa terre.

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Une brune aux yeux bleus

Polar - une autre de mes découvertes au bouquiniste ou au marché aux puces.

Délicieux. La personne principale est une jeune fille qui a grandi dans un coin des Cevennes et son language est provenc,al, mais - elle est d'une beauté ravissante. Deborah, c'est son nom, a gardé les moutons et ses frères lui ont appris à se défendre. Si elle vous donne un coup de poing, c'est comme un coup de marteau.

Bien, elle est la figure centrale dans ce polar extraordinaire et la lecture m'a fait beaucoup de plaisir. Et j'ai appris mes premières phrases en provenc,al.

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Une brune aux yeux bleus

En ces temps de rentrée littéraire où, comme chacun sait maintenant, il faudra frayer son chemin à travers tables surchargées des libraires et les multitudes d'articles qui vont fleurir ici ou là. On aura l'impression que l'on parle toujours des mêmes livres jusqu'à l'indigestion. On aura notre petite polémique de l'année, les mêmes discussions sans fin à propos des livres qui seront noyés dans la masse, de ceux qui, si ça se trouve, ne seront même pas sortis des cartons dans l'optique des retours chez l'éditeur. En ces temps de remous répétitifs auxquels tous ceux qui attachent de l'importance à cette rentrée littéraire sont habitués, j'ai pour ma part décidé de parler d'un livre épuisé. Il se la raconte, là, le BiblioMan(u) hein ? Quel culot tout de même ! Il est là, bien au chaud derrière son petit écran à tapoter du clavier. Et vas-y que j'emprunte volontairement le Contre-Courant. Et vas-y que je surfe sur la vague snoboboïste !... pfff, franchement, c'est, c'est...



Frein aux ardeurs. Je n'exclus pas dans les jours ou les semaines à venir de parler des livres appartenant à cette rentrée littéraire. A vrai dire, certains me font déjà de l'œil, comme Corpus delicitis de Julie Zeh (qu'on m'a conseillé de lire à tout prix), L'Employé modèle de Paul Cleave ou même Les Artères souterraines de Warren Ellis. On verra. Rien n'est certain, hormis le fait que ce sont toujours les envies du moment, comme pour beaucoup, qui me guident.



Cette année, il aura fallu l'adaptation cinématographique de Ne vous fâchez pas Imogène pour que l'on reparle un peu de Charles Exbrayat, auteur ayant connu son heure de gloire pour ses romans policiers parus entre les années 50 et 80, ainsi que pour avoir dirigé la collection Le Club du Masque. Bien souvent quand on en l'évoque aujourd'hui, c'est par le biais de grands-parents ou de parents ayant conservé ses livres dans leur cave ou dans leur mémoire, livres qui, dans les deux cas, n'ont pas toujours pris la poussière. Cela peut paraître bizarre, mais je vous assure que lancer une discussion sur Chianti et Coca-Cola ou Les Blondes et papa peut engendrer des mines réjouies à leur seul souvenir de lecture.



Aujourd'hui, la plupart des livres d'Exbrayat sont épuisés. Si on veut en trouver il faut se tourner vers les bouquinistes, à moins de leur préférer les vides-greniers, où comme dans certaines attractions de fêtes foraines, à tous les coups on gagne. C'est à l'occasion de l'un d'eux que j'ai dégotté Une brune aux yeux bleus.



Dans les années 60, Deborah est une jeune bergère à qui père et frères ont appris à se défendre en toutes circonstances. La vie dans les Cévennes, entre Alès et Nîmes n'est pas faite pour lui déplaire mais certaines obligations l'obligent à se rendre à Annecy pour officier en tant que femme de chambre auprès des Nantilly, une famille appartenant à la haute-bourgeoisie savoyarde. Très vite mise au parfum par les autres domestiques, Deborah constate que derrière les artifices du prestige et de la bonne éducation se cachent en réalité les pires travers. Tous les membres de la famille convoitent en effet la fortune de l'Oncle Jérôme dont la mort tarde à venir... jusqu'à ce que quelqu'un se décide enfin à la provoquer.



A la lecture d'Une Brune aux yeux bleus, on ne peut que constater combien cette histoire a mal vieillie, combien l'écart entre cette société qui nous est dépeinte est la nôtre s'est irrémédiablement creusée, même si des constantes perdurent forcément. C'est en tout cas ce décalage qui surprend au début de la lecture. Le tout, en fin de compte, est de se laisser aller et de faire abstraction de ce dépaysement temporel. Si on y parvient on ne pourra qu'être enthousiasmé par le personnage de Déborah, la sublime Deborah, qui cogne à tout va en citant les Ecritures dès qu'on l'approche de trop près. On pourra aussi être sensible au comique des situations – bon, certaines scènes sont un peu trop grosses, je m'en voudrais de ne pas vous avoir avertis - et aux dialogues savoureux dans lesquels Exbrayat sait donner la part belle à chacun de ses personnages d'une manière si particulière, si vivante. Qu'importe alors si les noeuds de l'intrigue se dénouent trop facilement – les indices sautent aux pages comme des gyrophares dans la nuit –, on ressort de cette lecture avec un léger sourire aux lèvres, tout en comprenant pourquoi il est épuisé aujourd'hui.



Je ne saurais terminer ce billet sans vous inviter à traquer quelques titres d'Exbrayat dans les vide-greniers que vous rencontrerez sur votre route : Amour et sparadrap (l'art de la castagne entre irlandais et anglais), Tu n'aurais pas dû Marguerite, ainsi que ceux que j'ai cités plus haut, entre autres... La traque est lancée !



Pour finir, comme je n'aime pas partager mes lectures sans que les autres puissent en profiter sous prétexte qu'on ne peut plus les trouver, j'envoie Une Brune aux yeux bleus à la première personne qui me le demande. Et comme on me l'a bien fait remarquer, je ne suis certes pas un super-héros sachant voler dans les airs, mais je connais certaines formes de téléportation qui ne fonctionnent pas trop mal...
Lien : http://bibliomanu.blogspot.c..
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Une brune aux yeux bleus

Malgré l'humour dans la présentation de Deborah au début, j'ai trouvé que ce roman était long à commencer.

Passé le meurtre de l'oncle Jérôme, on a un peu plus d'action.

Il faut avouer que maintenant on lit des thrillers qui sont beaucoup plus rapides que les policiers du siècle dernier.



Je recommande ce roman malgré tout.

J'ai aimé ce policier c'est reposant.

Il est juste dommage que j'ai découvert l'assassin assez tôt.
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Une brune aux yeux bleus

Une jeune fille huguenote à l'éducation rigoriste (pléonasme ?) et prompte à se défendre, comme l'autre héroïne d'Exbrayat à savoir Imogène McCarthery, débarque de ces Cévennes natales dans une famille de la haute bourgeoisie d'Annecy comme femme de chambre. Les principes affichés de moralité et de respectabilité par les Nantilly apparaîtront vite comme un vernis écaillé par les affaires d'adultère et de meurtre que devront élucider un équipe de policiers dont l'un tombera amoureux de la jeune fille. Une enquête policière agrémentée d'une étude sociétale qui met en exergue les différences de mode de vie entre le monde des nantis et le monde des gens "normaux" et la puissance de l'éducation et de la religion.
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