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Critiques de Charles Exbrayat (471)
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Plaies et bosses

L'histoire de ce roman se passe en Irlande autour de Egan. Il y a beaucoup d'intrigue et d'action dans ce roman.

Ce roman se lit très facilement et l'histoire est magnifique. J'ai vraiment apprécié ce roman.

Le titre correspond à l'histoire ainsi que la couverture. le style est parfait

Auteur à suivre
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Fini de rire, fillette

Dans ce roman, Exbrayat nous emmène dans un village français, bien typique des années 60. Ruralité et religion donnent le cadre à cette affaire criminelle.

Deux personnages pour la résoudre : l'inspecteur Rulles et surtout l'abbé Quettehou, bien traditionnel, un peu porté sur la bouteille et au langage fleuri.



Le langage, parlons-en : comme toujours, même dans ses intrigues classiques et, comme ici, un peu convenues, Exbrayat use d'un vocabulaire riche et de phrases bien tournées, ce qui en fait une de ses marques de fabrique.



J'ai trouvé ce roman drôle et sympathique, il se lit facilement, mais il n'est pas forcément le meilleur de cet auteur.
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La honte de la famille

Chez les Maspie, aussi loin qu’on remonte à travers les âges, on a toujours vécu en dehors de la loi. Alors, quand le fils aîné devient policier, il devient la honte de la famille. Marseille, sa couleur, son soleil et le petit monde des truands…

Une lecture très plaisante.
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Le temps se gâte à Zakopane

Roy, espion en fin de carrière, est envoyé en mission en Pologne afin de venger d'anciens collègues britanniques. Pour cela, il doit trouver le moyen de s'introduire chez les Lowenberg. Il se fait passer pour Werner, un Suisse très riche, qui a été éperdument amoureux d'une jeune Polonaise perdue à jamais. Quand il rencontre Hildegarde, la fille Lowenberg, il comprend qu'il a sous les yeux le moyen de se faire accepter : il fait semblant de tomber amoureux d'Hildegarde qui ressemble soit disant à son précédent amour... Il lui propose le mariage et une forte assurance vie signée même avance ce mariage. Pour Hildegarde, amoureuse de Josef, pas question de se marier avec ce Werner, mais elle voudrait bien toucher l'argent de l'assurance avant de devoir le prendre pour époux. La famille se creuse alors les méninges pour trouver le meilleur moyen d'assassiner Werner. Ce serait évidemment un accident pour lequel personne ne serait responsable. Rira bien qui rira le dernier : Werner réussit plusieurs fois à déjouer les pièges et renverse la situation. On se demande quand même qui finira par gagner et comment tout cela va se terminer. C'est traité avec humour, c'est bon enfant. Agréable à lire.
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Félicité de la croix-rousse

si vous souhaitez apprendre le langage lyonnais, ou le retrouver, allez-y, plein de mots vous attendent.

ce n'est pas "l'Exbrayat" qui m'a le plus enchantée, j'ai trouvé un décalage entre l'année 1968 et le type de famille décrit ici; et les rapports entre copains d'enfance, ou couples "amis" m'ont plus évoqué les années 50 que 60. mais je me trompe peut-être???

de même je n'ai pas trouvé que l'OPJ Darius Méjean soit si doué que ça, il aura quand même quelques reproches à se faire à la fin de l'enquête, même si sa femme n'en convient pas. (pour ne pas dévoiler l'intrigue, je ne dis pas quels sont ces reproches)

mais enfin, je suis allée faire une belle balade à la Croix-Rousse, c'est e que j'aime bien chez cet auteur, on a l'impression qu'il est partout chez lui :)

et vous pourrez trinquer avec Ulysse si le coeur vous en dit ^-^
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Ne vous fâchez pas, Imogène !

Imogène... Ce sont des souvenirs de lecture de jeune adulte... J'avais beaucoup aimé alors. Je viens de relire le premier opus. C'est toujours frais. Le personnage est irritant, totalement dans l'excès et c'est un peu fatiguant à la longue mais... cela autorise des passages amusants notamment grâce aux réactions de l'entourage. Je vais continuer ce revival pour voir si l'intérêt de jeunesse est toujours présent.
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Au ''Trois cassoulets''

Retrouvé avec plaisir un récit qui se situe en province, - quand on ne disait pas encore "en région" -, à Rodez. Des descriptions de personnages très différents, et quelques uns attachants. Pas la première victime, oh non! Celle-ci fut bourreau et personne ne la regrette. Des descriptions des sentiments aussi, que je trouve bien vues, et jamais pesantes. Et en cadeau, la petite coquille p 70 qui fait chercher et sourire...

Merci Exbrayat pour tous ces moments de lecture.
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Les amours auvergnates

Mon premier Exbrayat et sans doute pas l'ultime. Le roman est un "petit polar" bien provincial, avec sa petite ville: Aurillac, même pas esquissée, mais surtout son petit monde notarial, à l'ancienne: ronds-de-cuir blanchis sous le harnais de la médiocrité et de l'acrimonie, patron un peu papa de ses employés, déjà là avec son père.

Bref une atmosphère aurai aurait pu être vaudevilesque si l'on était chez Courteline, mais là, point on est dans le meurtre, dans le policier, avec des dialogues parfois de théâtre, parfois à la Audiard. Le tout est ciselé, concis, de la belle ouvrage, court, populaire, mais si agréable à lire, qu'il est difficile de le lâcher avant la dernière page.

Tant pis, l'enquête n'est pas du plus compliquée, la psychologie des personnages n'est pas des plus tourmentée.

Mais bast ! l'affaire est légère (pas pour les cadavres) mais savoureuse, alors savourons, foin de la morosité ambiante, savourons !
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Le Petit Fantôme de Canterbury

Un petit fantôme dans de drôles de draps.



Dans son style unique, le trop délaissé Exbrayat nous offre un nouveau moment d'évasion dans le Canterbury de 1975.



L'occasion pour l'auteur de nous balader, mais aussi et surtout de nous apporter un nouveau témoignage de son incroyable talent comique.

Au centre de l'enquête un bestiaire domestique, des tueurs sans scrupules, des enquêteurs obstinés,... et beaucoup d'improbables situations comme ressorts comiques.



Exbrayat parvient à maintenir un fragile équilibre entre farce et tension dramatique. La recette fonctionne, le plaisir nous hante.

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Tu n'aurais pas dû, Marguerite

Un bon "Exbrayat", dans son style habituel. Une dose de loufoquerie chez certains personnages est toujours présente, dont un carrément aliéné.

Le rythme est agréable et le suspens toujours au rendez-vous.

Il se trouve que je connais les lieux où l'auteur a situé l'intrigue, il faudrait toutefois lui dire, à moins que ce soit au typographe, que la ville de Dole s'écrit sans accent circonflexe (et non pas Dôle, p. 224).
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Les Blondes et papa

Encore un retour dans les années 60-70 grâce à une boîte à livres.



Malgré l'âge qu'accuse l'humour de ce livre, les stéréotypes, les situations exagérées, l'intrigue bien légère, la romance attendue, on reste sous le charme d'une langue châtiée et de personnages d'une politesse surannée. Bien que caricaturés, ils sont souvent pour la plupart attachants.



C'est Exbrayat, on ne s'attend donc pas à une étude profonde de la société galloise, mais on s'amuse bien.
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Les amours auvergnates

C'est un bon livre plein d'humour. La fin est un peu prévisible mais ça ne gêne pas car c'est une histoire policière qui a du suspense et des crimes comme je les aime: pas trop de sang et des descriptions glauques. Le tout allégé par des traits d’humour cliché parfois mais tellement parlant

Conclusion: je vous le conseille.
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Quel gâchis, inspecteur !

Un petit roman noir bien serré.



Exbrayat nous gratifie d'un roman policier psychologique à l'intrigue aboutie.

On suit le taciturne inspecteur Mortlocke, rattrapé par la passion amoureuse envers une protagoniste d'une enquête pour meurtre. Un amour qui se traduit par un zèle et un aveuglement dont on pressent qu'ils conduisent Mortlocke à sa perte, n'eut été un raisonnement toujours plausible de la part de l'inspecteur.



Un roman de déchéance, de désespoir mais aussi de dualité entre rigueur et folie, amitié et devoir.



Un polar typique des années 60'.



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Une brune aux yeux bleus

Malgré l'humour dans la présentation de Deborah au début, j'ai trouvé que ce roman était long à commencer.

Passé le meurtre de l'oncle Jérôme, on a un peu plus d'action.

Il faut avouer que maintenant on lit des thrillers qui sont beaucoup plus rapides que les policiers du siècle dernier.



Je recommande ce roman malgré tout.

J'ai aimé ce policier c'est reposant.

Il est juste dommage que j'ai découvert l'assassin assez tôt.
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Imogène et la veuve blanche

Après une lecture longue et fastidieuse, rien ne vaut une histoire "d'Imogène" pour se remettre d'aplomb. Toujours le même plaisir, les même blagues potaches, les bagarres générales entre les habitants de Callender, les dialogues impayables entre Imogène et le sergent. L'enquête, on s'en fiche un peu, elle est d'ailleurs réglée en quelques pages, et il est facile de deviner qui est coupable.
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Vous souvenez-vous de Paco ?

Cet auteur ne me déçoit jamais !



Un peu moins drôle que d'autres titres, mais l'ambiance est plombée sur Barcelone, où est donc passé Paco ?



On a un inspecteur qui rêve d'arrêter l'assassin de son père, lui-même policier, un commissaire succulent de flegme et des voyous bien corsés.



Le plus surprenant ? Tous ces portraits de femmes qui malgré le machisme ambiant tirent leur épingle du jeu !



J'ai passé un excellent moment à la recherche de Paco...
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Deux enfants tristes

En juin 1922, à Beltonville, petite cité pourrie du New Hampshire, cohabitent un maire corrompu, Red Torphins, et une forte communauté italienne tenue de main de fer par Salvatore Busselo, parrain de la mafia locale, assisté de son « capo », Guilio Alcamo. Mais Bruce, le fils du maire, a séduit et engrossé Gelsomina, fille d’un très modeste cordonnier italien, lequel vient demander réparation au maire qui le renvoie illico comme un malpropre. Pourtant Bruce est prêt à se marier avec Gelsomina, mais son père, ne voulant pas entendre parler de la moindre mésalliance, l’éloigne en l’envoyant étudier à Harvard. Comme le parrain ne veut pas non plus se mêler de cette affaire, histoire de garder de bonnes relations avec le maire, le cordonnier s’énerve et menace de faire justice lui-même, ce qui lui fait perdre tout appui mafieux. Craignant pour sa réélection si ce scandale est étalé sur la place publique, Torphins a alors les mains libres. Il décide de faire liquider le bonhomme et sa fille. Mais les quatre tueurs, hommes de main de la police locale, arrivant dans la famille en pleine célébration d’anniversaire, font un véritable carnage en laissant la bagatelle de huit morts sur le carreau. Seuls, deux jumeaux âgés d’une dizaine d’années échappent à ce massacre. Ils sont récupérés par un ami de la famille qui les cachent dans une autre ville. Mais dix années plus tard, les voilà qui réapparaissent à Beltonville…

« Deux enfants tristes » est un roman policier de bonne facture tel qu’on en produisait dans les années 70 de l’autre siècle. En fait, c’est plutôt un roman noir ou un thriller, tant les morts sont nombreux. C’est même une sorte de fable ou de parabole sur la justice immanente, le fait que la vengeance se mange froide et que nos actes nous suivent toujours. Les deux enfants témoins de l’horreur ont été tellement traumatisés par ce qu’ils ont vu qu’ils n’ont survécu et grandi que pour pouvoir assister à la manifestation d’une justice divine qu’ils appellent de tous leurs vœux. Et il est étonnant pour le lecteur de voir que leur seule apparition dans la petite ville suffit à déclencher un processus d’auto-destruction des méchants qui finissent tous soit par s’entretuer, soit par devenir fous, soit par être enfin mis en taule par la police fédérale. Un ouvrage agréable, divertissant, facile à lire et qui n’a pas pris une ride en raison de la qualité du style d’Exbrayat, auteur prolifique et à grand succès, sans oublier l’intemporalité du thème. Que demander de plus ?
Lien : http://www.bernardviallet.fr
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Trahisons en tout genre

Quand Exbrayat s'essaie au roman d'espionnage ! Et bien je pense que ce n'est tout simplement pas une bonne idée et qu'il aurait mieux fait de s'abstenir. Je me suis perdue au milieu de tous ces personnages qui ont des noms à rallonge et imprononçables. Aucun n'est attachant, ils ressemblent plutôt à des caricatures. L'humour qu'on aime tant est complètement absent.
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Joyeux Noël, Tony

Agent des services secrets, Tony aspire à une vie rangée et a des envies de démission. D’autant plus que Noël approche et qu’il se verrait bien le partager en famille. Le meurtre d’un collègue et ami le pousse à accepter une dernière mission à Bordeaux. Le voilà plongé dans les ennuis jusqu’au cou : amoureux, jaloux et confus.

Suspense et rebondissements pour ce roman d’espionnage de facture classique, au charme désuet : une lecture tout simplement plaisante.





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Bye, bye, chérie

Sympathique petite comédie d'espionnage mettant un honorable attaché de l'ambassade de France à Londres aux prises avec quelques espions internationaux patentés.



A son habitude Exbrayat enchaîne les actions cocasses à un rythme effréné, nous amuse de ses répliques, sème la mort parmi les méchants et le trouble parmi les fonctionnaires de police zélés, et toujours épargne à son humble lecteur de vaines angoisses quant au sort de son héros.



Et même si ce dernier n'a pas l'aura de ses plus fameux personnage, Exbrayat nous offre encore une fois une fort agréable fantaisie.

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